Comment j’utilise mon gode pour jouir, Les avantages du Fémidom en portant une culotte ouverte,
nov 012015

C5

Le donjon de Natacha,

J’ai posé sur mon lit ma lingerie la plus sexy pour passer le week-end avec Natacha.

C’est une dominatrice qui habite au nord de Paris.

Au téléphone, je l’ai trouvée si proche de mes attentes que j’ai accepté avec joie son invitation.

Tout à la pensée de cette rencontre, j’agrafe ma guêpière et enfile mes bas à coutures en les accrochant bien tendus aux quatre paires de jarretelles car

j’aime sentir l’exquise tension du nylon sur mes cuisses.

Mon regard s’attarde sur mon corps parfaitement épilé par des séances au laser.

J’ai conservé un joli triangle pileux sur mon pubis pour affirmer ma féminité lorsque je cache ma queue entre mes cuissses.

Puis, je garnis mes bonnets 105/D de somptueuses prothèses en silicone avant d’enfiler sur mes hanches une culotte fendue assortie à ma guêpière.

Depuis mon adolescence, j’éprouve toujours la même excitation à me glisser dans ma lingerie et à me métamorphoser en femme devant la glace.

C’est un plaisir intense dont je ne peux plus me passer et que je me donne plusieurs fois par semaine chez moi ou à l’hôtel lors de mes déplacements.

Après m’être maquillée avec soin, je me coiffe d’une perruque blonde coupée au carré.

Enfin, je me glisse dans une ravissante robe courte décorée de dentelle blanche gonflée par deux jupons superposés qui dévoilent mes jarretelles.

Je me suis habillée en blanc en espérant bien être «enfoncée» d’ici ce soir…

Je fais quelques pas devant mon miroir en contemplant mes longues jambes recouvertes de nylon mises en valeur par ma robe ultra courte.

Avant de partir, je glisse ma queue sous ma jarretelle pour éviter qu’elle ne se voit sous ma robe et je quitte mon appartement en prenant le volant de mon cabriolet sport décapoté.

Roulant sur l’autoroute par une chaleur estivale, je relève mon jupon en m’offrant délibérément à la vue des routiers.

Du haut de leurs cabines, ils bénéficient d’une vue plongeante jusqu’à la lisière de mes bas.

Lorsque je les dépasse, je reste un moment à leur hauteur en écartant les cuisses pour les allumer.

Ils me rendent un vibrant hommage par un concert de klaxons ininterrompu qui m’accompagne tout au long du trajet.

Mon GPS m’arrête devant une grande villa au cœur d’un parc arboré à l’entrée de la forêt de Compiègne.

Le portail d’entrée s’ouvre instantanément devant moi et c’est le cœur battant que je pénètre dans cette propriété.

Natacha m’attend sous le porche.

D’emblée, je suis impressionnée par sa taille.

C’est une beauté slave qui dépasse le 1,80m avec un visage aux pommettes saillantes.

Sa chevelure brune en queue de cheval la fait paraître plus jeune que ses quarante ans.

Les bonnets de son corset en cuir noir contiennent difficilement sa superbe poitrine.

Perchée sur ses cuissardes, elle me toise avec insistance pendant que j’admire son corps souple et musclé.

Elle dégage une force et une sensualité qui m’attire comme un aimant.

Je me laisse tomber à ses genoux en remontant mes mains le long de ses jambes pour caresser ses cuisses pleines et fuselées.

- Ici c’est moi qui prend l’initiative, me dit-t-elle en me plaquant brutalement au sol.

Elle se tient debout, les jambes écartées au dessus de ma tête en savourant son plaisir de me voir à ses pieds.

Cela me laisse le temps de contempler l’impressionnant gode ceinture qu’elle a fixé sur ses hanches.

Il est massif avec de grosses veines saillantes courant sur sa hampe.

Entraîné par son poids, il retombe lourdement sur ses genoux en se balançant menaçant devant mes yeux.

Je frissonne à l’idée d’être prise par cette queue monstrueuse.

Lisant dans mes pensées, Natacha me dit d’une voix moqueuse:

- Sois sans crainte, ce n’est pas pour maintenant…

Elle ne porte pas de string et je remarque que la sangle très ajustée du harnais a complétement disparu dans sa chatte.

- Maintenant relève toi et suis moi m’ordonne-t-elle en m’entraînant dans son Donjon.

Nous descendons un large escalier s’ouvrant sur une pièce aux voûtes de craie blanche.

Le sol est recouvert de tomettes de couleur ocre.

Mon regard s’attarde avec surprise sur les aménagements de cette salle.

Il y a une croix de Saint-André, un lit équipé de menottes fixées aux barreaux, une table médicale, un cheval d’arçon, une cage métallique pour les suspensions, un boudoir servant au maquillage et au travestissement…

Au mur sont fixés des barres d’écartement, une collection de fouets et divers accessoires.

Des godes emmanchés sur des pics de différentes tailles se dressent dans un coin de la pièce.

Sur une étagère sont rangés soigneusement par taille des plugs anaux et urétraux.

Quelques tables basses en forme de sexe féminin sont disposées ça et là.

Une grande pancarte accrochée au mur me donne déjà le programme: “Fellation du matin, repos du vagin, Sodomie du soir, repos des mâchoires…”

Natacha vient se coller contre moi.

Ses mains glissent de mon cou à mes cuisses, me caressent le ventre en s’attardant sur mes seins et mes hanches.

- Remonte ta robe, finit-t-elle par me dire.

J’obéis en la relevant fébrilement contre ma taille.

Sa main est attiré par le renflement évocateur de mon sexe enfoui dans ma lingerie.

Elle le fait jaillir par la fente de ma culotte en soie.

- Puisque tu es déjà prête, je vais commencer ton initiation, me dit-t-elle.

- Lorsqu’elle sera terminée, tu seras invitée aux soirées que donnent les dominatrices de la capitale.

- Tu auras beaucoup de succès en portant le corset en satin rose et noir de mon école de dressage car elles te sauront prête à satisfaire tous leurs fantasmes.

- Maintenant déshabille toi.

En quelques minutes, je me retrouve vêtue de son corset fétiche, d’une ravissante nuisette, de bas cervin aux mailles brillantes et d’escarpins de huit centimètres.

Natacha me fait asseoir devant son boudoir pour apporter quelques retouches à mon maquillage.

Une perruque brune mi longue et un fond de teint achèvent ma métamorphose.

La bourgeoise que j’étais ressemble maintenant plus à une fille de la rue Saint-Denis.

Dans la salle, je remarque les grandes glaces murales ornées d’ halogènes qui trônent aux endroits stratégiques de la pièce.

Certaines entourent le lit alors que d’autres sont posées face à la croix de Saint-André et devant la table médicale.

Je constate avec satisfaction qu’à tout moment, je pourrai me voir dans l’un de ces miroirs.

Natacha me tire de mes pensées en les montrant du doigt.

- Chaque veilleuse allumée sur le dessus signale la présence d’hommes et de femmes derrière ces glaces sans tain qui sont venus assister à ton dressage.

- Ils feront clignoter leurs lampes lorsqu’ils voudront t’encourager.

Un peu surprise, je tiens à vérifier ses propos.

Face à mon public présumé, je prends quelques poses suggestives en voyant très vite des lumières s’allumer devant mes yeux.

- Ne les faisons pas attendre plus longtemps, me dit-t-elle en m’allongeant sur la table médicale.

Natacha m’attache les mains au dessus de la tête et me baîllonne avec une de ses culottes en satin qu’elle fixe avec l’un de ses bas.

Bien que consentante, je pense avec inquiétudes aux tourments qui m’attendent quand elle relève ma nuisette sur mon ventre.

Armée d’un fouet, elle commence à me flageller doucement puis, de plus en plus fort.

Elle le fait claquer dans la piece pour m’impressionner avant de l’abattre sur mes cuisses.

Devant la violence des coups, je gémis de douleur.

- Écarte bien les jambes, m’ordonne-t-elle en bloquant mes pieds dans les étriers.

Puis, elle rapproche la table des spectateurs pour leur offrir une vue plongeante sur ma queue et ma chatte entiérement épilés.

Pendant de longues minutes, elle s’acharne sur moi avec une précision diabolique.

Mes cuisses, mon ventre et mon sexe portent très vite les marques de mon supplice.

Un peu plus tard, elle change de registre en me prodiguant des caresses.

Avec sa bouche aux capacités infinies, elle me pompe avec ardeur.

Instinctivement, je me cambre pour m’offrir davantage à cette dévoreuse de sexe.

Je voudrais arrêter le temps pour prolonger ce moment ou je me sens plus vivante que jamais.

Satisfaite de mon érection, elle saisit sur une étagère un plug urétral qu’elle lubrifie soigneusement.

Elle introduit la longue tige en inox creuse de 3 mm de diamétre dans mon gland en tenant ma verge bien droite pour qu’elle s’enfonce d’elle même par son propre poids.

Sans me quitter des yeux, Natacha accompagne sa progression en pressant habillement ma hampe entre son pouce et son index.

Je m’étonne de ne ressentir aucune douleur en voyant les vingt centimètres de l’insert s’enfoncer dans mon sexe.

Soudain, un jet d’urine sort de la tige creuse lui indiquant qu’elle a atteint ma vessie.

Puis, Natacha me masturbe lentement en faisant aller et venir le plug dans mon urètre.

Parfois, elle pose son pouce dessus pour l’empêcher de remonter.

Lorsqu’elle le retire, la tige ressort spontanément de quelques centimétres devant ses yeux.

Amusée, elle recommence plusieurs fois de suite ce scénario.

Je suis au bord de l’orgasme quand elle me plante son majeur dans l’anus.

Mettant à profit ma forte érection, elle frotte sa vulve contre ma hampe tout en faisant coulisser la tige métallique dans ma queue.

Cette scène remporte un vif succès auprès du public car les lampes se mettent à clignoter frénétiquement.

Quand Natacha me voit sur le point de jouir, elle m’écrase violemment les bourses avec sa main en me disant:

- Non, pas maintenant!

Une douleur fulgurante me traverse le ventre et me coupe le souffle.

Avec sadisme, elle m’excite à nouveau en faisant glisser sa langue le long de mon frein.

J’essaye désespérément mais en vain de me contrôler.

Un frisson me parcourt l’échine quand sa main remonte lentement le long de mes cuisses en empoignant mes parties génitales.

Ses yeux de braise fixés sur moi, elle attend que ma queue soit bien raide et que la peur envahisse mon visage pour passer à l’action.

Cette fois, elle est impitoyable.

Elle me broie les testicules par une pression insupportable.

Je suis toute tremblante et tétanisée de douleur quand mon supplice prend fin.

- C’est un bon début, je suis fière de toi, me dit-t-elle avec satisfaction en me retirant l’insert.

Elle remet de l’ordre dans ma tenue en tendant mes jarretelles avant de m’allonger sur son lit.

Puis, elle saisit un plug.

Il s’agit du fameux sceptre princier qui est la référence pour les initiés.

Natacha me fait admirer la grosse tige en inox torsadée de 6 mm de diamètre.

Son extrémité se termine par un capuchon destiné à recouvrir mon gland.

Elle le glisse lentement dans mon sexe avec une grande dextérité.

- Il est maintenant temps pour toi de devenir une vraie femme, rajoute-t-elle en brandissant un couteau à la lame effilée et courte.

- Avec cette dague, j’ai déjà féminisé un grand nombre de mes soumis.

- Sais-tu que c’est devenu un véritable phénomène de société aux USA!

- Lorsqu’un homme souffre d’une sexualité exacerbée, il est fréquent qu’il demande à une dominatrice de le libérer de cette addiction.

- Comme elle, j’aide ceux qui ne veulent plus être esclaves de leurs hormones ou qui aspirent à changer de sexe.

- Certains veulent que je leur coupe uniquement les testicules pour être libérés de leurs hormones dans l’espoir d’avoir encore quelques rares érections.

- D’autres souhaitent comme toi que je leur enlève tout pour changer de sexe.

- Tu auras l’avantage de pouvoir porter des dessous transparents qui mettront en valeur ta féminité et tu auras un orgasme anal plus intense car il ne sera plus parasité par ta queue.

- Je suis trés excitée d’être celle qui te fait bander pour la dernière fois, me dit-t-elle en me caressant longuement les bourses.

- Je veux que ta queue soit bien raide avant de la trancher, rajoute-t-elle en s’activant avec succès entre mes cuisses.

Les savantes caresses de ma belle dominatrice et la prise de viagra estompent en partie la peur qui me gagne.

Le moment venu, elle empoigne avec douceur mes paties génitales en sortant de quelques centimétres le sceptre princier de ma verge pour que sa lame n’entame pas le métal.

- Il ne faut pas que j’abîme ce magnifique bijou, s’exclame-t-elle.

- Je vais te couper la queue bien à sa racine pour qu’il ne te reste rien afin que tu te sentes réellement femme, rajoute-t-elle en appuyant sa dague sur la veine bleue gonflée de sang qui coure le long de ma verge.

- Je préfère trancher un sexe en érection bien que cela fasse davantage souffrir, me dit-t-elle avec sadisme.

Lorsqu’elle commence à me cisailler la queue, je suis prise de panique.

Étonnée de n’éprouver aucune douleur, je m’aperçois qu’elle fait semblant de la couper avec le dos de sa lame.

Natacha, éclate de rire en me voyant blêmir.

- Ce sera pour la prochaine fois, m’assure-t-elle.

- J’aurai pourtant bien aimé voir ta queue enfilée comme une brochette sur le sceptre princier.

Tout à coup, je me prends conscience que son donjon est parfaitement adapté à cet usage.

Mon matelas est protégé par une épaisse housse en plastique.

Sur le sol carrelé se trouve une grille de récupération d’eau usée ainsi qu’un tuyau d’arrosage fixé au mur pour pouvoir nettoyer rapidement les lieux.

Natacha me tire de mes pensées en posant un vibro sur mon frein.

- Maintenant, je t’autorise à jouir, me dit-t-elle.

Très vite, les vibrations me déclenchent une vague de plaisir qui me submerge et j’explose en recouvrant le sceptre princier d’épaisses coulées blanchâtres.

Ma maîtresse m’ayant interdit de jouir pendant plus d’un mois, ma sève se répand en abondance sur mon corset et mes bas.

- Tu avais des réserves, me dit-t-elle en contemplant les derniers soubresauts de ma queue.

Elle retire l’impressionnante tige torsadée ruisselante de sève de ma verge en la portant à ses lèvres.

- J’aime goûter le sperme de mes soumis, me dit-t-elle.

Un moment plus tard, elle me pose un spéculum à trois branches qu’elle ouvre en grand pour me dilater l’anus.

La peur s’empare à nouveau de moi quand je la vois se pencher sur ma queue un rasoir à la main.

Je sursaute lorsque la lame glacée glisse le long de ma verge en tranchant la moindre pilosité.

Natacha régularise avec soin les contours de mon triangle de vénus et termine en me rasant méticuleusement l’anus.

- Désormais, je t’interdis de jouir, me dit-t-elle en retirant le spéculum et en déroulant un préservatif sur ma queue.

- Il va me servir de témoin.

- Si à la fin de nos jeux, je retrouve du sperme à l’intérieur, je te punirai sévèrement.

Poursuivant la séance, elle m’installe un étrange cockring métallique autour de la verge.

Il se prolonge d’une barre en inox munie d’une boule à son extrémité.

Son diamètre étant supérieur à une boule d’attelage, Natacha doit forcer mon anus pour la faire rentrer.

A peine a-t-elle réussie, qu’elle la retire brutalement en m’arrachant un cri de douleur.

- Doucement, je t’en supplie, lui dis-je en l’implorant du regard.

Sans prendre la peine de me répondre, elle l’enfonce à nouveau tout aussi violemment dans ma grotte.

- Je vais maintenant te mettre à l’épreuve, me chuchote-t-elle à l’oreille.

Retirant son string, elle s’assoit à califourchon sur mes cuisses en me faisant face.

- Je te rappelle que tu ne dois pas jouir, me dit-t-elle d’une voix menaçante.

Elle me masturbe d’abord lentement, puis sur un rythme plus rapide tout en faisant aller et venir la boule du cockring dans mes fesses.

Puis, elle enfonce ma queue dans sa chatte brûlante de désir et avide de sexe en me caressant les bourses et le périnée.

J’essaye en vain de résister à ses assauts, mais elle s’active sur ma colonne de chair qui se durcit de plus en plus.

Je me sens dominée par cette mante religieuse qui immobilise son mâle pour mieux le dévorer.

À mon grand soulagement, elle finit par s’arrêter.

- J’espère pour toi que tu n’as pas jouis, me dit-t-elle en retirant mon préservatif.

Quand elle le retourne dans sa main, je vois avec inquiétude quelques gouttes de sperme couler dans sa paume.

- Ce soir, tu regretteras de m’avoir désobéis, m’assure-t-elle en me jetant un regard lourd de menaces.

- Pour l’instant, je poursuis ton dressage.

Je suis allongée sur son lit quand ses mains plongent dans les bonnets de ma guêpière pour retirer mes prothèses en silicone de 500gr.

Saisissant un coton imprégné d’un produit réfrigérant, elle glace mes tétons pour les insensibiliser.

Avant que je puisse réagir, elle les perce avec une aiguille.

Je ressens une douleur aiguë qui s’estompe pendant qu’elle fixe des anneaux en acier sur mes aréoles.

- Ces bijoux portent mon prénom et ne pourront plus s’enlever.

- Désormais, tu m’appartiens, me susurre t-t-elle à l’oreille en me nouant un bandeau de soie autour du cou.

Elle s’allonge sur moi en frottant ma queue contre sa cuisse gainée de nylon.

Le contact des fibres synthétiques sur mon gland me déclenchent une érection spectaculaire.

- Maintenant, je veux que tu me baises, me dit-t-elle en s’empalant sur ma verge.

Sa chatte devient une irrésistible pompe à sperme lorsqu’elle roule et ondule du bassin.

Elle se penche sur mon visage en me serrant la gorge avec son foulard en soie.

Natacha me comprime les carotides pour me faire bander plus fort.

Puis, elle relâche la pression en s’activant sur ma queue avant de recommencer.

Je suis totalement livrée aux pulsions de ma Maîtresse.

La peur qui m’envahit est étroitement mêlée au plaisir étrange qu’elle me fait découvrir.

A chaque fois, elle maintient le garrot serré un peu plus longtemps pour accroître la tension sur mon sexe.

La quasi totalité des lampes témoins se mettent à clignoter pour plébisciter la scène.

- Je vais t’achever maintenant, me dit-t-elle.

Elle se trémousse d’une manière irrésistible tout en me comprimant la queue avec sa chatte.

Ses yeux rivés aux miens, elle m’immobilise par le poids de son corps en m’écrasant les carotides jusqu’à ce que je me mette à trembler.

Soudain, une vague de plaisir m’emporte et ma sève fuse en jets puissants dans le ventre de ma Maîtresse.

Dans le même temps, un voile noir me tombe sur les yeux et elle doit desserrer le foulard pour éviter que je perde connaissance.

- Tu m’as noyée, me dit-t-elle en regardant mon sperme ruisseler le long de ses cuisses

Pendant que je reprends mon souffle, je la vois sortir un étrange plug d’un tiroir .

- Regarde, il est formé de trois anneaux, me dit-t-elle.

- Le premier à un diamètre semblable à une bouteille de vin.

- Le second plus gros à la dimension d’une bouteille de champagne.

- Enfin, le dernier mesurant 10 cm de diamètre est réservé à quelques rares initiés car il a le diamètre mythique du plug B52.

- Je t’avoue que peu de mes soumis sont parvenus à ce stade, m’assure-t-elle en le lubrifiant copieusement.

Puis, Natacha m’installe sur un étrange cheval d’arçon.

Son extrémité est équipée d’un carcan qu’elle referme sur ma tête et mes poignets.

Allongée sur le ventre et mes pieds ne touchant pas le sol, je ne peux plus bouger.

Elle contemple un moment ma croupe sur laquelle sont tendues mes jarretelles.

Son regard se fixe sur mon œillet enfoui dans l’écrin de dentelle de ma culotte ouverte.

Cette vision enflamme les sens de ma maîtresse qui passe à l’action.

- Avec un tel calibre, ça va être vraiment un viol, me chuchote-t-elle à l’oreille.

Le premier anneau s’engouffre facilement dans ma grotte.

Elle presse fortement le gode avec son genou pour rentrer le suivant.

- Maintenant aide moi en poussant fort, me dit-t-elle.

Après plusieurs tentatives infructueuses, le pal m’ouvre en deux en s’engouffrant au plus profond de mes reins.

Ma douleur est intense car mes sphincters dilatés à l’extrême se sont refermés sur le dernier anneau.

Je ne peux plus l’expulser sans courir le risque de me déchirer le périnée.

Quelques instants plus tard, Natacha arrive à le retirer avec d’infinis précautions pour ne pas me blesser en étant ravie d’avoir réussie cet exploit.

Je me demande ce qu’elle va encore inventer lorsqu’elle m’allonge sur son lit.

Sans perdre un instant, elle enfile un gant en latex et plonge son poing dans mon anus resté grand ouvert.

Elle tourne son poignet de droite à gauche pour m’empaler plus facilement.

Je suis sidérée de voir son bras s’enfoncer jusqu’au coude.

- Je sens ton pouls battre contre ma peau, me murmure-t-elle très excitée en me fouillant de plus belle pour satisfaire son public.

Quelques minutes plus tard Natacha ressort lentement son bras de mes fesses en informant les voyeurs qu’elle va faire une pause.

Arrivée dans sa salle à manger pour se restaurer, elle me transforme en soubrette pour que je lui serve son repas.

Pendant qu’elle mange, je suis à genoux, la tête entre ses cuisses en faisant glisser ma langue sans trêve de son œillet à sa chatte.

A la fin de son repas, elle se lève en me rappelant sa promesse.

- Je vais te faire passer une nuit que tu n’es pas prête d’oublier!

Elle m’entraîne au centre de son donjon.

- Lève les bras, m’ordonne-t-elle en m’attachant les poignets à des chaînes fixées au plafond.

- Regarde, tu as de la visite.

Je vois avec surprise les miroirs sans tain coulisser sur leurs rails et céder le passage à des dominatrices en tenue SM accompagnées de leurs esclaves.

Elles viennent se mettre en cercle autour de moi.

Les soumis sont de belles transsexuelles aux seins sublimes qui ont entre les jambes une queue à rendre jaloux la plupart des mâles.

Elles me regardent enchaînée et offerte à leurs désirs pendant que leurs Maîtresses les préparent en les masturbant.

La spectacle que j’offre les excite fortement car:

Je suis suspendue à mes chaînes, les fesses cambrées par mon corset et sublimées par mes talons aiguilles qui font ressortir ma croupe.

Au signal de ma Maîtresse ces créatures du troisième sexe viennent m’embrocher l’une après l’autre sans interruption.

Je suis totalement comblée par ces femmes phalliques qui pressent leurs seins superbes contre moi tout en m’enfonçant leurs queues gonflées de désir dans le ventre.

Je ne compte plus les fois qu’elles se sont vidées dans mes reins.

Pour finir, une splendide panthère noire me fait face.

Visiblement, elle n’en peut plus d’attendre.

Son visage ressemble au mannequin Naomie.

Même corps souple et fin qui dégage une sensualité à fleur de peau.

Prise d’une pulsion irrésistible, elle plaque mes jambes contre sa taille pour m’enfoncer son sexe d’ébène dans le ventre.

Trop impatiente lors de sa première tentative, sa queue manque son objectif et vient glisser contre mon ventre.

A la suivante, je gémis de plaisir lorsqu’elle m’embroche d’un coup jusqu’à la garde.

Quelques minutes plus tard, son corps se met à trembler lorsqu’elle décharge longuement en moi.

Prolongeant notre plaisir, nous nous embrassons en restant soudées l’une à l’autre.

Lorsqu’elle se retire d’épaisses coulées blanchâtres s’échappent de mes fesses en s’accrochant comme des guirlandes à mes bas.

Pour arrêter l’écoulement, elle me plonge un rosebud dans l’œillet en me disant:

- Comme cela, tu garderas ma sève plus longtemps en toi.

Peu après, Natacha invite les participants à retourner derrière les glaces murales.

Puis, elle m’attache solidement les mains et les chevilles à la croix de Saint-André.

Je me retrouve écartelée face à elle.

- J’étais très jalouse de voir toutes ces jolies filles te baiser, me confie-t-elle en frottant mon sexe contre sa cuisse gainée de nylon.

- Je suis surprise de voir que tu bandes encore, me dit-t-elle avec admiration en me pressant les seins.

Elle m’enlace amoureusement en me regardant droit dans les yeux.

- Tu n’es pas raisonnable, je vais devoir te calmer, me murmure-t-elle à l’oreille.

Soudain, tout bascule.

Elle s’accroche à mon cou pour se stabiliser avant de projeter avec une violence inouïe son genou sur mes bourses.

Submergée de douleur, aucun son ne peut sortir de ma gorge lorsque mon corps s’affaisse sur la croix.

Ma maîtresse me relève la tête en me tirant par les cheveux.

- Redresse toi, je n’ai pas fini.

Je la vois avec angoisse s’écarter d’un mètre et balancer sa jambe d’avant en arrière en visant mon entrejambe.

Avec sadisme, elle prolonge mon attente en gardant ses yeux rivés sur ma queue.

Soudain, son pied part à la vitesse de l’éclair.

Cette fois, je laisse échapper un cri de douleur.

Puis, elle revient se pendre à mon cou en préférant me travailler au corps à corps.

Se faisant câline, elle fait monter patiemment mon désir en frottant ma queue contre son genou gainée de nylon.

Elle s’acharne sur moi un long moment en alternant si bien les sévices et les caresses que je regrette presque de la voir s’arrêter.

S’absentant un court instant, elle revient en tenant à la main un long pal de plus d’un mètre surmonté d’un gode que j’avais aperçu à l’entrée de son donjon.

L’heure tardive n’a pas découragé nos fans car toutes les lumières se mettent à clignoter.

Natacha tourne la croix de Saint-André pour me mettre la tête en bas avant de m’enfoncer son pal dans les reins.

Mes admirateurs ont alors une vue surréaliste.

J’ai la tête renversée et les cuisses grandes ouvertes avec un long pieu planté dans les fesses.

Pendant de longues minutes, Natacha maintient l’attention de son public en me pilonnant le ventre.

Puis, elle redresse la croix de saint André pour insérer dans ma verge un plug urétral annelé dont l’extrémité se termine par une boule.

- La tige en métal est creuse, me précise-t-elle en la faisant coulisser dans ma verge.

- Tu pourras jouir quand je dévisserai la boule, rajoute-t-elle tout en me masturbant.

Elle m’enfonce ensuite un plug anal dont le socle très large me recouvre les fesses.

- Tu vas rester attaché ainsi pendant des heures sans dormir.

Allongée sur son lit, elle guette l’instant ou je vais m’assoupir.

Dés mes premiers signes de sommeil, elle me fouette le sexe en accrochant des poids de plus en plus lourd à mes bourses.

A d’autres moments, sans me laisser de répit, elle tire sur mes anneaux de seins.

Au cours de la nuit, elle s’approche de moi en me disant:

- Maintenant, je vais te baiser par tous tes orifices.

Elle commence par m’enfoncer un gode dans la gorge en s’assurant que j’ai toujours son plug dans mon fourreau anal.

Puis, elle dévisse la boule de l’insert plongé dans ma queue pour que je puisse jouir par la tige métallique.

Posant un vibro sur mon gland, elle le fait aller et venir sur mon frein.

Natacha n’a pas longtemps à attendre pour voir ma sève sous pression fuser par l’étroite embouchure du plug urétral.

Elle sourit quand mon sperme s’écrase en jets puissants contre le miroir sans tain en déclenchant une frénétique activité lumineuse de la part de mes admirateurs.

Je me cambre sous l’intensité de l’orgasme en dévo

Le donjon de Natacha,

J’ai posé sur mon lit ma lingerie la plus sexy pour passer le week-end avec Natacha.

C’est une dominatrice qui habite au nord de Paris.

Au téléphone, je l’ai trouvée si proche de mes attentes que j’ai accepté avec joie son invitation.

Tout à la pensée de cette rencontre, j’agrafe ma guêpière et enfile mes bas à coutures en les accrochant bien tendus aux quatre paires de jarretelles car

j’aime sentir l’exquise tension du nylon sur mes cuisses.

Mon regard s’attarde sur mon corps parfaitement épilé par des séances au laser.

J’ai conservé un joli triangle pileux sur mon pubis pour affirmer ma féminité lorsque je cache ma queue entre mes cuissses.

Puis, je garnis mes bonnets 105/D de somptueuses prothèses en silicone avant d’enfiler sur mes hanches une culotte fendue assortie à ma guêpière.

Depuis mon adolescence, j’éprouve toujours la même excitation à me glisser dans ma lingerie et à me métamorphoser en femme devant la glace.

C’est un plaisir intense dont je ne peux plus me passer et que je me donne plusieurs fois par semaine chez moi ou à l’hôtel lors de mes déplacements.

Après m’être maquillée avec soin, je me coiffe d’une perruque blonde coupée au carré.

Enfin, je me glisse dans une ravissante robe courte décorée de dentelle blanche gonflée par deux jupons superposés qui dévoilent mes jarretelles.

Je me suis habillée en blanc en espérant bien être «enfoncée» d’ici ce soir…

Je fais quelques pas devant mon miroir en contemplant mes longues jambes recouvertes de nylon mises en valeur par ma robe ultra courte.

Avant de partir, je glisse ma queue sous ma jarretelle pour éviter qu’elle ne se voit sous ma robe et je quitte mon appartement en prenant le volant de mon cabriolet sport décapoté.

Roulant sur l’autoroute par une chaleur estivale, je relève mon jupon en m’offrant délibérément à la vue des routiers.

Du haut de leurs cabines, ils bénéficient d’une vue plongeante jusqu’à la lisière de mes bas.

Lorsque je les dépasse, je reste un moment à leur hauteur en écartant les cuisses pour les allumer.

Ils me rendent un vibrant hommage par un concert de klaxons ininterrompu qui m’accompagne tout au long du trajet.

Mon GPS m’arrête devant une grande villa au cœur d’un parc arboré à l’entrée de la forêt de Compiègne.

Le portail d’entrée s’ouvre instantanément devant moi et c’est le cœur battant que je pénètre dans cette propriété.

Natacha m’attend sous le porche.

D’emblée, je suis impressionnée par sa taille.

C’est une beauté slave qui dépasse le 1,80m avec un visage aux pommettes saillantes.

Sa chevelure brune en queue de cheval la fait paraître plus jeune que ses quarante ans.

Les bonnets de son corset en cuir noir contiennent difficilement sa superbe poitrine.

Perchée sur ses cuissardes, elle me toise avec insistance pendant que j’admire son corps souple et musclé.

Elle dégage une force et une sensualité qui m’attire comme un aimant.

Je me laisse tomber à ses genoux en remontant mes mains le long de ses jambes pour caresser ses cuisses pleines et fuselées.

- Ici c’est moi qui prend l’initiative, me dit-t-elle en me plaquant brutalement au sol.

Elle se tient debout, les jambes écartées au dessus de ma tête en savourant son plaisir de me voir à ses pieds.

Cela me laisse le temps de contempler l’impressionnant gode ceinture qu’elle a fixé sur ses hanches.

Il est massif avec de grosses veines saillantes courant sur sa hampe.

Entraîné par son poids, il retombe lourdement sur ses genoux en se balançant menaçant devant mes yeux.

Je frissonne à l’idée d’être prise par cette queue monstrueuse.

Lisant dans mes pensées, Natacha me dit d’une voix moqueuse:

- Sois sans crainte, ce n’est pas pour maintenant…

Elle ne porte pas de string et je remarque que la sangle très ajustée du harnais a complétement disparu dans sa chatte.

- Maintenant relève toi et suis moi m’ordonne-t-elle en m’entraînant dans son Donjon.

Nous descendons un large escalier s’ouvrant sur une pièce aux voûtes de craie blanche.

Le sol est recouvert de tomettes de couleur ocre.

Mon regard s’attarde avec surprise sur les aménagements de cette salle.

Il y a une croix de Saint-André, un lit équipé de menottes fixées aux barreaux, une table médicale, un cheval d’arçon, une cage métallique pour les suspensions, un boudoir servant au maquillage et au travestissement…

Au mur sont fixés des barres d’écartement, une collection de fouets et divers accessoires.

Des godes emmanchés sur des pics de différentes tailles se dressent dans un coin de la pièce.

Sur une étagère sont rangés soigneusement par taille des plugs anaux et urétraux.

Quelques tables basses en forme de sexe féminin sont disposées ça et là.

Une grande pancarte accrochée au mur me donne déjà le programme: “Fellation du matin, repos du vagin, Sodomie du soir, repos des mâchoires…”

Natacha vient se coller contre moi.

Ses mains glissent de mon cou à mes cuisses, me caressent le ventre en s’attardant sur mes seins et mes hanches.

- Remonte ta robe, finit-t-elle par me dire.

J’obéis en la relevant fébrilement contre ma taille.

Sa main est attiré par le renflement évocateur de mon sexe enfoui dans ma lingerie.

Elle le fait jaillir par la fente de ma culotte en soie.

- Puisque tu es déjà prête, je vais commencer ton initiation, me dit-t-elle.

- Lorsqu’elle sera terminée, tu seras invitée aux soirées que donnent les dominatrices de la capitale.

- Tu auras beaucoup de succès en portant le corset en satin rose et noir de mon école de dressage car elles te sauront prête à satisfaire tous leurs fantasmes.

- Maintenant déshabille toi.

En quelques minutes, je me retrouve vêtue de son corset fétiche, d’une ravissante nuisette, de bas cervin aux mailles brillantes et d’escarpins de huit centimètres.

Natacha me fait asseoir devant son boudoir pour apporter quelques retouches à mon maquillage.

Une perruque brune mi longue et un fond de teint achèvent ma métamorphose.

La bourgeoise que j’étais ressemble maintenant plus à une fille de la rue Saint-Denis.

Dans la salle, je remarque les grandes glaces murales ornées d’ halogènes qui trônent aux endroits stratégiques de la pièce.

Certaines entourent le lit alors que d’autres sont posées face à la croix de Saint-André et devant la table médicale.

Je constate avec satisfaction qu’à tout moment, je pourrai me voir dans l’un de ces miroirs.

Natacha me tire de mes pensées en les montrant du doigt.

- Chaque veilleuse allumée sur le dessus signale la présence d’hommes et de femmes derrière ces glaces sans tain qui sont venus assister à ton dressage.

- Ils feront clignoter leurs lampes lorsqu’ils voudront t’encourager.

Un peu surprise, je tiens à vérifier ses propos.

Face à mon public présumé, je prends quelques poses suggestives en voyant très vite des lumières s’allumer devant mes yeux.

- Ne les faisons pas attendre plus longtemps, me dit-t-elle en m’allongeant sur la table médicale.

Natacha m’attache les mains au dessus de la tête et me baîllonne avec une de ses culottes en satin qu’elle fixe avec l’un de ses bas.

Bien que consentante, je pense avec inquiétudes aux tourments qui m’attendent quand elle relève ma nuisette sur mon ventre.

Armée d’un fouet, elle commence à me flageller doucement puis, de plus en plus fort.

Elle le fait claquer dans la piece pour m’impressionner avant de l’abattre sur mes cuisses.

Devant la violence des coups, je gémis de douleur.

- Écarte bien les jambes, m’ordonne-t-elle en bloquant mes pieds dans les étriers.

Puis, elle rapproche la table des spectateurs pour leur offrir une vue plongeante sur ma queue et ma chatte entiérement épilés.

Pendant de longues minutes, elle s’acharne sur moi avec une précision diabolique.

Mes cuisses, mon ventre et mon sexe portent très vite les marques de mon supplice.

Un peu plus tard, elle change de registre en me prodiguant des caresses.

Avec sa bouche aux capacités infinies, elle me pompe avec ardeur.

Instinctivement, je me cambre pour m’offrir davantage à cette dévoreuse de sexe.

Je voudrais arrêter le temps pour prolonger ce moment ou je me sens plus vivante que jamais.

Satisfaite de mon érection, elle saisit sur une étagère un plug urétral qu’elle lubrifie soigneusement.

Elle introduit la longue tige en inox creuse de 3 mm de diamétre dans mon gland en tenant ma verge bien droite pour qu’elle s’enfonce d’elle même par son propre poids.

Sans me quitter des yeux, Natacha accompagne sa progression en pressant habillement ma hampe entre son pouce et son index.

Je m’étonne de ne ressentir aucune douleur en voyant les vingt centimètres de l’insert s’enfoncer dans mon sexe.

Soudain, un jet d’urine sort de la tige creuse lui indiquant qu’elle a atteint ma vessie.

Puis, Natacha me masturbe lentement en faisant aller et venir le plug dans mon urètre.

Parfois, elle pose son pouce dessus pour l’empêcher de remonter.

Lorsqu’elle le retire, la tige ressort spontanément de quelques centimétres devant ses yeux.

Amusée, elle recommence plusieurs fois de suite ce scénario.

Je suis au bord de l’orgasme quand elle me plante son majeur dans l’anus.

Mettant à profit ma forte érection, elle frotte sa vulve contre ma hampe tout en faisant coulisser la tige métallique dans ma queue.

Cette scène remporte un vif succès auprès du public car les lampes se mettent à clignoter frénétiquement.

Quand Natacha me voit sur le point de jouir, elle m’écrase violemment les bourses avec sa main en me disant:

- Non, pas maintenant!

Une douleur fulgurante me traverse le ventre et me coupe le souffle.

Avec sadisme, elle m’excite à nouveau en faisant glisser sa langue le long de mon frein.

J’essaye désespérément mais en vain de me contrôler.

Un frisson me parcourt l’échine quand sa main remonte lentement le long de mes cuisses en empoignant mes parties génitales.

Ses yeux de braise fixés sur moi, elle attend que ma queue soit bien raide et que la peur envahisse mon visage pour passer à l’action.

Cette fois, elle est impitoyable.

Elle me broie les testicules par une pression insupportable.

Je suis toute tremblante et tétanisée de douleur quand mon supplice prend fin.

- C’est un bon début, je suis fière de toi, me dit-t-elle avec satisfaction en me retirant l’insert.

Elle remet de l’ordre dans ma tenue en tendant mes jarretelles avant de m’allonger sur son lit.

Puis, elle saisit un plug.

Il s’agit du fameux sceptre princier qui est la référence pour les initiés.

Natacha me fait admirer la grosse tige en inox torsadée de 6 mm de diamètre.

Son extrémité se termine par un capuchon destiné à recouvrir mon gland.

Elle le glisse lentement dans mon sexe avec une grande dextérité.

- Il est maintenant temps pour toi de devenir une vraie femme, rajoute-t-elle en brandissant un couteau à la lame effilée et courte.

- Avec cette dague, j’ai déjà féminisé un grand nombre de mes soumis.

- Sais-tu que c’est devenu un véritable phénomène de société aux USA!

- Lorsqu’un homme souffre d’une sexualité exacerbée, il est fréquent qu’il demande à une dominatrice de le libérer de cette addiction.

- Comme elle, j’aide ceux qui ne veulent plus être esclaves de leurs hormones ou qui aspirent à changer de sexe.

- Certains veulent que je leur coupe uniquement les testicules pour être libérés de leurs hormones dans l’espoir d’avoir encore quelques rares érections.

- D’autres souhaitent comme toi que je leur enlève tout pour changer de sexe.

- Tu auras l’avantage de pouvoir porter des dessous transparents qui mettront en valeur ta féminité et tu auras un orgasme anal plus intense car il ne sera plus parasité par ta queue.

- Je suis trés excitée d’être celle qui te fait bander pour la dernière fois, me dit-t-elle en me caressant longuement les bourses.

- Je veux que ta queue soit bien raide avant de la trancher, rajoute-t-elle en s’activant avec succès entre mes cuisses.

Les savantes caresses de ma belle dominatrice et la prise de viagra estompent en partie la peur qui me gagne.

Le moment venu, elle empoigne avec douceur mes paties génitales en sortant de quelques centimétres le sceptre princier de ma verge pour que sa lame n’entame pas le métal.

- Il ne faut pas que j’abîme ce magnifique bijou, s’exclame-t-elle.

- Je vais te couper la queue bien à sa racine pour qu’il ne te reste rien afin que tu te sentes réellement femme, rajoute-t-elle en appuyant sa dague sur la veine bleue gonflée de sang qui coure le long de ma verge.

- Je préfère trancher un sexe en érection bien que cela fasse davantage souffrir, me dit-t-elle avec sadisme.

Lorsqu’elle commence à me cisailler la queue, je suis prise de panique.

Étonnée de n’éprouver aucune douleur, je m’aperçois qu’elle fait semblant de la couper avec le dos de sa lame.

Natacha, éclate de rire en me voyant blêmir.

- Ce sera pour la prochaine fois, m’assure-t-elle.

- J’aurai pourtant bien aimé voir ta queue enfilée comme une brochette sur le sceptre princier.

Tout à coup, je me prends conscience que son donjon est parfaitement adapté à cet usage.

Mon matelas est protégé par une épaisse housse en plastique.

Sur le sol carrelé se trouve une grille de récupération d’eau usée ainsi qu’un tuyau d’arrosage fixé au mur pour pouvoir nettoyer rapidement les lieux.

Natacha me tire de mes pensées en posant un vibro sur mon frein.

- Maintenant, je t’autorise à jouir, me dit-t-elle.

Très vite, les vibrations me déclenchent une vague de plaisir qui me submerge et j’explose en recouvrant le sceptre princier d’épaisses coulées blanchâtres.

Ma maîtresse m’ayant interdit de jouir pendant plus d’un mois, ma sève se répand en abondance sur mon corset et mes bas.

- Tu avais des réserves, me dit-t-elle en contemplant les derniers soubresauts de ma queue.

Elle retire l’impressionnante tige torsadée ruisselante de sève de ma verge en la portant à ses lèvres.

- J’aime goûter le sperme de mes soumis, me dit-t-elle.

Un moment plus tard, elle me pose un spéculum à trois branches qu’elle ouvre en grand pour me dilater l’anus.

La peur s’empare à nouveau de moi quand je la vois se pencher sur ma queue un rasoir à la main.

Je sursaute lorsque la lame glacée glisse le long de ma verge en tranchant la moindre pilosité.

Natacha régularise avec soin les contours de mon triangle de vénus et termine en me rasant méticuleusement l’anus.

- Désormais, je t’interdis de jouir, me dit-t-elle en retirant le spéculum et en déroulant un préservatif sur ma queue.

- Il va me servir de témoin.

- Si à la fin de nos jeux, je retrouve du sperme à l’intérieur, je te punirai sévèrement.

Poursuivant la séance, elle m’installe un étrange cockring métallique autour de la verge.

Il se prolonge d’une barre en inox munie d’une boule à son extrémité.

Son diamètre étant supérieur à une boule d’attelage, Natacha doit forcer mon anus pour la faire rentrer.

A peine a-t-elle réussie, qu’elle la retire brutalement en m’arrachant un cri de douleur.

- Doucement, je t’en supplie, lui dis-je en l’implorant du regard.

Sans prendre la peine de me répondre, elle l’enfonce à nouveau tout aussi violemment dans ma grotte.

- Je vais maintenant te mettre à l’épreuve, me chuchote-t-elle à l’oreille.

Retirant son string, elle s’assoit à califourchon sur mes cuisses en me faisant face.

- Je te rappelle que tu ne dois pas jouir, me dit-t-elle d’une voix menaçante.

Elle me masturbe d’abord lentement, puis sur un rythme plus rapide tout en faisant aller et venir la boule du cockring dans mes fesses.

Puis, elle enfonce ma queue dans sa chatte brûlante de désir et avide de sexe en me caressant les bourses et le périnée.

J’essaye en vain de résister à ses assauts, mais elle s’active sur ma colonne de chair qui se durcit de plus en plus.

Je me sens dominée par cette mante religieuse qui immobilise son mâle pour mieux le dévorer.

À mon grand soulagement, elle finit par s’arrêter.

- J’espère pour toi que tu n’as pas jouis, me dit-t-elle en retirant mon préservatif.

Quand elle le retourne dans sa main, je vois avec inquiétude quelques gouttes de sperme couler dans sa paume.

- Ce soir, tu regretteras de m’avoir désobéis, m’assure-t-elle en me jetant un regard lourd de menaces.

- Pour l’instant, je poursuis ton dressage.

Je suis allongée sur son lit quand ses mains plongent dans les bonnets de ma guêpière pour retirer mes prothèses en silicone de 500gr.

Saisissant un coton imprégné d’un produit réfrigérant, elle glace mes tétons pour les insensibiliser.

Avant que je puisse réagir, elle les perce avec une aiguille.

Je ressens une douleur aiguë qui s’estompe pendant qu’elle fixe des anneaux en acier sur mes aréoles.

- Ces bijoux portent mon prénom et ne pourront plus s’enlever.

- Désormais, tu m’appartiens, me susurre t-t-elle à l’oreille en me nouant un bandeau de soie autour du cou.

Elle s’allonge sur moi en frottant ma queue contre sa cuisse gainée de nylon.

Le contact des fibres synthétiques sur mon gland me déclenchent une érection spectaculaire.

- Maintenant, je veux que tu me baises, me dit-t-elle en s’empalant sur ma verge.

Sa chatte devient une irrésistible pompe à sperme lorsqu’elle roule et ondule du bassin.

Elle se penche sur mon visage en me serrant la gorge avec son foulard en soie.

Natacha me comprime les carotides pour me faire bander plus fort.

Puis, elle relâche la pression en s’activant sur ma queue avant de recommencer.

Je suis totalement livrée aux pulsions de ma Maîtresse.

La peur qui m’envahit est étroitement mêlée au plaisir étrange qu’elle me fait découvrir.

A chaque fois, elle maintient le garrot serré un peu plus longtemps pour accroître la tension sur mon sexe.

La quasi totalité des lampes témoins se mettent à clignoter pour plébisciter la scène.

- Je vais t’achever maintenant, me dit-t-elle.

Elle se trémousse d’une manière irrésistible tout en me comprimant la queue avec sa chatte.

Ses yeux rivés aux miens, elle m’immobilise par le poids de son corps en m’écrasant les carotides jusqu’à ce que je me mette à trembler.

Soudain, une vague de plaisir m’emporte et ma sève fuse en jets puissants dans le ventre de ma Maîtresse.

Dans le même temps, un voile noir me tombe sur les yeux et elle doit desserrer le foulard pour éviter que je perde connaissance.

- Tu m’as noyée, me dit-t-elle en regardant mon sperme ruisseler le long de ses cuisses

Pendant que je reprends mon souffle, je la vois sortir un étrange plug d’un tiroir .

- Regarde, il est formé de trois anneaux, me dit-t-elle.

- Le premier à un diamètre semblable à une bouteille de vin.

- Le second plus gros à la dimension d’une bouteille de champagne.

- Enfin, le dernier mesurant 10 cm de diamètre est réservé à quelques rares initiés car il a le diamètre mythique du plug B52.

- Je t’avoue que peu de mes soumis sont parvenus à ce stade, m’assure-t-elle en le lubrifiant copieusement.

Puis, Natacha m’installe sur un étrange cheval d’arçon.

Son extrémité est équipée d’un carcan qu’elle referme sur ma tête et mes poignets.

Allongée sur le ventre et mes pieds ne touchant pas le sol, je ne peux plus bouger.

Elle contemple un moment ma croupe sur laquelle sont tendues mes jarretelles.

Son regard se fixe sur mon œillet enfoui dans l’écrin de dentelle de ma culotte ouverte.

Cette vision enflamme les sens de ma maîtresse qui passe à l’action.

- Avec un tel calibre, ça va être vraiment un viol, me chuchote-t-elle à l’oreille.

Le premier anneau s’engouffre facilement dans ma grotte.

Elle presse fortement le gode avec son genou pour rentrer le suivant.

- Maintenant aide moi en poussant fort, me dit-t-elle.

Après plusieurs tentatives infructueuses, le pal m’ouvre en deux en s’engouffrant au plus profond de mes reins.

Ma douleur est intense car mes sphincters dilatés à l’extrême se sont refermés sur le dernier anneau.

Je ne peux plus l’expulser sans courir le risque de me déchirer le périnée.

Quelques instants plus tard, Natacha arrive à le retirer avec d’infinis précautions pour ne pas me blesser en étant ravie d’avoir réussie cet exploit.

Je me demande ce qu’elle va encore inventer lorsqu’elle m’allonge sur son lit.

Sans perdre un instant, elle enfile un gant en latex et plonge son poing dans mon anus resté grand ouvert.

Elle tourne son poignet de droite à gauche pour m’empaler plus facilement.

Je suis sidérée de voir son bras s’enfoncer jusqu’au coude.

- Je sens ton pouls battre contre ma peau, me murmure-t-elle très excitée en me fouillant de plus belle pour satisfaire son public.

Quelques minutes plus tard Natacha ressort lentement son bras de mes fesses en informant les voyeurs qu’elle va faire une pause.

Arrivée dans sa salle à manger pour se restaurer, elle me transforme en soubrette pour que je lui serve son repas.

Pendant qu’elle mange, je suis à genoux, la tête entre ses cuisses en faisant glisser ma langue sans trêve de son œillet à sa chatte.

A la fin de son repas, elle se lève en me rappelant sa promesse.

- Je vais te faire passer une nuit que tu n’es pas prête d’oublier!

Elle m’entraîne au centre de son donjon.

- Lève les bras, m’ordonne-t-elle en m’attachant les poignets à des chaînes fixées au plafond.

- Regarde, tu as de la visite.

Je vois avec surprise les miroirs sans tain coulisser sur leurs rails et céder le passage à des dominatrices en tenue SM accompagnées de leurs esclaves.

Elles viennent se mettre en cercle autour de moi.

Les soumis sont de belles transsexuelles aux seins sublimes qui ont entre les jambes une queue à rendre jaloux la plupart des mâles.

Elles me regardent enchaînée et offerte à leurs désirs pendant que leurs Maîtresses les préparent en les masturbant.

La spectacle que j’offre les excite fortement car:

Je suis suspendue à mes chaînes, les fesses cambrées par mon corset et sublimées par mes talons aiguilles qui font ressortir ma croupe.

Au signal de ma Maîtresse ces créatures du troisième sexe viennent m’embrocher l’une après l’autre sans interruption.

Je suis totalement comblée par ces femmes phalliques qui pressent leurs seins superbes contre moi tout en m’enfonçant leurs queues gonflées de désir dans le ventre.

Je ne compte plus les fois qu’elles se sont vidées dans mes reins.

Pour finir, une splendide panthère noire me fait face.

Visiblement, elle n’en peut plus d’attendre.

Son visage ressemble au mannequin Naomie.

Même corps souple et fin qui dégage une sensualité à fleur de peau.

Prise d’une pulsion irrésistible, elle plaque mes jambes contre sa taille pour m’enfoncer son sexe d’ébène dans le ventre.

Trop impatiente lors de sa première tentative, sa queue manque son objectif et vient glisser contre mon ventre.

A la suivante, je gémis de plaisir lorsqu’elle m’embroche d’un coup jusqu’à la garde.

Quelques minutes plus tard, son corps se met à trembler lorsqu’elle décharge longuement en moi.

Prolongeant notre plaisir, nous nous embrassons en restant soudées l’une à l’autre.

Lorsqu’elle se retire d’épaisses coulées blanchâtres s’échappent de mes fesses en s’accrochant comme des guirlandes à mes bas.

Pour arrêter l’écoulement, elle me plonge un rosebud dans l’œillet en me disant:

- Comme cela, tu garderas ma sève plus longtemps en toi.

Peu après, Natacha invite les participants à retourner derrière les glaces murales.

Puis, elle m’attache solidement les mains et les chevilles à la croix de Saint-André.

Je me retrouve écartelée face à elle.

- J’étais très jalouse de voir toutes ces jolies filles te baiser, me confie-t-elle en frottant mon sexe contre sa cuisse gainée de nylon.

- Je suis surprise de voir que tu bandes encore, me dit-t-elle avec admiration en me pressant les seins.

Elle m’enlace amoureusement en me regardant droit dans les yeux.

- Tu n’es pas raisonnable, je vais devoir te calmer, me murmure-t-elle à l’oreille.

Soudain, tout bascule.

Elle s’accroche à mon cou pour se stabiliser avant de projeter avec une violence inouïe son genou sur mes bourses.

Submergée de douleur, aucun son ne peut sortir de ma gorge lorsque mon corps s’affaisse sur la croix.

Ma maîtresse me relève la tête en me tirant par les cheveux.

- Redresse toi, je n’ai pas fini.

Je la vois avec angoisse s’écarter d’un mètre et balancer sa jambe d’avant en arrière en visant mon entrejambe.

Avec sadisme, elle prolonge mon attente en gardant ses yeux rivés sur ma queue.

Soudain, son pied part à la vitesse de l’éclair.

Cette fois, je laisse échapper un cri de douleur.

Puis, elle revient se pendre à mon cou en préférant me travailler au corps à corps.

Se faisant câline, elle fait monter patiemment mon désir en frottant ma queue contre son genou gainée de nylon.

Elle s’acharne sur moi un long moment en alternant si bien les sévices et les caresses que je regrette presque de la voir s’arrêter.

S’absentant un court instant, elle revient en tenant à la main un long pal de plus d’un mètre surmonté d’un gode que j’avais aperçu à l’entrée de son donjon.

L’heure tardive n’a pas découragé nos fans car toutes les lumières se mettent à clignoter.

Natacha tourne la croix de Saint-André pour me mettre la tête en bas avant de m’enfoncer son pal dans les reins.

Mes admirateurs ont alors une vue surréaliste.

J’ai la tête renversée et les cuisses grandes ouvertes avec un long pieu planté dans les fesses.

Pendant de longues minutes, Natacha maintient l’attention de son public en me pilonnant le ventre.

Puis, elle redresse la croix de saint André pour insérer dans ma verge un plug urétral annelé dont l’extrémité se termine par une boule.

- La tige en métal est creuse, me précise-t-elle en la faisant coulisser dans ma verge.

- Tu pourras jouir quand je dévisserai la boule, rajoute-t-elle tout en me masturbant.

Elle m’enfonce ensuite un plug anal dont le socle très large me recouvre les fesses.

- Tu vas rester attaché ainsi pendant des heures sans dormir.

Allongée sur son lit, elle guette l’instant ou je vais m’assoupir.

Dés mes premiers signes de sommeil, elle me fouette le sexe en accrochant des poids de plus en plus lourd à mes bourses.

A d’autres moments, sans me laisser de répit, elle tire sur mes anneaux de seins.

Au cours de la nuit, elle s’approche de moi en me disant:

- Maintenant, je vais te baiser par tous tes orifices.

Elle commence par m’enfoncer un gode dans la gorge en s’assurant que j’ai toujours son plug dans mon fourreau anal.

Puis, elle dévisse la boule de l’insert plongé dans ma queue pour que je puisse jouir par la tige métallique.

Posant un vibro sur mon gland, elle le fait aller et venir sur mon frein.

Natacha n’a pas longtemps à attendre pour voir ma sève sous pression fuser par l’étroite embouchure du plug urétral.

Elle sourit quand mon sperme s’écrase en jets puissants contre le miroir sans tain en déclenchant une frénétique activité lumineuse de la part de mes admirateurs.

Je me cambre sous l’intensité de l’orgasme en dévoilant l’impressionnant socle du plug planté dans mes fesses.

Jusqu’à l’aube, ivre de fatigue et toujours attachée à la croix de Saint-André, je continue à subir les caprices de ma Maîtresse.

Merci de me donner votre avis sur ce récit à: [email protected]

ilant l’impressionnant socle du plug planté dans mes fesses.

Jusqu’à l’aube, ivre de fatigue et toujours attachée à la croix de Saint-André, je continue à subir les caprices de ma Maîtresse.

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ICRA

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