nov 012015

Les avantages du Fémidom en portant une culotte ouverte,

Je m’allonge sur mon lit pour mettre mon Fémidom.

J’enlève le petit anneau du fond pour l’utiliser en anal comme l’indique la notice et je l’enfonce en moi en plaquant l’anneau le plus grand sur mon pubis.

Je garde ce préservatif féminin pendant la journée pour être prête à faire l’amour à tous moment.

J’ai la sensation de me sentir plus femme en ayant cette protection.

Je porte une culotte fendue sous ma jupe afin de pouvoir être prise rapidement dans les lieux publiques (les cabines d’essayages des grands magasins, les cages d’escaliers, les jardins publics…)

Ainsi, mon ami ne risque plus de débander comme cela arrivait parfois quand je perdais du temps à enlever ma culotte et à lui mettre son préservatif.

Sur un plan pratique, quand je vais aux toilettes, j’ai l’avantage de ne pas devoir retirer mes jarretelles.

Excité par la vue de ma culotte fendue, mon ami aime découvrir mon oeillet enfoui dans son écrin de dentelle et de soie.

Il passe sa main sous ma jupe et glisse son doigt dans ma grotte pour s’assurer que je suis bien ouverte.

Je répond à son désir en me penchant en avant et en écartant les cuisses.

Il n’a plus qu’à soulever ma jupe pour me prendre au plus fort de nos pulsions sexuelles.

Après chaque rapport, je place mon rosebud dans mon fourreau anal pour conserver sa sève encore chaude et éviter qu’elle ne coule entre mes cuisses.

Il me reprend ainsi plusieurs fois dans la journée selon nos envies dans un square, un escalier d’immeuble, sous un porche…

A la fin de la journée, je peux lui montrer le volume de sperme recueilli dans mon fémidom.

Pendant la nuit, il lui arrive de retirer mon rosebud pour assouvir son fantasme de me prendre pendant mon sommeil.

Faisant semblant de dormir, je le laisse me labourer les reins.

Ma chatte étant mieux innervée qu’un vagin, je sens son sperme fuser contre ma paroi anale lorsqu’il jouit en moi.

Le fémidom étant très confortable, je le porte également lors de mes sorties dans les clubs libertins.

Je choisis les endroits fréquentés par des cougars qui drainent dans leur sillage de jeunes éphèbes attirés par leur sexualité débridée et sans tabou.

Comme elles, je porte une tenue provocante et un maquillage sophistiqué qui me fait leur ressembler.

Bien souvent, un seul échange de regards suffit pour rentrer en contact.

Dans la pénombre des lieux rien ne me distingue de ces filles matures lorsque j’entraîne mon soupirant par la main dans un endroit tranquille.

Repérant une banquette, je m’allonge sur le ventre.

Je n’ai qu’à soulever ma jupe pour fixer son regard sur mes cuisses gainées de nylon et sur ma culotte fendue en satin rouge et noir qui dévoile la raie de mes fesses.

Il hésite un instant en voyant mon préservatif féminin enfoncé dans ma chatte qui lui montre le chemin.

Trop heureux de pouvoir sodomiser selon sa clairvoyance une cougar ou un travesti, il ne pense plus qu’à me baiser.

Fou de désir, il s’enfonce en moi jusqu’à la racine de son sexe.

J’ai alors le plaisir d’être prise en me sentant vraiment femme

Donnez moi votre avis à [email protected].

nov 012015

C5

Le donjon de Natacha,

J’ai posé sur mon lit ma lingerie la plus sexy pour passer le week-end avec Natacha.

C’est une dominatrice qui habite au nord de Paris.

Au téléphone, je l’ai trouvée si proche de mes attentes que j’ai accepté avec joie son invitation.

Tout à la pensée de cette rencontre, j’agrafe ma guêpière et enfile mes bas à coutures en les accrochant bien tendus aux quatre paires de jarretelles car

j’aime sentir l’exquise tension du nylon sur mes cuisses.

Mon regard s’attarde sur mon corps parfaitement épilé par des séances au laser.

J’ai conservé un joli triangle pileux sur mon pubis pour affirmer ma féminité lorsque je cache ma queue entre mes cuissses.

Puis, je garnis mes bonnets 105/D de somptueuses prothèses en silicone avant d’enfiler sur mes hanches une culotte fendue assortie à ma guêpière.

Depuis mon adolescence, j’éprouve toujours la même excitation à me glisser dans ma lingerie et à me métamorphoser en femme devant la glace.

C’est un plaisir intense dont je ne peux plus me passer et que je me donne plusieurs fois par semaine chez moi ou à l’hôtel lors de mes déplacements.

Après m’être maquillée avec soin, je me coiffe d’une perruque blonde coupée au carré.

Enfin, je me glisse dans une ravissante robe courte décorée de dentelle blanche gonflée par deux jupons superposés qui dévoilent mes jarretelles.

Je me suis habillée en blanc en espérant bien être «enfoncée» d’ici ce soir…

Je fais quelques pas devant mon miroir en contemplant mes longues jambes recouvertes de nylon mises en valeur par ma robe ultra courte.

Avant de partir, je glisse ma queue sous ma jarretelle pour éviter qu’elle ne se voit sous ma robe et je quitte mon appartement en prenant le volant de mon cabriolet sport décapoté.

Roulant sur l’autoroute par une chaleur estivale, je relève mon jupon en m’offrant délibérément à la vue des routiers.

Du haut de leurs cabines, ils bénéficient d’une vue plongeante jusqu’à la lisière de mes bas.

Lorsque je les dépasse, je reste un moment à leur hauteur en écartant les cuisses pour les allumer.

Ils me rendent un vibrant hommage par un concert de klaxons ininterrompu qui m’accompagne tout au long du trajet.

Mon GPS m’arrête devant une grande villa au cœur d’un parc arboré à l’entrée de la forêt de Compiègne.

Le portail d’entrée s’ouvre instantanément devant moi et c’est le cœur battant que je pénètre dans cette propriété.

Natacha m’attend sous le porche.

D’emblée, je suis impressionnée par sa taille.

C’est une beauté slave qui dépasse le 1,80m avec un visage aux pommettes saillantes.

Sa chevelure brune en queue de cheval la fait paraître plus jeune que ses quarante ans.

Les bonnets de son corset en cuir noir contiennent difficilement sa superbe poitrine.

Perchée sur ses cuissardes, elle me toise avec insistance pendant que j’admire son corps souple et musclé.

Elle dégage une force et une sensualité qui m’attire comme un aimant.

Je me laisse tomber à ses genoux en remontant mes mains le long de ses jambes pour caresser ses cuisses pleines et fuselées.

- Ici c’est moi qui prend l’initiative, me dit-t-elle en me plaquant brutalement au sol.

Elle se tient debout, les jambes écartées au dessus de ma tête en savourant son plaisir de me voir à ses pieds.

Cela me laisse le temps de contempler l’impressionnant gode ceinture qu’elle a fixé sur ses hanches.

Il est massif avec de grosses veines saillantes courant sur sa hampe.

Entraîné par son poids, il retombe lourdement sur ses genoux en se balançant menaçant devant mes yeux.

Je frissonne à l’idée d’être prise par cette queue monstrueuse.

Lisant dans mes pensées, Natacha me dit d’une voix moqueuse:

- Sois sans crainte, ce n’est pas pour maintenant…

Elle ne porte pas de string et je remarque que la sangle très ajustée du harnais a complétement disparu dans sa chatte.

- Maintenant relève toi et suis moi m’ordonne-t-elle en m’entraînant dans son Donjon.

Nous descendons un large escalier s’ouvrant sur une pièce aux voûtes de craie blanche.

Le sol est recouvert de tomettes de couleur ocre.

Mon regard s’attarde avec surprise sur les aménagements de cette salle.

Il y a une croix de Saint-André, un lit équipé de menottes fixées aux barreaux, une table médicale, un cheval d’arçon, une cage métallique pour les suspensions, un boudoir servant au maquillage et au travestissement…

Au mur sont fixés des barres d’écartement, une collection de fouets et divers accessoires.

Des godes emmanchés sur des pics de différentes tailles se dressent dans un coin de la pièce.

Sur une étagère sont rangés soigneusement par taille des plugs anaux et urétraux.

Quelques tables basses en forme de sexe féminin sont disposées ça et là.

Une grande pancarte accrochée au mur me donne déjà le programme: “Fellation du matin, repos du vagin, Sodomie du soir, repos des mâchoires…”

Natacha vient se coller contre moi.

Ses mains glissent de mon cou à mes cuisses, me caressent le ventre en s’attardant sur mes seins et mes hanches.

- Remonte ta robe, finit-t-elle par me dire.

J’obéis en la relevant fébrilement contre ma taille.

Sa main est attiré par le renflement évocateur de mon sexe enfoui dans ma lingerie.

Elle le fait jaillir par la fente de ma culotte en soie.

- Puisque tu es déjà prête, je vais commencer ton initiation, me dit-t-elle.

- Lorsqu’elle sera terminée, tu seras invitée aux soirées que donnent les dominatrices de la capitale.

- Tu auras beaucoup de succès en portant le corset en satin rose et noir de mon école de dressage car elles te sauront prête à satisfaire tous leurs fantasmes.

- Maintenant déshabille toi.

En quelques minutes, je me retrouve vêtue de son corset fétiche, d’une ravissante nuisette, de bas cervin aux mailles brillantes et d’escarpins de huit centimètres.

Natacha me fait asseoir devant son boudoir pour apporter quelques retouches à mon maquillage.

Une perruque brune mi longue et un fond de teint achèvent ma métamorphose.

La bourgeoise que j’étais ressemble maintenant plus à une fille de la rue Saint-Denis.

Dans la salle, je remarque les grandes glaces murales ornées d’ halogènes qui trônent aux endroits stratégiques de la pièce.

Certaines entourent le lit alors que d’autres sont posées face à la croix de Saint-André et devant la table médicale.

Je constate avec satisfaction qu’à tout moment, je pourrai me voir dans l’un de ces miroirs.

Natacha me tire de mes pensées en les montrant du doigt.

- Chaque veilleuse allumée sur le dessus signale la présence d’hommes et de femmes derrière ces glaces sans tain qui sont venus assister à ton dressage.

- Ils feront clignoter leurs lampes lorsqu’ils voudront t’encourager.

Un peu surprise, je tiens à vérifier ses propos.

Face à mon public présumé, je prends quelques poses suggestives en voyant très vite des lumières s’allumer devant mes yeux.

- Ne les faisons pas attendre plus longtemps, me dit-t-elle en m’allongeant sur la table médicale.

Natacha m’attache les mains au dessus de la tête et me baîllonne avec une de ses culottes en satin qu’elle fixe avec l’un de ses bas.

Bien que consentante, je pense avec inquiétudes aux tourments qui m’attendent quand elle relève ma nuisette sur mon ventre.

Armée d’un fouet, elle commence à me flageller doucement puis, de plus en plus fort.

Elle le fait claquer dans la piece pour m’impressionner avant de l’abattre sur mes cuisses.

Devant la violence des coups, je gémis de douleur.

- Écarte bien les jambes, m’ordonne-t-elle en bloquant mes pieds dans les étriers.

Puis, elle rapproche la table des spectateurs pour leur offrir une vue plongeante sur ma queue et ma chatte entiérement épilés.

Pendant de longues minutes, elle s’acharne sur moi avec une précision diabolique.

Mes cuisses, mon ventre et mon sexe portent très vite les marques de mon supplice.

Un peu plus tard, elle change de registre en me prodiguant des caresses.

Avec sa bouche aux capacités infinies, elle me pompe avec ardeur.

Instinctivement, je me cambre pour m’offrir davantage à cette dévoreuse de sexe.

Je voudrais arrêter le temps pour prolonger ce moment ou je me sens plus vivante que jamais.

Satisfaite de mon érection, elle saisit sur une étagère un plug urétral qu’elle lubrifie soigneusement.

Elle introduit la longue tige en inox creuse de 3 mm de diamétre dans mon gland en tenant ma verge bien droite pour qu’elle s’enfonce d’elle même par son propre poids.

Sans me quitter des yeux, Natacha accompagne sa progression en pressant habillement ma hampe entre son pouce et son index.

Je m’étonne de ne ressentir aucune douleur en voyant les vingt centimètres de l’insert s’enfoncer dans mon sexe.

Soudain, un jet d’urine sort de la tige creuse lui indiquant qu’elle a atteint ma vessie.

Puis, Natacha me masturbe lentement en faisant aller et venir le plug dans mon urètre.

Parfois, elle pose son pouce dessus pour l’empêcher de remonter.

Lorsqu’elle le retire, la tige ressort spontanément de quelques centimétres devant ses yeux.

Amusée, elle recommence plusieurs fois de suite ce scénario.

Je suis au bord de l’orgasme quand elle me plante son majeur dans l’anus.

Mettant à profit ma forte érection, elle frotte sa vulve contre ma hampe tout en faisant coulisser la tige métallique dans ma queue.

Cette scène remporte un vif succès auprès du public car les lampes se mettent à clignoter frénétiquement.

Quand Natacha me voit sur le point de jouir, elle m’écrase violemment les bourses avec sa main en me disant:

- Non, pas maintenant!

Une douleur fulgurante me traverse le ventre et me coupe le souffle.

Avec sadisme, elle m’excite à nouveau en faisant glisser sa langue le long de mon frein.

J’essaye désespérément mais en vain de me contrôler.

Un frisson me parcourt l’échine quand sa main remonte lentement le long de mes cuisses en empoignant mes parties génitales.

Ses yeux de braise fixés sur moi, elle attend que ma queue soit bien raide et que la peur envahisse mon visage pour passer à l’action.

Cette fois, elle est impitoyable.

Elle me broie les testicules par une pression insupportable.

Je suis toute tremblante et tétanisée de douleur quand mon supplice prend fin.

- C’est un bon début, je suis fière de toi, me dit-t-elle avec satisfaction en me retirant l’insert.

Elle remet de l’ordre dans ma tenue en tendant mes jarretelles avant de m’allonger sur son lit.

Puis, elle saisit un plug.

Il s’agit du fameux sceptre princier qui est la référence pour les initiés.

Natacha me fait admirer la grosse tige en inox torsadée de 6 mm de diamètre.

Son extrémité se termine par un capuchon destiné à recouvrir mon gland.

Elle le glisse lentement dans mon sexe avec une grande dextérité.

- Il est maintenant temps pour toi de devenir une vraie femme, rajoute-t-elle en brandissant un couteau à la lame effilée et courte.

- Avec cette dague, j’ai déjà féminisé un grand nombre de mes soumis.

- Sais-tu que c’est devenu un véritable phénomène de société aux USA!

- Lorsqu’un homme souffre d’une sexualité exacerbée, il est fréquent qu’il demande à une dominatrice de le libérer de cette addiction.

- Comme elle, j’aide ceux qui ne veulent plus être esclaves de leurs hormones ou qui aspirent à changer de sexe.

- Certains veulent que je leur coupe uniquement les testicules pour être libérés de leurs hormones dans l’espoir d’avoir encore quelques rares érections.

- D’autres souhaitent comme toi que je leur enlève tout pour changer de sexe.

- Tu auras l’avantage de pouvoir porter des dessous transparents qui mettront en valeur ta féminité et tu auras un orgasme anal plus intense car il ne sera plus parasité par ta queue.

- Je suis trés excitée d’être celle qui te fait bander pour la dernière fois, me dit-t-elle en me caressant longuement les bourses.

- Je veux que ta queue soit bien raide avant de la trancher, rajoute-t-elle en s’activant avec succès entre mes cuisses.

Les savantes caresses de ma belle dominatrice et la prise de viagra estompent en partie la peur qui me gagne.

Le moment venu, elle empoigne avec douceur mes paties génitales en sortant de quelques centimétres le sceptre princier de ma verge pour que sa lame n’entame pas le métal.

- Il ne faut pas que j’abîme ce magnifique bijou, s’exclame-t-elle.

- Je vais te couper la queue bien à sa racine pour qu’il ne te reste rien afin que tu te sentes réellement femme, rajoute-t-elle en appuyant sa dague sur la veine bleue gonflée de sang qui coure le long de ma verge.

- Je préfère trancher un sexe en érection bien que cela fasse davantage souffrir, me dit-t-elle avec sadisme.

Lorsqu’elle commence à me cisailler la queue, je suis prise de panique.

Étonnée de n’éprouver aucune douleur, je m’aperçois qu’elle fait semblant de la couper avec le dos de sa lame.

Natacha, éclate de rire en me voyant blêmir.

- Ce sera pour la prochaine fois, m’assure-t-elle.

- J’aurai pourtant bien aimé voir ta queue enfilée comme une brochette sur le sceptre princier.

Tout à coup, je me prends conscience que son donjon est parfaitement adapté à cet usage.

Mon matelas est protégé par une épaisse housse en plastique.

Sur le sol carrelé se trouve une grille de récupération d’eau usée ainsi qu’un tuyau d’arrosage fixé au mur pour pouvoir nettoyer rapidement les lieux.

Natacha me tire de mes pensées en posant un vibro sur mon frein.

- Maintenant, je t’autorise à jouir, me dit-t-elle.

Très vite, les vibrations me déclenchent une vague de plaisir qui me submerge et j’explose en recouvrant le sceptre princier d’épaisses coulées blanchâtres.

Ma maîtresse m’ayant interdit de jouir pendant plus d’un mois, ma sève se répand en abondance sur mon corset et mes bas.

- Tu avais des réserves, me dit-t-elle en contemplant les derniers soubresauts de ma queue.

Elle retire l’impressionnante tige torsadée ruisselante de sève de ma verge en la portant à ses lèvres.

- J’aime goûter le sperme de mes soumis, me dit-t-elle.

Un moment plus tard, elle me pose un spéculum à trois branches qu’elle ouvre en grand pour me dilater l’anus.

La peur s’empare à nouveau de moi quand je la vois se pencher sur ma queue un rasoir à la main.

Je sursaute lorsque la lame glacée glisse le long de ma verge en tranchant la moindre pilosité.

Natacha régularise avec soin les contours de mon triangle de vénus et termine en me rasant méticuleusement l’anus.

- Désormais, je t’interdis de jouir, me dit-t-elle en retirant le spéculum et en déroulant un préservatif sur ma queue.

- Il va me servir de témoin.

- Si à la fin de nos jeux, je retrouve du sperme à l’intérieur, je te punirai sévèrement.

Poursuivant la séance, elle m’installe un étrange cockring métallique autour de la verge.

Il se prolonge d’une barre en inox munie d’une boule à son extrémité.

Son diamètre étant supérieur à une boule d’attelage, Natacha doit forcer mon anus pour la faire rentrer.

A peine a-t-elle réussie, qu’elle la retire brutalement en m’arrachant un cri de douleur.

- Doucement, je t’en supplie, lui dis-je en l’implorant du regard.

Sans prendre la peine de me répondre, elle l’enfonce à nouveau tout aussi violemment dans ma grotte.

- Je vais maintenant te mettre à l’épreuve, me chuchote-t-elle à l’oreille.

Retirant son string, elle s’assoit à califourchon sur mes cuisses en me faisant face.

- Je te rappelle que tu ne dois pas jouir, me dit-t-elle d’une voix menaçante.

Elle me masturbe d’abord lentement, puis sur un rythme plus rapide tout en faisant aller et venir la boule du cockring dans mes fesses.

Puis, elle enfonce ma queue dans sa chatte brûlante de désir et avide de sexe en me caressant les bourses et le périnée.

J’essaye en vain de résister à ses assauts, mais elle s’active sur ma colonne de chair qui se durcit de plus en plus.

Je me sens dominée par cette mante religieuse qui immobilise son mâle pour mieux le dévorer.

À mon grand soulagement, elle finit par s’arrêter.

- J’espère pour toi que tu n’as pas jouis, me dit-t-elle en retirant mon préservatif.

Quand elle le retourne dans sa main, je vois avec inquiétude quelques gouttes de sperme couler dans sa paume.

- Ce soir, tu regretteras de m’avoir désobéis, m’assure-t-elle en me jetant un regard lourd de menaces.

- Pour l’instant, je poursuis ton dressage.

Je suis allongée sur son lit quand ses mains plongent dans les bonnets de ma guêpière pour retirer mes prothèses en silicone de 500gr.

Saisissant un coton imprégné d’un produit réfrigérant, elle glace mes tétons pour les insensibiliser.

Avant que je puisse réagir, elle les perce avec une aiguille.

Je ressens une douleur aiguë qui s’estompe pendant qu’elle fixe des anneaux en acier sur mes aréoles.

- Ces bijoux portent mon prénom et ne pourront plus s’enlever.

- Désormais, tu m’appartiens, me susurre t-t-elle à l’oreille en me nouant un bandeau de soie autour du cou.

Elle s’allonge sur moi en frottant ma queue contre sa cuisse gainée de nylon.

Le contact des fibres synthétiques sur mon gland me déclenchent une érection spectaculaire.

- Maintenant, je veux que tu me baises, me dit-t-elle en s’empalant sur ma verge.

Sa chatte devient une irrésistible pompe à sperme lorsqu’elle roule et ondule du bassin.

Elle se penche sur mon visage en me serrant la gorge avec son foulard en soie.

Natacha me comprime les carotides pour me faire bander plus fort.

Puis, elle relâche la pression en s’activant sur ma queue avant de recommencer.

Je suis totalement livrée aux pulsions de ma Maîtresse.

La peur qui m’envahit est étroitement mêlée au plaisir étrange qu’elle me fait découvrir.

A chaque fois, elle maintient le garrot serré un peu plus longtemps pour accroître la tension sur mon sexe.

La quasi totalité des lampes témoins se mettent à clignoter pour plébisciter la scène.

- Je vais t’achever maintenant, me dit-t-elle.

Elle se trémousse d’une manière irrésistible tout en me comprimant la queue avec sa chatte.

Ses yeux rivés aux miens, elle m’immobilise par le poids de son corps en m’écrasant les carotides jusqu’à ce que je me mette à trembler.

Soudain, une vague de plaisir m’emporte et ma sève fuse en jets puissants dans le ventre de ma Maîtresse.

Dans le même temps, un voile noir me tombe sur les yeux et elle doit desserrer le foulard pour éviter que je perde connaissance.

- Tu m’as noyée, me dit-t-elle en regardant mon sperme ruisseler le long de ses cuisses

Pendant que je reprends mon souffle, je la vois sortir un étrange plug d’un tiroir .

- Regarde, il est formé de trois anneaux, me dit-t-elle.

- Le premier à un diamètre semblable à une bouteille de vin.

- Le second plus gros à la dimension d’une bouteille de champagne.

- Enfin, le dernier mesurant 10 cm de diamètre est réservé à quelques rares initiés car il a le diamètre mythique du plug B52.

- Je t’avoue que peu de mes soumis sont parvenus à ce stade, m’assure-t-elle en le lubrifiant copieusement.

Puis, Natacha m’installe sur un étrange cheval d’arçon.

Son extrémité est équipée d’un carcan qu’elle referme sur ma tête et mes poignets.

Allongée sur le ventre et mes pieds ne touchant pas le sol, je ne peux plus bouger.

Elle contemple un moment ma croupe sur laquelle sont tendues mes jarretelles.

Son regard se fixe sur mon œillet enfoui dans l’écrin de dentelle de ma culotte ouverte.

Cette vision enflamme les sens de ma maîtresse qui passe à l’action.

- Avec un tel calibre, ça va être vraiment un viol, me chuchote-t-elle à l’oreille.

Le premier anneau s’engouffre facilement dans ma grotte.

Elle presse fortement le gode avec son genou pour rentrer le suivant.

- Maintenant aide moi en poussant fort, me dit-t-elle.

Après plusieurs tentatives infructueuses, le pal m’ouvre en deux en s’engouffrant au plus profond de mes reins.

Ma douleur est intense car mes sphincters dilatés à l’extrême se sont refermés sur le dernier anneau.

Je ne peux plus l’expulser sans courir le risque de me déchirer le périnée.

Quelques instants plus tard, Natacha arrive à le retirer avec d’infinis précautions pour ne pas me blesser en étant ravie d’avoir réussie cet exploit.

Je me demande ce qu’elle va encore inventer lorsqu’elle m’allonge sur son lit.

Sans perdre un instant, elle enfile un gant en latex et plonge son poing dans mon anus resté grand ouvert.

Elle tourne son poignet de droite à gauche pour m’empaler plus facilement.

Je suis sidérée de voir son bras s’enfoncer jusqu’au coude.

- Je sens ton pouls battre contre ma peau, me murmure-t-elle très excitée en me fouillant de plus belle pour satisfaire son public.

Quelques minutes plus tard Natacha ressort lentement son bras de mes fesses en informant les voyeurs qu’elle va faire une pause.

Arrivée dans sa salle à manger pour se restaurer, elle me transforme en soubrette pour que je lui serve son repas.

Pendant qu’elle mange, je suis à genoux, la tête entre ses cuisses en faisant glisser ma langue sans trêve de son œillet à sa chatte.

A la fin de son repas, elle se lève en me rappelant sa promesse.

- Je vais te faire passer une nuit que tu n’es pas prête d’oublier!

Elle m’entraîne au centre de son donjon.

- Lève les bras, m’ordonne-t-elle en m’attachant les poignets à des chaînes fixées au plafond.

- Regarde, tu as de la visite.

Je vois avec surprise les miroirs sans tain coulisser sur leurs rails et céder le passage à des dominatrices en tenue SM accompagnées de leurs esclaves.

Elles viennent se mettre en cercle autour de moi.

Les soumis sont de belles transsexuelles aux seins sublimes qui ont entre les jambes une queue à rendre jaloux la plupart des mâles.

Elles me regardent enchaînée et offerte à leurs désirs pendant que leurs Maîtresses les préparent en les masturbant.

La spectacle que j’offre les excite fortement car:

Je suis suspendue à mes chaînes, les fesses cambrées par mon corset et sublimées par mes talons aiguilles qui font ressortir ma croupe.

Au signal de ma Maîtresse ces créatures du troisième sexe viennent m’embrocher l’une après l’autre sans interruption.

Je suis totalement comblée par ces femmes phalliques qui pressent leurs seins superbes contre moi tout en m’enfonçant leurs queues gonflées de désir dans le ventre.

Je ne compte plus les fois qu’elles se sont vidées dans mes reins.

Pour finir, une splendide panthère noire me fait face.

Visiblement, elle n’en peut plus d’attendre.

Son visage ressemble au mannequin Naomie.

Même corps souple et fin qui dégage une sensualité à fleur de peau.

Prise d’une pulsion irrésistible, elle plaque mes jambes contre sa taille pour m’enfoncer son sexe d’ébène dans le ventre.

Trop impatiente lors de sa première tentative, sa queue manque son objectif et vient glisser contre mon ventre.

A la suivante, je gémis de plaisir lorsqu’elle m’embroche d’un coup jusqu’à la garde.

Quelques minutes plus tard, son corps se met à trembler lorsqu’elle décharge longuement en moi.

Prolongeant notre plaisir, nous nous embrassons en restant soudées l’une à l’autre.

Lorsqu’elle se retire d’épaisses coulées blanchâtres s’échappent de mes fesses en s’accrochant comme des guirlandes à mes bas.

Pour arrêter l’écoulement, elle me plonge un rosebud dans l’œillet en me disant:

- Comme cela, tu garderas ma sève plus longtemps en toi.

Peu après, Natacha invite les participants à retourner derrière les glaces murales.

Puis, elle m’attache solidement les mains et les chevilles à la croix de Saint-André.

Je me retrouve écartelée face à elle.

- J’étais très jalouse de voir toutes ces jolies filles te baiser, me confie-t-elle en frottant mon sexe contre sa cuisse gainée de nylon.

- Je suis surprise de voir que tu bandes encore, me dit-t-elle avec admiration en me pressant les seins.

Elle m’enlace amoureusement en me regardant droit dans les yeux.

- Tu n’es pas raisonnable, je vais devoir te calmer, me murmure-t-elle à l’oreille.

Soudain, tout bascule.

Elle s’accroche à mon cou pour se stabiliser avant de projeter avec une violence inouïe son genou sur mes bourses.

Submergée de douleur, aucun son ne peut sortir de ma gorge lorsque mon corps s’affaisse sur la croix.

Ma maîtresse me relève la tête en me tirant par les cheveux.

- Redresse toi, je n’ai pas fini.

Je la vois avec angoisse s’écarter d’un mètre et balancer sa jambe d’avant en arrière en visant mon entrejambe.

Avec sadisme, elle prolonge mon attente en gardant ses yeux rivés sur ma queue.

Soudain, son pied part à la vitesse de l’éclair.

Cette fois, je laisse échapper un cri de douleur.

Puis, elle revient se pendre à mon cou en préférant me travailler au corps à corps.

Se faisant câline, elle fait monter patiemment mon désir en frottant ma queue contre son genou gainée de nylon.

Elle s’acharne sur moi un long moment en alternant si bien les sévices et les caresses que je regrette presque de la voir s’arrêter.

S’absentant un court instant, elle revient en tenant à la main un long pal de plus d’un mètre surmonté d’un gode que j’avais aperçu à l’entrée de son donjon.

L’heure tardive n’a pas découragé nos fans car toutes les lumières se mettent à clignoter.

Natacha tourne la croix de Saint-André pour me mettre la tête en bas avant de m’enfoncer son pal dans les reins.

Mes admirateurs ont alors une vue surréaliste.

J’ai la tête renversée et les cuisses grandes ouvertes avec un long pieu planté dans les fesses.

Pendant de longues minutes, Natacha maintient l’attention de son public en me pilonnant le ventre.

Puis, elle redresse la croix de saint André pour insérer dans ma verge un plug urétral annelé dont l’extrémité se termine par une boule.

- La tige en métal est creuse, me précise-t-elle en la faisant coulisser dans ma verge.

- Tu pourras jouir quand je dévisserai la boule, rajoute-t-elle tout en me masturbant.

Elle m’enfonce ensuite un plug anal dont le socle très large me recouvre les fesses.

- Tu vas rester attaché ainsi pendant des heures sans dormir.

Allongée sur son lit, elle guette l’instant ou je vais m’assoupir.

Dés mes premiers signes de sommeil, elle me fouette le sexe en accrochant des poids de plus en plus lourd à mes bourses.

A d’autres moments, sans me laisser de répit, elle tire sur mes anneaux de seins.

Au cours de la nuit, elle s’approche de moi en me disant:

- Maintenant, je vais te baiser par tous tes orifices.

Elle commence par m’enfoncer un gode dans la gorge en s’assurant que j’ai toujours son plug dans mon fourreau anal.

Puis, elle dévisse la boule de l’insert plongé dans ma queue pour que je puisse jouir par la tige métallique.

Posant un vibro sur mon gland, elle le fait aller et venir sur mon frein.

Natacha n’a pas longtemps à attendre pour voir ma sève sous pression fuser par l’étroite embouchure du plug urétral.

Elle sourit quand mon sperme s’écrase en jets puissants contre le miroir sans tain en déclenchant une frénétique activité lumineuse de la part de mes admirateurs.

Je me cambre sous l’intensité de l’orgasme en dévo

Le donjon de Natacha,

J’ai posé sur mon lit ma lingerie la plus sexy pour passer le week-end avec Natacha.

C’est une dominatrice qui habite au nord de Paris.

Au téléphone, je l’ai trouvée si proche de mes attentes que j’ai accepté avec joie son invitation.

Tout à la pensée de cette rencontre, j’agrafe ma guêpière et enfile mes bas à coutures en les accrochant bien tendus aux quatre paires de jarretelles car

j’aime sentir l’exquise tension du nylon sur mes cuisses.

Mon regard s’attarde sur mon corps parfaitement épilé par des séances au laser.

J’ai conservé un joli triangle pileux sur mon pubis pour affirmer ma féminité lorsque je cache ma queue entre mes cuissses.

Puis, je garnis mes bonnets 105/D de somptueuses prothèses en silicone avant d’enfiler sur mes hanches une culotte fendue assortie à ma guêpière.

Depuis mon adolescence, j’éprouve toujours la même excitation à me glisser dans ma lingerie et à me métamorphoser en femme devant la glace.

C’est un plaisir intense dont je ne peux plus me passer et que je me donne plusieurs fois par semaine chez moi ou à l’hôtel lors de mes déplacements.

Après m’être maquillée avec soin, je me coiffe d’une perruque blonde coupée au carré.

Enfin, je me glisse dans une ravissante robe courte décorée de dentelle blanche gonflée par deux jupons superposés qui dévoilent mes jarretelles.

Je me suis habillée en blanc en espérant bien être «enfoncée» d’ici ce soir…

Je fais quelques pas devant mon miroir en contemplant mes longues jambes recouvertes de nylon mises en valeur par ma robe ultra courte.

Avant de partir, je glisse ma queue sous ma jarretelle pour éviter qu’elle ne se voit sous ma robe et je quitte mon appartement en prenant le volant de mon cabriolet sport décapoté.

Roulant sur l’autoroute par une chaleur estivale, je relève mon jupon en m’offrant délibérément à la vue des routiers.

Du haut de leurs cabines, ils bénéficient d’une vue plongeante jusqu’à la lisière de mes bas.

Lorsque je les dépasse, je reste un moment à leur hauteur en écartant les cuisses pour les allumer.

Ils me rendent un vibrant hommage par un concert de klaxons ininterrompu qui m’accompagne tout au long du trajet.

Mon GPS m’arrête devant une grande villa au cœur d’un parc arboré à l’entrée de la forêt de Compiègne.

Le portail d’entrée s’ouvre instantanément devant moi et c’est le cœur battant que je pénètre dans cette propriété.

Natacha m’attend sous le porche.

D’emblée, je suis impressionnée par sa taille.

C’est une beauté slave qui dépasse le 1,80m avec un visage aux pommettes saillantes.

Sa chevelure brune en queue de cheval la fait paraître plus jeune que ses quarante ans.

Les bonnets de son corset en cuir noir contiennent difficilement sa superbe poitrine.

Perchée sur ses cuissardes, elle me toise avec insistance pendant que j’admire son corps souple et musclé.

Elle dégage une force et une sensualité qui m’attire comme un aimant.

Je me laisse tomber à ses genoux en remontant mes mains le long de ses jambes pour caresser ses cuisses pleines et fuselées.

- Ici c’est moi qui prend l’initiative, me dit-t-elle en me plaquant brutalement au sol.

Elle se tient debout, les jambes écartées au dessus de ma tête en savourant son plaisir de me voir à ses pieds.

Cela me laisse le temps de contempler l’impressionnant gode ceinture qu’elle a fixé sur ses hanches.

Il est massif avec de grosses veines saillantes courant sur sa hampe.

Entraîné par son poids, il retombe lourdement sur ses genoux en se balançant menaçant devant mes yeux.

Je frissonne à l’idée d’être prise par cette queue monstrueuse.

Lisant dans mes pensées, Natacha me dit d’une voix moqueuse:

- Sois sans crainte, ce n’est pas pour maintenant…

Elle ne porte pas de string et je remarque que la sangle très ajustée du harnais a complétement disparu dans sa chatte.

- Maintenant relève toi et suis moi m’ordonne-t-elle en m’entraînant dans son Donjon.

Nous descendons un large escalier s’ouvrant sur une pièce aux voûtes de craie blanche.

Le sol est recouvert de tomettes de couleur ocre.

Mon regard s’attarde avec surprise sur les aménagements de cette salle.

Il y a une croix de Saint-André, un lit équipé de menottes fixées aux barreaux, une table médicale, un cheval d’arçon, une cage métallique pour les suspensions, un boudoir servant au maquillage et au travestissement…

Au mur sont fixés des barres d’écartement, une collection de fouets et divers accessoires.

Des godes emmanchés sur des pics de différentes tailles se dressent dans un coin de la pièce.

Sur une étagère sont rangés soigneusement par taille des plugs anaux et urétraux.

Quelques tables basses en forme de sexe féminin sont disposées ça et là.

Une grande pancarte accrochée au mur me donne déjà le programme: “Fellation du matin, repos du vagin, Sodomie du soir, repos des mâchoires…”

Natacha vient se coller contre moi.

Ses mains glissent de mon cou à mes cuisses, me caressent le ventre en s’attardant sur mes seins et mes hanches.

- Remonte ta robe, finit-t-elle par me dire.

J’obéis en la relevant fébrilement contre ma taille.

Sa main est attiré par le renflement évocateur de mon sexe enfoui dans ma lingerie.

Elle le fait jaillir par la fente de ma culotte en soie.

- Puisque tu es déjà prête, je vais commencer ton initiation, me dit-t-elle.

- Lorsqu’elle sera terminée, tu seras invitée aux soirées que donnent les dominatrices de la capitale.

- Tu auras beaucoup de succès en portant le corset en satin rose et noir de mon école de dressage car elles te sauront prête à satisfaire tous leurs fantasmes.

- Maintenant déshabille toi.

En quelques minutes, je me retrouve vêtue de son corset fétiche, d’une ravissante nuisette, de bas cervin aux mailles brillantes et d’escarpins de huit centimètres.

Natacha me fait asseoir devant son boudoir pour apporter quelques retouches à mon maquillage.

Une perruque brune mi longue et un fond de teint achèvent ma métamorphose.

La bourgeoise que j’étais ressemble maintenant plus à une fille de la rue Saint-Denis.

Dans la salle, je remarque les grandes glaces murales ornées d’ halogènes qui trônent aux endroits stratégiques de la pièce.

Certaines entourent le lit alors que d’autres sont posées face à la croix de Saint-André et devant la table médicale.

Je constate avec satisfaction qu’à tout moment, je pourrai me voir dans l’un de ces miroirs.

Natacha me tire de mes pensées en les montrant du doigt.

- Chaque veilleuse allumée sur le dessus signale la présence d’hommes et de femmes derrière ces glaces sans tain qui sont venus assister à ton dressage.

- Ils feront clignoter leurs lampes lorsqu’ils voudront t’encourager.

Un peu surprise, je tiens à vérifier ses propos.

Face à mon public présumé, je prends quelques poses suggestives en voyant très vite des lumières s’allumer devant mes yeux.

- Ne les faisons pas attendre plus longtemps, me dit-t-elle en m’allongeant sur la table médicale.

Natacha m’attache les mains au dessus de la tête et me baîllonne avec une de ses culottes en satin qu’elle fixe avec l’un de ses bas.

Bien que consentante, je pense avec inquiétudes aux tourments qui m’attendent quand elle relève ma nuisette sur mon ventre.

Armée d’un fouet, elle commence à me flageller doucement puis, de plus en plus fort.

Elle le fait claquer dans la piece pour m’impressionner avant de l’abattre sur mes cuisses.

Devant la violence des coups, je gémis de douleur.

- Écarte bien les jambes, m’ordonne-t-elle en bloquant mes pieds dans les étriers.

Puis, elle rapproche la table des spectateurs pour leur offrir une vue plongeante sur ma queue et ma chatte entiérement épilés.

Pendant de longues minutes, elle s’acharne sur moi avec une précision diabolique.

Mes cuisses, mon ventre et mon sexe portent très vite les marques de mon supplice.

Un peu plus tard, elle change de registre en me prodiguant des caresses.

Avec sa bouche aux capacités infinies, elle me pompe avec ardeur.

Instinctivement, je me cambre pour m’offrir davantage à cette dévoreuse de sexe.

Je voudrais arrêter le temps pour prolonger ce moment ou je me sens plus vivante que jamais.

Satisfaite de mon érection, elle saisit sur une étagère un plug urétral qu’elle lubrifie soigneusement.

Elle introduit la longue tige en inox creuse de 3 mm de diamétre dans mon gland en tenant ma verge bien droite pour qu’elle s’enfonce d’elle même par son propre poids.

Sans me quitter des yeux, Natacha accompagne sa progression en pressant habillement ma hampe entre son pouce et son index.

Je m’étonne de ne ressentir aucune douleur en voyant les vingt centimètres de l’insert s’enfoncer dans mon sexe.

Soudain, un jet d’urine sort de la tige creuse lui indiquant qu’elle a atteint ma vessie.

Puis, Natacha me masturbe lentement en faisant aller et venir le plug dans mon urètre.

Parfois, elle pose son pouce dessus pour l’empêcher de remonter.

Lorsqu’elle le retire, la tige ressort spontanément de quelques centimétres devant ses yeux.

Amusée, elle recommence plusieurs fois de suite ce scénario.

Je suis au bord de l’orgasme quand elle me plante son majeur dans l’anus.

Mettant à profit ma forte érection, elle frotte sa vulve contre ma hampe tout en faisant coulisser la tige métallique dans ma queue.

Cette scène remporte un vif succès auprès du public car les lampes se mettent à clignoter frénétiquement.

Quand Natacha me voit sur le point de jouir, elle m’écrase violemment les bourses avec sa main en me disant:

- Non, pas maintenant!

Une douleur fulgurante me traverse le ventre et me coupe le souffle.

Avec sadisme, elle m’excite à nouveau en faisant glisser sa langue le long de mon frein.

J’essaye désespérément mais en vain de me contrôler.

Un frisson me parcourt l’échine quand sa main remonte lentement le long de mes cuisses en empoignant mes parties génitales.

Ses yeux de braise fixés sur moi, elle attend que ma queue soit bien raide et que la peur envahisse mon visage pour passer à l’action.

Cette fois, elle est impitoyable.

Elle me broie les testicules par une pression insupportable.

Je suis toute tremblante et tétanisée de douleur quand mon supplice prend fin.

- C’est un bon début, je suis fière de toi, me dit-t-elle avec satisfaction en me retirant l’insert.

Elle remet de l’ordre dans ma tenue en tendant mes jarretelles avant de m’allonger sur son lit.

Puis, elle saisit un plug.

Il s’agit du fameux sceptre princier qui est la référence pour les initiés.

Natacha me fait admirer la grosse tige en inox torsadée de 6 mm de diamètre.

Son extrémité se termine par un capuchon destiné à recouvrir mon gland.

Elle le glisse lentement dans mon sexe avec une grande dextérité.

- Il est maintenant temps pour toi de devenir une vraie femme, rajoute-t-elle en brandissant un couteau à la lame effilée et courte.

- Avec cette dague, j’ai déjà féminisé un grand nombre de mes soumis.

- Sais-tu que c’est devenu un véritable phénomène de société aux USA!

- Lorsqu’un homme souffre d’une sexualité exacerbée, il est fréquent qu’il demande à une dominatrice de le libérer de cette addiction.

- Comme elle, j’aide ceux qui ne veulent plus être esclaves de leurs hormones ou qui aspirent à changer de sexe.

- Certains veulent que je leur coupe uniquement les testicules pour être libérés de leurs hormones dans l’espoir d’avoir encore quelques rares érections.

- D’autres souhaitent comme toi que je leur enlève tout pour changer de sexe.

- Tu auras l’avantage de pouvoir porter des dessous transparents qui mettront en valeur ta féminité et tu auras un orgasme anal plus intense car il ne sera plus parasité par ta queue.

- Je suis trés excitée d’être celle qui te fait bander pour la dernière fois, me dit-t-elle en me caressant longuement les bourses.

- Je veux que ta queue soit bien raide avant de la trancher, rajoute-t-elle en s’activant avec succès entre mes cuisses.

Les savantes caresses de ma belle dominatrice et la prise de viagra estompent en partie la peur qui me gagne.

Le moment venu, elle empoigne avec douceur mes paties génitales en sortant de quelques centimétres le sceptre princier de ma verge pour que sa lame n’entame pas le métal.

- Il ne faut pas que j’abîme ce magnifique bijou, s’exclame-t-elle.

- Je vais te couper la queue bien à sa racine pour qu’il ne te reste rien afin que tu te sentes réellement femme, rajoute-t-elle en appuyant sa dague sur la veine bleue gonflée de sang qui coure le long de ma verge.

- Je préfère trancher un sexe en érection bien que cela fasse davantage souffrir, me dit-t-elle avec sadisme.

Lorsqu’elle commence à me cisailler la queue, je suis prise de panique.

Étonnée de n’éprouver aucune douleur, je m’aperçois qu’elle fait semblant de la couper avec le dos de sa lame.

Natacha, éclate de rire en me voyant blêmir.

- Ce sera pour la prochaine fois, m’assure-t-elle.

- J’aurai pourtant bien aimé voir ta queue enfilée comme une brochette sur le sceptre princier.

Tout à coup, je me prends conscience que son donjon est parfaitement adapté à cet usage.

Mon matelas est protégé par une épaisse housse en plastique.

Sur le sol carrelé se trouve une grille de récupération d’eau usée ainsi qu’un tuyau d’arrosage fixé au mur pour pouvoir nettoyer rapidement les lieux.

Natacha me tire de mes pensées en posant un vibro sur mon frein.

- Maintenant, je t’autorise à jouir, me dit-t-elle.

Très vite, les vibrations me déclenchent une vague de plaisir qui me submerge et j’explose en recouvrant le sceptre princier d’épaisses coulées blanchâtres.

Ma maîtresse m’ayant interdit de jouir pendant plus d’un mois, ma sève se répand en abondance sur mon corset et mes bas.

- Tu avais des réserves, me dit-t-elle en contemplant les derniers soubresauts de ma queue.

Elle retire l’impressionnante tige torsadée ruisselante de sève de ma verge en la portant à ses lèvres.

- J’aime goûter le sperme de mes soumis, me dit-t-elle.

Un moment plus tard, elle me pose un spéculum à trois branches qu’elle ouvre en grand pour me dilater l’anus.

La peur s’empare à nouveau de moi quand je la vois se pencher sur ma queue un rasoir à la main.

Je sursaute lorsque la lame glacée glisse le long de ma verge en tranchant la moindre pilosité.

Natacha régularise avec soin les contours de mon triangle de vénus et termine en me rasant méticuleusement l’anus.

- Désormais, je t’interdis de jouir, me dit-t-elle en retirant le spéculum et en déroulant un préservatif sur ma queue.

- Il va me servir de témoin.

- Si à la fin de nos jeux, je retrouve du sperme à l’intérieur, je te punirai sévèrement.

Poursuivant la séance, elle m’installe un étrange cockring métallique autour de la verge.

Il se prolonge d’une barre en inox munie d’une boule à son extrémité.

Son diamètre étant supérieur à une boule d’attelage, Natacha doit forcer mon anus pour la faire rentrer.

A peine a-t-elle réussie, qu’elle la retire brutalement en m’arrachant un cri de douleur.

- Doucement, je t’en supplie, lui dis-je en l’implorant du regard.

Sans prendre la peine de me répondre, elle l’enfonce à nouveau tout aussi violemment dans ma grotte.

- Je vais maintenant te mettre à l’épreuve, me chuchote-t-elle à l’oreille.

Retirant son string, elle s’assoit à califourchon sur mes cuisses en me faisant face.

- Je te rappelle que tu ne dois pas jouir, me dit-t-elle d’une voix menaçante.

Elle me masturbe d’abord lentement, puis sur un rythme plus rapide tout en faisant aller et venir la boule du cockring dans mes fesses.

Puis, elle enfonce ma queue dans sa chatte brûlante de désir et avide de sexe en me caressant les bourses et le périnée.

J’essaye en vain de résister à ses assauts, mais elle s’active sur ma colonne de chair qui se durcit de plus en plus.

Je me sens dominée par cette mante religieuse qui immobilise son mâle pour mieux le dévorer.

À mon grand soulagement, elle finit par s’arrêter.

- J’espère pour toi que tu n’as pas jouis, me dit-t-elle en retirant mon préservatif.

Quand elle le retourne dans sa main, je vois avec inquiétude quelques gouttes de sperme couler dans sa paume.

- Ce soir, tu regretteras de m’avoir désobéis, m’assure-t-elle en me jetant un regard lourd de menaces.

- Pour l’instant, je poursuis ton dressage.

Je suis allongée sur son lit quand ses mains plongent dans les bonnets de ma guêpière pour retirer mes prothèses en silicone de 500gr.

Saisissant un coton imprégné d’un produit réfrigérant, elle glace mes tétons pour les insensibiliser.

Avant que je puisse réagir, elle les perce avec une aiguille.

Je ressens une douleur aiguë qui s’estompe pendant qu’elle fixe des anneaux en acier sur mes aréoles.

- Ces bijoux portent mon prénom et ne pourront plus s’enlever.

- Désormais, tu m’appartiens, me susurre t-t-elle à l’oreille en me nouant un bandeau de soie autour du cou.

Elle s’allonge sur moi en frottant ma queue contre sa cuisse gainée de nylon.

Le contact des fibres synthétiques sur mon gland me déclenchent une érection spectaculaire.

- Maintenant, je veux que tu me baises, me dit-t-elle en s’empalant sur ma verge.

Sa chatte devient une irrésistible pompe à sperme lorsqu’elle roule et ondule du bassin.

Elle se penche sur mon visage en me serrant la gorge avec son foulard en soie.

Natacha me comprime les carotides pour me faire bander plus fort.

Puis, elle relâche la pression en s’activant sur ma queue avant de recommencer.

Je suis totalement livrée aux pulsions de ma Maîtresse.

La peur qui m’envahit est étroitement mêlée au plaisir étrange qu’elle me fait découvrir.

A chaque fois, elle maintient le garrot serré un peu plus longtemps pour accroître la tension sur mon sexe.

La quasi totalité des lampes témoins se mettent à clignoter pour plébisciter la scène.

- Je vais t’achever maintenant, me dit-t-elle.

Elle se trémousse d’une manière irrésistible tout en me comprimant la queue avec sa chatte.

Ses yeux rivés aux miens, elle m’immobilise par le poids de son corps en m’écrasant les carotides jusqu’à ce que je me mette à trembler.

Soudain, une vague de plaisir m’emporte et ma sève fuse en jets puissants dans le ventre de ma Maîtresse.

Dans le même temps, un voile noir me tombe sur les yeux et elle doit desserrer le foulard pour éviter que je perde connaissance.

- Tu m’as noyée, me dit-t-elle en regardant mon sperme ruisseler le long de ses cuisses

Pendant que je reprends mon souffle, je la vois sortir un étrange plug d’un tiroir .

- Regarde, il est formé de trois anneaux, me dit-t-elle.

- Le premier à un diamètre semblable à une bouteille de vin.

- Le second plus gros à la dimension d’une bouteille de champagne.

- Enfin, le dernier mesurant 10 cm de diamètre est réservé à quelques rares initiés car il a le diamètre mythique du plug B52.

- Je t’avoue que peu de mes soumis sont parvenus à ce stade, m’assure-t-elle en le lubrifiant copieusement.

Puis, Natacha m’installe sur un étrange cheval d’arçon.

Son extrémité est équipée d’un carcan qu’elle referme sur ma tête et mes poignets.

Allongée sur le ventre et mes pieds ne touchant pas le sol, je ne peux plus bouger.

Elle contemple un moment ma croupe sur laquelle sont tendues mes jarretelles.

Son regard se fixe sur mon œillet enfoui dans l’écrin de dentelle de ma culotte ouverte.

Cette vision enflamme les sens de ma maîtresse qui passe à l’action.

- Avec un tel calibre, ça va être vraiment un viol, me chuchote-t-elle à l’oreille.

Le premier anneau s’engouffre facilement dans ma grotte.

Elle presse fortement le gode avec son genou pour rentrer le suivant.

- Maintenant aide moi en poussant fort, me dit-t-elle.

Après plusieurs tentatives infructueuses, le pal m’ouvre en deux en s’engouffrant au plus profond de mes reins.

Ma douleur est intense car mes sphincters dilatés à l’extrême se sont refermés sur le dernier anneau.

Je ne peux plus l’expulser sans courir le risque de me déchirer le périnée.

Quelques instants plus tard, Natacha arrive à le retirer avec d’infinis précautions pour ne pas me blesser en étant ravie d’avoir réussie cet exploit.

Je me demande ce qu’elle va encore inventer lorsqu’elle m’allonge sur son lit.

Sans perdre un instant, elle enfile un gant en latex et plonge son poing dans mon anus resté grand ouvert.

Elle tourne son poignet de droite à gauche pour m’empaler plus facilement.

Je suis sidérée de voir son bras s’enfoncer jusqu’au coude.

- Je sens ton pouls battre contre ma peau, me murmure-t-elle très excitée en me fouillant de plus belle pour satisfaire son public.

Quelques minutes plus tard Natacha ressort lentement son bras de mes fesses en informant les voyeurs qu’elle va faire une pause.

Arrivée dans sa salle à manger pour se restaurer, elle me transforme en soubrette pour que je lui serve son repas.

Pendant qu’elle mange, je suis à genoux, la tête entre ses cuisses en faisant glisser ma langue sans trêve de son œillet à sa chatte.

A la fin de son repas, elle se lève en me rappelant sa promesse.

- Je vais te faire passer une nuit que tu n’es pas prête d’oublier!

Elle m’entraîne au centre de son donjon.

- Lève les bras, m’ordonne-t-elle en m’attachant les poignets à des chaînes fixées au plafond.

- Regarde, tu as de la visite.

Je vois avec surprise les miroirs sans tain coulisser sur leurs rails et céder le passage à des dominatrices en tenue SM accompagnées de leurs esclaves.

Elles viennent se mettre en cercle autour de moi.

Les soumis sont de belles transsexuelles aux seins sublimes qui ont entre les jambes une queue à rendre jaloux la plupart des mâles.

Elles me regardent enchaînée et offerte à leurs désirs pendant que leurs Maîtresses les préparent en les masturbant.

La spectacle que j’offre les excite fortement car:

Je suis suspendue à mes chaînes, les fesses cambrées par mon corset et sublimées par mes talons aiguilles qui font ressortir ma croupe.

Au signal de ma Maîtresse ces créatures du troisième sexe viennent m’embrocher l’une après l’autre sans interruption.

Je suis totalement comblée par ces femmes phalliques qui pressent leurs seins superbes contre moi tout en m’enfonçant leurs queues gonflées de désir dans le ventre.

Je ne compte plus les fois qu’elles se sont vidées dans mes reins.

Pour finir, une splendide panthère noire me fait face.

Visiblement, elle n’en peut plus d’attendre.

Son visage ressemble au mannequin Naomie.

Même corps souple et fin qui dégage une sensualité à fleur de peau.

Prise d’une pulsion irrésistible, elle plaque mes jambes contre sa taille pour m’enfoncer son sexe d’ébène dans le ventre.

Trop impatiente lors de sa première tentative, sa queue manque son objectif et vient glisser contre mon ventre.

A la suivante, je gémis de plaisir lorsqu’elle m’embroche d’un coup jusqu’à la garde.

Quelques minutes plus tard, son corps se met à trembler lorsqu’elle décharge longuement en moi.

Prolongeant notre plaisir, nous nous embrassons en restant soudées l’une à l’autre.

Lorsqu’elle se retire d’épaisses coulées blanchâtres s’échappent de mes fesses en s’accrochant comme des guirlandes à mes bas.

Pour arrêter l’écoulement, elle me plonge un rosebud dans l’œillet en me disant:

- Comme cela, tu garderas ma sève plus longtemps en toi.

Peu après, Natacha invite les participants à retourner derrière les glaces murales.

Puis, elle m’attache solidement les mains et les chevilles à la croix de Saint-André.

Je me retrouve écartelée face à elle.

- J’étais très jalouse de voir toutes ces jolies filles te baiser, me confie-t-elle en frottant mon sexe contre sa cuisse gainée de nylon.

- Je suis surprise de voir que tu bandes encore, me dit-t-elle avec admiration en me pressant les seins.

Elle m’enlace amoureusement en me regardant droit dans les yeux.

- Tu n’es pas raisonnable, je vais devoir te calmer, me murmure-t-elle à l’oreille.

Soudain, tout bascule.

Elle s’accroche à mon cou pour se stabiliser avant de projeter avec une violence inouïe son genou sur mes bourses.

Submergée de douleur, aucun son ne peut sortir de ma gorge lorsque mon corps s’affaisse sur la croix.

Ma maîtresse me relève la tête en me tirant par les cheveux.

- Redresse toi, je n’ai pas fini.

Je la vois avec angoisse s’écarter d’un mètre et balancer sa jambe d’avant en arrière en visant mon entrejambe.

Avec sadisme, elle prolonge mon attente en gardant ses yeux rivés sur ma queue.

Soudain, son pied part à la vitesse de l’éclair.

Cette fois, je laisse échapper un cri de douleur.

Puis, elle revient se pendre à mon cou en préférant me travailler au corps à corps.

Se faisant câline, elle fait monter patiemment mon désir en frottant ma queue contre son genou gainée de nylon.

Elle s’acharne sur moi un long moment en alternant si bien les sévices et les caresses que je regrette presque de la voir s’arrêter.

S’absentant un court instant, elle revient en tenant à la main un long pal de plus d’un mètre surmonté d’un gode que j’avais aperçu à l’entrée de son donjon.

L’heure tardive n’a pas découragé nos fans car toutes les lumières se mettent à clignoter.

Natacha tourne la croix de Saint-André pour me mettre la tête en bas avant de m’enfoncer son pal dans les reins.

Mes admirateurs ont alors une vue surréaliste.

J’ai la tête renversée et les cuisses grandes ouvertes avec un long pieu planté dans les fesses.

Pendant de longues minutes, Natacha maintient l’attention de son public en me pilonnant le ventre.

Puis, elle redresse la croix de saint André pour insérer dans ma verge un plug urétral annelé dont l’extrémité se termine par une boule.

- La tige en métal est creuse, me précise-t-elle en la faisant coulisser dans ma verge.

- Tu pourras jouir quand je dévisserai la boule, rajoute-t-elle tout en me masturbant.

Elle m’enfonce ensuite un plug anal dont le socle très large me recouvre les fesses.

- Tu vas rester attaché ainsi pendant des heures sans dormir.

Allongée sur son lit, elle guette l’instant ou je vais m’assoupir.

Dés mes premiers signes de sommeil, elle me fouette le sexe en accrochant des poids de plus en plus lourd à mes bourses.

A d’autres moments, sans me laisser de répit, elle tire sur mes anneaux de seins.

Au cours de la nuit, elle s’approche de moi en me disant:

- Maintenant, je vais te baiser par tous tes orifices.

Elle commence par m’enfoncer un gode dans la gorge en s’assurant que j’ai toujours son plug dans mon fourreau anal.

Puis, elle dévisse la boule de l’insert plongé dans ma queue pour que je puisse jouir par la tige métallique.

Posant un vibro sur mon gland, elle le fait aller et venir sur mon frein.

Natacha n’a pas longtemps à attendre pour voir ma sève sous pression fuser par l’étroite embouchure du plug urétral.

Elle sourit quand mon sperme s’écrase en jets puissants contre le miroir sans tain en déclenchant une frénétique activité lumineuse de la part de mes admirateurs.

Je me cambre sous l’intensité de l’orgasme en dévoilant l’impressionnant socle du plug planté dans mes fesses.

Jusqu’à l’aube, ivre de fatigue et toujours attachée à la croix de Saint-André, je continue à subir les caprices de ma Maîtresse.

Merci de me donner votre avis sur ce récit à: [email protected]

ilant l’impressionnant socle du plug planté dans mes fesses.

Jusqu’à l’aube, ivre de fatigue et toujours attachée à la croix de Saint-André, je continue à subir les caprices de ma Maîtresse.

Merci de me donner votre avis sur ce récit à: [email protected]

nov 012015

Je me suis épilée, maquillée, parfumée et coiffée d’une de mes perruques en me transformant en fille sexy.

Je porte une guêpière dont les bonnets 105/D menacent d’exploser sous le poids de mes seins qui se balancent lourdement à chacun de mes pas.

J’adore sentir la tension de mes bretelles qui s’incrustent dans mes épaules sous la pression de ma voluptueuse poitrine.

Une culotte ouverte, des bas et des jarretières complètent ma tenue glamour.

Avant de commencer la séance, j’aime poser en fille devant la grande glace murale accrochée face à mon lit.

Je fais monter mon désir en frottant sensuellement mes cuisses gainées de nylon l’une contre l’autre pour sentir l’excitant contact des fibres synthétiques et entendre le crissement de mes bas.

Puis, allongée sur mes draps en satin, je place un coussin sous mes fesses en pliant les genoux et en écartant les cuisses.

Par expérience, je sais que c’est la meilleur position pour stimuler mon point G.

Il me reste à choisir mon jouet…

J’hésite entre mon gode ventouse calibre 7cm, mon gode caterpillar calibre 9 cm, mon B52 calibre 10 cm ou mon plug gonflable à la circonférence impressionnante de 38 cm.

J’opte pour mon gode ventouse 7×28 cm qui me semble parfait pour commencer.

Pendant que je le lubrifie, je pense à l’avance au plaisir qu’il va me donner.

En le laissant reposer sur mon ventre, je suis impressionnée par son poids d’un kilo et sa longueur qui va de mon pubis à mes seins.

Mais, je sais que ce sont surtout ses anneaux dont le diamètre va croissant jusqu’à sa base qui vont me faire jouir.

Impatiente de commencer, j’écarte la fente de ma culotte en l’appuyant contre mon oeillet.

Puis, j’exerce une forte pression pour le faire rentrer dans mes fesses.

J’ai alors l’impression d’être ouverte en deux par cette énorme queue.

J’adore cette sensation de me sentir remplie et bien prise.

Je le regarde disparaître dans ma culotte ouverte en sentant mes chairs s’écarter lors de son passage.

Je m’empale lentement jusqu’à la hauteur de mon nombril.

En le faisant aller et venir en moi, je trouve l’angle idéal pour pilonner avec précision mon point G.

Ces pressions sur ma glande font jaillir quelques gouttes de sève de mon gland qui coulent en arabesques blanchâtres sur mes bas noirs.

Comme une fille qui contracte son vagin pour majorer son plaisir, je mobilise mes sphincters en serrant mon gode entre mes cuisses gainées de nylon.

En les frottant l’une contre l’autre, j’entends le crissement excitant de mes bas qui fait monter mon désir.

Puis, je me soulève afin de m’embrocher plus à fond sur ce sexe démesuré tout en cambrant les reins pour amplifier mes mouvements d’avant en arrière.

Parfois, je le sors entièrement de mes fesses pour me laisser retomber dessus de tout mon poids.

Je regarde avec fascination ma chatte aspirer ce gros calibre avec voracité.

Quelques instants plus tard, je fais tournoyer ma croupe autour de ce pieu qui me sert de pivot pour qu’il me fouille davantage les entrailles.

Dans les reflets du miroir, je regarde cette masse disparaître peu à peu dans mes fesses.

Son diamètre croissant m’oblige à pousser pour l’enfoncer jusqu’à la garde.

A l’inverse, lorsqu’il ressort, je contracte mes sphincters en le serrant fortement pour sentir ses reliefs me limer la chatte.

Dans la glace qui me fait face, je regarde la fine membrane interne de ma rosette sortir et glisser lentement sur cette queue monstrueuse comme si elle voulait la retenir.

Puis, lorsque je m’embroche à nouveau dessus, je la vois s’enrouler sur elle même et rentrer dans mon fourreau.

Le désir monte crescendo dans mes reins et je sens mon gode tressauter de plus en plus souvent dans ma main sous l’effet de mes contractions anales.

Ne pouvant plus attendre, je décide de me finir en posant mon vibro sur mon frein et en caressant mon périnée.

Le massage de cette zone sensible me fait atteindre très vite le point de non retour.

Comme une femme, je me sers de ma queue comme d’un clito et de mon anus comme d’un vagin.

Cette triple stimulation, (Pénis Périnée, Prostate) déclenchent mon orgasme.

J’écarte en grand les cuisses pour m’empaler à fond sur mon gode en laissant la vague déferlante de plaisir m’emporter.

Lorsque je jouis du cul, mon plaisir se prolonge par l’épaisse coulée blanchâtre qui sort lentement et en continu de ma verge.
Je cambre une dernière fois les reins en m’enfonçant de tout mon poids sur cette queue jusqu’à ce qu’elle disparaisse entièrement dans mon conduit.

La respiration coupée, je me trémousse dessus en gémissant de bonheur.

Ces fortes pressions sur ma prostate font jaillir mes dernières gouttes de sève sur ma guêpière.

Dans la glace, je ne vois plus que l’impressionnante ventouse du gode encastrée dans mes fesses.

Comblée par cet orgasme, je reste immobile en sentant cette énorme masse vivre dans mon ventre sous l’effet de mes ultimes contractions anales.

Je conserve longtemps en moi cette énorme queue pour prolonger cette merveilleuse sensation d’être prise et comblée comme une femme.

La fois prochaine, j’utiliserai mon plug gonflable qui me dilatera à l’extrême en me donnant des sensations fortes.

D84

nov 012015

Je suis addict au plaisir anal,

nov 012015

Mon désir de vivre dans la peau d’une fille,

Je suis allongé nu sur une table médicale, immobilisé par des sangles et les pieds attachés dans les étriers.

Natacha, superbe dominatrice, grande et élancée se tient devant moi.

Elle est très féminine avec sa chevelure en queue de cheval qui lui affine le visage.

Une guêpière en vinyle noir comprime ses seins volumineux et lourds.

Elle est perchée sur ses cuissardes d’où jaillissent ses cuisses fuselées gaînées de nylon.

J’aperçois à peine la ficelle de son string très ajusté qui lui rentre dans la chatte.

Comme à chacune de mes visites, elle me maquille en me faisant porter: perruques, guêpières, nuisettes, bas résille, talons aiguilles avant de me faire vivre de nombreux jeux de rôles de bondage et de domination.

Pour mon plus grand plaisir, elle m’empale longuement avec son gode ceinture en stimulant avec précision mon point G jusqu’à ce que je jouisse.

- Je suis émue d’être celle qui t’a fait bander pour la derniére fois, me dit-t-elle en me fixant d’un regard ambigu.

A ces mots, je comprends qu’elle a enfin décidé de répondre à ma demande.

- Comme tu le souhaites, je vais maintenant te castrer pour stopper ta production d’hormones.

- J’ai une grande expérience dans ce domaine car je réalise une trentaine d’opérations par an.

- Aux USA, c’est devenu un véritable phénomène de société car les demandeurs sont légion.

- Là bas, beaucoup d’hommes jeunes ne veulent plus être esclaves de leur sexe et d’autres plus nombreux comme toi souhaitent vivre en femme.

- Avec l’âge, on devient plus cérébral en recherchant des sensations fortes dans des jeux de rôles qui privilégient davantage le plaisir anal à celui du pénis.

- Il y a donc de très nombreuses dominatrices qui répondent à ces demandes en pratiquant comme moi dans la clandestinité.

- Après t’avoir enlevé en partie ta virilité, je te laisserai quelques mois de réflexion avant de te trancher la queue.

- Je veillerai à la couper bien à sa racine pour que tu puisses afficher une éclatante féminité.

- Tu pourras enfin porter la lingerie transparente dont tu rêves et dévoiler ton triangle de vénus …

Joignant le geste à la parole, elle referme doucement sa main sur mes bourses en appuyant le dos de sa lame de couteau sur la veine bleue courant sur ma hampe.

J’ai des frissons en sentant le contact froid de l’acier glisser sur ma chair.

- Aujourd’hui, ce n’est qu’une répétition mais la prochaine fois sera la bonne, me dit-t-elle dans un rire de gorge témoignant de son état d’excitation.

- Ce jour là, ta queue n’étant plus stimulée par tes hormones restera flasque et tu auras moins mal quand je la trancherai.

- Dans ma clientèle, j’ai ceux qui préfèrent conserver leur pénis dans l’espoir d’avoir encore quelques rares érections et d’autres plus nombreux qui souhaitent qu’on leur enlève tout pour se sentir plus femme.

- Aujourd’hui, je vais seulement t’enlever ta source de vie.

- Ton plaisir anal n’étant plus parasité par ta queue en érection, tu jouiras davantage en étant prise.

- Privée d’hormones, elle restera inerte.

- Seul un liquide translucide et stérile coulera en amplifiant ton plaisir quand tu jouiras du cul.

- Tu seras aussi plus en accord avec ton désir de vivre en femme.

- Je vais te faire une injection de xylocaine pour t’éviter de souffrir, rajoute-t-elle d’une voix douce en se plaçant entre mes cuisses une seringue à la main.

- Sois rassuré, j’ai déjà castré des dizaines de mâles.

L’aiguille est si fine que je la sens à peine s’enfoncer dans mes chairs.

Natacha multiplie les points d’injections pour que le produit anesthésiant diffuse mieux.

En attendant qu’il fasse effet, elle caresse ma queue épilée en glissant sa main sur la peau satinée et douce de mes bourses.

- Je suis aussi troublée que si c’était ma première castration, m’avoue-t-elle.

Une peur panique s’empare de moi quand elle saisit son scalpel.

D’une main sure, elle incise mes bourses sur deux centimètres en pressant doucement mes testicules avec ses pouces pour les faire sortir de leurs logements l’un après l’autre.

Trés concentrée sur sa tâche, elle tire sur les cordons auxquels ils sont rattachés en laissant pendre mes valseuses sur mes cuisses.

Puis, elle enserre les cordons avec un fil en nylon pour éviter que le sang coule avant de les trancher.

Elle me fixe intensément et longuement du regard avant de les couper l’un après l’autre.

- C’est terminé ma belle, bienvenue dans ta nouvelle vie.

Elle me montre mes testicules qu’elle a déposées dans une coupelle.

- J’en ferai des brochettes pour mon repas ce soir, me dit-t-elle avec sadisme tout en recousant mes bourses avec du fil et une aiguille.

- Reviens me voir la semaine prochaine pour une séance de gouinage entre filles.

Donnez moi vos idées pour écrire mes prochains récits à [email protected]B12

nov 012015

Fascinante Claudia,

Le cœur battant, je sonne à la porte de ma maîtresse.

Une blonde sculpturale m’accueille vêtue d’un corset en satin rouge mettant en valeur ses seins sublimes et la magnifique cambrure de ses reins.

Les huit jarretelles de son corset ont pour mission de maintenir bien droites les coutures de ses bas.

Perchée sur ses cuissardes, elle me fait entrer dans son donjon en me dévisageant longuement.

Elle est grande et son regard volontaire révèle un caractère bien trempé.

Je la trouve craquante avec son visage ovale, ses yeux en amande et sa longue chevelure qui retombe en cascade sur ses épaules.

La trentaine affirmée, elle est très féminine.

Sans perdre de temps, elle me déshabille en me prodiguant d’efficaces et voluptueuses caresses pour me mettre en confiance.

M’ayant allongé totalement nu sur sa table médicale, elle me passe des sangles sur la poitrine et le ventre avant de me lier les poignets et de bloquer mes pieds dans les étriers.

- Je vais te faire découvrir des jeux que tu n’imagines même pas, me dit-t-elle en me retirant la cage de chasteté qu’elle m’a obligée de porter pendant un mois.

- Cette séance sera filmée, rajoute-t-elle

Elle me montre alors les différentes caméras chargées d’enregistrer le spectacle.

L’une est installée au plafond et l’autre est fixée au mur face à moi.

A l’aide du boîtier qu’elle tient à la main, Claudia peut à tous instant cadrer les scènes au grand angle ou zoomer entre mes cuisses.

- Après avoir fait un montage, je revends mes productions à des clients privés et à des magazines érotiques, me dit-t-elle en démarrant ses prises de vues.

- C’est d’ailleurs pour que tes éjaculations soient plus abondantes et spectaculaires à l’écran que je t’ai imposé cette longue abstinence en te mettant une cage de chasteté.

Claudia m’écarte les cuisses en traquant la moindre pilosité sur ma queue et mon anus pour les besoins du tournage.

Je suis maintenant en pleine érection et totalement livré aux pulsions dominatrices de ma Maîtresse.

- Je vois que tu aimes te faire enfiler, me dit-t-elle en effleurant avec son index les renflements caractéristiques bordant ma rosette qui témoignent de mes pratiques anales.

Je lui avoue avoir porté la nuit dernière une culotte en latex équipée d’un gode interne de 6 cm de diamètre en prévision de notre rencontre.

C’est la méthode qu’utilise les actrices du porno pour se préparer aux longues séances de sodomies.

Sans attendre, Claudia lubrifie son spéculum cylindrique XO qui est plus efficace que ceux à trois branches.

Elle l’engage dans mon fourreau en l’ouvrant progressivement jusqu’à un diamètre de huit centimètres.

Ayant obtenu un cerclage parfait de mon anus, elle le laisse en place un moment pour qu’il finisse de me dilater les chairs.

Lorsqu’elle le retire, c’est pour glisser ses doigts puis rapidement sa main dans mon fourreau.

A son regard brûlant, je vois qu’elle prend plaisir à me violer de la sorte.

- Je suis parvenue à enfoncer mon bras jusqu’au coude! S’exclame-t-elle un instant plus tard.

Ce n’est que longtemps plus tard qu’elle se retire de mes reins pour prendre sur une étagère un plug urétral de 3mm de diamètre dont l’extrémité se termine par une boule.

Après l’avoir lubrifié abondamment, elle saisit mon sexe flasque entre ses doigts en me décalottant le gland pour engager la longue tige souple dans mon méat.

Elle la regarde s’enfoncer dans mon urètre entraînée par son propre poids.

Natacha accompagne sa progression en pressant habilement ma hampe entre son pouce et son index pour l’enfoncer jusque dans ma vessie.

Je suis fasciné de voir cette tige en inox de trente centimètres disparaître peu à peu dans mon sexe.

Puis, Natacha me masturbe d’une main en faisant coulisser longuement l’insert entre ses doigts.

Lors de ses va et vient, la boule du plug me déclenche une forte érection en me caressant la prostate de l’intérieur.

Quelques instants plus tard, ma queue se met à osciller de bas en haut pendant qu’une coulée de séve lente et continue vient recouvrir mon gland.

Ma perverse Maîtresse attend que ma source de vie se tarisse pour sortir la tige recouverte de sperme et la porter à ses lèvres.

- Je goûte toujours la semence de mes soumis, me dit-t-elle en me fixant de ses yeux de braise.

Claudia me laisse récupérer un moment avant de me plonger dans les fesses un plug torsadé relié à des fils électriques.

Elle enveloppe ensuite mes bourses et la racine de ma verge dans un cockring à électrodes.

Enfin, elle place autour de mon gland et précisément sur mon frein un anneau en silicone électrifié qu’elle recouvre d’un gel conducteur.

Claudia n’a plus qu’à brancher les différents fils de cuivre sur sa télécommande avant d’actionner son boitier.

Je ressens d’agréables sensations lorsque les ondes électriques m’irradient le ventre.

Transpercé par le courant, mon œillet se contracte en permanence indépendamment de ma volonté.

Ses yeux rivés sur moi, ma Maîtresse affine ses réglages.

Sur les écrans, je vois en gros plan ma queue dressée osciller en permanence sous les impulsions électriques.

Guidée par mes gémissements, ma maîtresse repère les réglages qui me font vibrer et sur lesquels elle s’attarde longuement.

Le courant du plug anal s’intensifie et gagne maintenant ma prostate et mon périnée en m’excitant fortement les sens.

Les ondes qui traversent l’anneau entourant mon gland irradient mon frein pendant que mes bourses enserrées dans le cockring se soulèvent en cadence sous les impulsions électriques.

Pour éviter que je jouisse prématurément, Claudia programme avec soin ma montée en régime.

Attentive à mes réactions, elle change constamment le rythme et la durée des impulsions.

Des ondes de plus en plus fortes se propagent maintenant dans mes bourses, mon gland et mon anus.

- Ton plaisir va s’amplifier par la capacité de ton cerveau à transformer les ondes électriques en sensations érotiques.

Le moment tant attendu arrive enfin.

Mes valseuses se contractent fortement en faisant perler quelques gouttes incolores à la surface de mon gland.

Puis, je vois une coulée de sève sortir en continue de mon gland et couler sur ma hampe avant de m’inonder le ventre.

Ma queue en érection oscille de façon ininterrompue en continuant à se vider lentement.

Mon corps vibre sous la vague déferlante de l’orgasme qui m’emporte.

- L’électro stimulation donne toujours des éjaculations spectaculaires et plus abondantes, m’assure ma Maîtresse qui semble aussi excitée que moi.

Elle prolonge mon plaisir en massant mon périnée pour finir de me vider les bourses.

- L’avantage de cette technique, c’est que je peux continuer de te donner des orgasmes secs, m’assure-t-elle.

Après une courte pause, elle réactive le courant dans le plug anal en le pressant habilement contre ma prostate.

A ma grande surprise, je jouis plusieurs fois de suite sans avoir d’éjaculation.

- La prochaine fois, j’utiliserai un vacuum pour te faire bander davantage et je t’enfoncerai un plug urétral et anal pour électriser ta prostate des deux côtés à la fois.

- Tu ne tarderas pas à grimper au rideau, m’affirme-t-elle dans un rire de gorge évocateur.

Je me lève totalement comblé et épuisé par cette séance en me promettant de revoir très vite ma troublante amazone.

Donnez moi votre avis sur ce récit à: [email protected]

la fée electricité...

oct 302015

Rencontres libertines,

Par une belle journée d’été, mon téléphone sonne.
C’est Steve, le patron d’une boîte de travestis qui m’appelle.
- Allô Sandra, j’ai quatre nouvelles amies qui t’attendent au club.
- Merci d’avoir pensé à moi, j’arrive le plus vite possible, lui dis-je en raccrochant.
Je suis heureuse de son appel car je fais toujours de belles rencontres chez lui.
Dans ces étreintes sans lendemain, je peux vivre mes fantasmes les plus intimes avec l’unique but de prendre et de donner du plaisir.
C’est donc avec une certaine fébrilité que je m’assois devant ma coiffeuse pour me maquiller et mettre mes faux cils.

Puis, j’ajuste sur ma tête une perruque châtain clair coupée au carré.

Cette coiffure associé à mon savant maquillage me donne une allure très féminine.

J’enfile ensuite ma lingerie devant la glace en éprouvant toujours la même excitation.
Quel plaisir! ce moment consacré au seul bonheur de se faire belle en devenant femme.

Je ne peux plus me passer de ces instants de volupté que je me réserve plusieurs fois par semaine chez moi ou à l’hôtel lors de mes déplacements.

J’agrafe ma guêpière en plaçant mes prothèses en silicone dans mes balconnets.
Je glisse sur mes hanches une adorable culotte ouverte qui me laisse prête à faire l’amour en toute circonstance.
Je ne me lasse pas de contempler cet ensemble de satin et de dentelle si glamour qui met en valeur mon corps entièrement épilé par des séances au laser.

Puis, je déroule mes bas cervin sur mes jambes en ressentant un bonheur indéfinissable à enfiler ces mailles en nylon qui m’enflamment les sens.
C’est avec une certaine excitation que je m’observe devant le miroir en train de tendre mes jarretelles sur ma culotte fendue pour les attacher à mes bas.

Comme je prends mon parapluie, je porte toujours un porte jarretelles lorsque je vais me faire arroser…


Je suis consternée par ces femmes qui mettent leur culotte par dessus pour pouvoir la retirer plus facilement aux toilettes…
Elles perdent ainsi toute l’élégance et le raffinement de leur lingerie.
Je fais quelques pas dans ma chambre en frottant mes cuisses l’une contre l’autre pour entendre le crissement de mes bas.


Sortant d’un tiroir un préservatif féminin, je m’allonge sur le lit pour l’enfoncer dans ma grotte.
Je retire le petit anneau qui se trouve à l’intérieur pour l’utiliser en anal et j’enfonce mon fémidom le plus loin possible en plaquant l’anneau le plus large contre mon périnée.
Cette protection est magique car je peux la garder toute la journée.

Lorsqu’un désir irrésistible nous emporte mon ami et moi, je n’ai qu’à soulever ma jupe pour être prise au plus fort de nos pulsions sexuelles sans devoir retirer ma culotte fendue ni à lui mettre un préservatif avec le risque de le voir débander.

Cela m’a souvent permis de faire l’amour dans des lieux publics: jardins, cabines d’essayages des grands magasins, escaliers d’immeubles…


Poursuivant mes préparatifs, je rentre ma queue entre mes cuisses en la fixant avec un adhésif.

Dans le miroir de ma chambre, je suis satisfaite de ne plus voir qu’un fin triangle de gazon soigneusement épilé avec juste en dessous un pli vertical qui évoque la naissance de ma chatte.

Puis, j’accroche à ma taille une jupe à volants très courte qui m’arrive au ras des fesses.
Elle est ouverte sur le devant jusqu’à la ceinture en dévoilant ma culotte et mon porte jarretelles à chacun de mes pas.
J’ajuste mon corsage comme le font les femmes en passant mes mains sous ma jupe pour le tendre et faire ressortir mes seins.
Je consacre quelques minutes devant la glace à prendre les poses et attitudes féminines pour devenir une fille crédible et attirante.
Pressentant une journée mouvementée, j’avale un comprimé de viagra dans un verre d’eau avant de partir.

Enfin prête, je quitte mon appartement.
En descendant l’escalier, je sens l’excitante tension de mes bas sur mes cuisses.
Dans la rue, je soutiens avec aplomb le regard des hommes qui me dévisagent.
Arrivée à leur hauteur, je prends un malin plaisir à les exciter en faisant virevolter ma jupe pour dévoiler mes jarretelles à chacun de mes pas.
Le vent chaud qui s’engouffre dessous me donne des sensations que les femmes connaissent bien…


En marchant, j’amplifie mon déhanchement engendré par mes escarpins en faisant ressortir ma croupe.

Provocante, je roule des hanches comme une sybarite en attirant les regards sur mes fesses.
Par cette belle journée ensoleillée, mon corsage échancré s’ouvre sur mes seins lourds et fermes qui se balancent au rythme cadencé de mes talons sur l’asphalte.


J’ai soudain l’envie d’attiser le désir des mâles qui m’entourent.
M’arrêtant devant une vitrine, je relève ma jupe en faisant semblant d’ajuster mes bas.
Lorsque je retends mes jarretelles, j’ai des picotements dans le creux de mes reins quand je vois se refléter dans les vitres le visage de mes admirateurs.
Les quelques femmes présentes sont plus clairvoyantes et me considèrent d’emblée comme une dangereuse rivale.
Étant bisexuelle, je leur adresse mon plus beau sourire pour leur montrer que je ne suis pas indifférente à leur charme.
Déstabilisées et troublées, elles ne savent plus quelle attitude adoptée.

J’arrive enfin chez Steve qui m’attend à la porte de son club.
- Tu me fais bander dans cette tenue, s’exclame-t-il en glissant sournoisement sa main sous ma jupe.
- Sois sage, je m’occuperai de toi plus tard, lui dis-je d’un regard prometteur.
Mais mon corps trahit mes paroles en s’offrant à ses irrésistibles caresses.
- Viens, tu en as autant envie que moi, me dit-t-il en m’entraînant de force dans son salon.
A peine a-t-il refermé la porte qu’il fait jaillir son sexe de son pantalon.
- J’ai une folle envie de te sauter, me dit-il rouge d’excitation.
- D’accord, si tu me laisses faire, lui dis-je en m’approchant de lui les seins dressés et le bassin en avant.
Avant qu’il puisse réagir, je le pousse sur le divan en me mettant à califourchon sur son ventre et je retrousse ma jupe en dévoilant ma guêpière et mes bas ornés de jarretières.


Excité par la vue de mes dessous, il plonge sa main dans ma culotte fendue.

Puis, sans me laisser le temps de réagir, il m’enlève mon fémidom.

- Je ne veux pas que tu mettes de préservatif avec moi.
Très impatiente de rencontrer mes nouvelles amies, je lui accorde ce plaisir en prenant l’initiative pour en finir rapidement avec lui.


Je le masturbe avec tout mon savoir faire en massant et en pressant du doigt la zone sensible de son périnée tout en lui malaxant les bourses.
Mes yeux rivés aux siens, j’écarte la fente de ma culotte en m’empalant sur sa verge.

Le fort pouvoir de succion de mon fourreau anal associé aux puissantes contractions de mes sphincters compriment sa queue en faisant monter son désir.
Il gémit de plaisir lorsque j’exerce de fortes pressions sur son frein.
Pour le faire bander davantage, j’entoure la racine de son sexe avec l’un de mes bas en l’utilisant comme un anneau pénien.
Dominant mon sujet, je poursuis mon travail de sape par de lentes et amples bascules du bassin en lui caressant les bourses.

Son souffle s’accélère quand je le chevauche sur un rythme soutenu.

Lorsque je sens sa verge tressauter en moi, je décide de l’achever en tournant lentement mes fesses sur son bâton de chair qui me sert de pivot.
Steve jouit longuement dans une succession de spasmes qui me désarçonne à moitié.

A mon tour, je gémis de plaisir en sentant ses jets de sperme s’écraser contre ma paroi anale.
Peu après, je me lève en épongeant sa sève qui coule le long de mes cuisses.

- Tu m’as mis la dose, lui dis-je en souriant.


La queue dressée et toujours tenaillée par le désir, j’ai une envie folle de le violer à mon tour en le voyant affalé dans son divan.


Prise par le temps, je me raisonne en me disant que d’ici peu, j’aurai tout le temps de m’en occuper.

Mes bas ayant filés lors de nos jeux, je sors une nouvelle paire de mon sac à main que j’accroche à mes jarretelles sous le regard brûlant de Steve.
Je le quitte en lui demandant de m’envoyer sa première protégée dans la chambre «chevalier d’éon»

Je monte l’escalier quatre à quatre et j’ai à peine le temps de m’allonger sur le lit que Christelle apparaît dans l’embrasure de la porte.
C’est une charmante blonde aux traits fins qui reste figée sur place.
Elle porte une nuisette transparente et son collant moule sa queue dans ses moindres détails.

Les frottements du nylon sur son gland décalotté la fait se dresser devant mes yeux.


Son maquillage excessif et son rouge à lèvres outrancier témoignent à l’évidence de son manque d’expérience en la rendant provocante malgré elle…
Je prends conscience qu’il va me falloir jouer le rôle d’initiatrice dans cette rencontre.
- Approche toi, lui dis-je en me déshabillant rapidement.
Pendant qu’elle s’avance d’un pas hésitant, j’enlève mon corsage en dévoilant mes seins comprimés dans ma guêpière.
J’ai tout juste le temps de dégrafer ma jupe avant qu’elle n’atteigne mon lit.
Je garde ma culotte fendue qui dissimule ma queue pour me sentir plus femme.


Christelle est maintenant immobile devant moi.
C’est une jeune transsexuelle hormonée dont les seins commencent à pointer dans son soutien gorge.
Abaissant son collant, je la masturbe en voyant sa queue se raidir entre mes mains.
Lorsque quelques gouttes translucides perlent à la surface de son gland, je m’allonge sur le dos en écartant les cuisses pour lui offrir mon œillet humide de désir.
Christelle tente de résister à ses pulsions.
- Viens vite ma chérie, lui dis-je d’une voix pressante en écartant la fente de ma culotte.
Aiguillonnée par mes paroles, elle se jette sur moi comme un chien fou et j’ai à peine le temps de saisir son sexe pour le guider dans ma grotte.


Pendant qu’elle me baise avec fougue, une pensée surréaliste me vient à l’esprit.
Je repense aux milliers de va et vient qui m’ont labouré le ventre ces dernières décennies.
Mis bout à bout cela doit représenter des kilomètres de queues.


Les gémissements de plus en plus rapprochés de Christelle balayent cette image.
Je cambre les reins en croisant mes jambes dans son dos pour m’empaler bien à fond sur sa queue.
Puis, je l’immobilise en serrant sa taille dans l’étau de mes cuisses.
Voulant l’achever, j’enfonce mon majeur dans son anus en contractant mes sphincters sur sa verge.
- Oh non pas si vite, a-t-elle le temps de me dire en m’inondant le ventre de toute la sève de ses vingt ans.
Terrassée par l’orgasme, elle s’effondre sur moi en m’écrasant les seins.
Nous restons un long moment enlacées et soudées l’une à l’autre.

Puis à ma grande surprise, Christelle prend l’initiative.

Elle m’enlève ma culotte et saisit ma queue en tirant sur mes bourses pour provoquer une tension sur mon frein et me faire bander.

Elle aime caresser mon sexe épilé en faisant glisser longuement sa main sur la peau satinée et douce de mes bourses.
Ses lèvres remontent le long de ma hampe et se referment sur mon gland.
Ses joues se creusent lorsqu’elle me pompe avec un savoir faire étonnant pour son âge.
Comme toutes les transsexuelles, elle s’acquitte de sa tâche avec un talent bien supérieur aux femmes en général.

En même temps, sa main remonte vers mes jarretelles en me caressant l’intérieur des cuisses.
- J’ai envie de toi, me dit-t-elle en voyant ma queue se dresser devant ses yeux.
Tout en me fixant de son regard angélique, elle s’allonge sur le dos en écartant sans pudeur ses fesses à deux mains.
Je la prends en m’enfonçant doucement dans son fourreau étroit pour qu’elle s’habitue au diamètre de ma verge.
Puis, je la masturbe sur des rythmes lents et rapides jusqu’à ce qu’elle jouisse.
Lors de son orgasme, je sens les puissantes contractions de son anus me serrer la verge pendant que sa sève fuse entre mes doigts.
Ses yeux rivés dans les miens, elle se trémousse avec une rare perversité sur ma queue jusqu’à ce que je décharge au plus profond de ses reins.
Un moment plus tard, je sors à regret de ses fesses en m’exclamant:
- Tu as un tempérament de feu Christelle!
- J’aimerai te revoir, lui dis-je d’une voix persuasive.
Elle vient se blottir dans mes bras en acceptant ma proposition avec joie.
Je la câline un moment avant de lui demander de partir.

A peine rhabillée, une superbe rousse fait irruption dans ma chambre.
Elle porte un corset rouge et noir et des cuissardes assorties affichant clairement ses penchants de dominatrice.
Claudia s’approche de mon lit d’un pas assuré.
Je rentre dans son jeu en rabattant craintivement ma jupe sur mes cuisses.
- N’aie pas peur, me dit-t-elle d’une voix moqueuse.
Prenant l’initiative, elle soulève ma jupe et me trousse sans scrupule en ne cherchant qu’à satisfaire son plaisir.
Surprise par la taille de mon clito, elle le sort de son écrin de lingerie.
- On dirait que je te fais de l’effet, s’exclame-t-elle ravie.
Profitant de son emprise sur moi, elle m’entraîne sur le lit en me disant d’une voix autoritaire:
- Maintenant, allonge toi sur le ventre.
Sortant sa queue massive de son slip brésilien, elle vient se placer entre mes cuisses.
Puis, ses doigts inquisiteurs explorent l’entrée de ma grotte en s’immobilisant sur l’anneau en latex de mon fémidom.
- Retire cela immédiatement, me dit-t-elle d’un ton sans réplique.
- Mais, c’est pour toi que j’ai mis ce préservatif féminin, lui dis-je en l’implorant du regard.
- Ses reliefs internes vont amplifier ton plaisir.
La voyant hésiter, je la masturbe pour la faire fléchir.
- Tu peux le garder, me dit-t-elle finalement.
Sans perdre de temps, elle s’allonge entre mes cuisses en appuyant son gland turgescent contre mon anneau.
- Pousse dès que je commence à t’enfiler, me dit-t-elle avec une pointe d’excitation dans la voix.
Mes sphincters finissent par céder et sa queue s’enfonce d’un coup jusqu’à la garde.
Après un brève douleur, mon désir monte crescendo lorsqu’elle pilonne mon point G avec une précision diabolique.

Elle s’active longuement dans ma grotte à grands coups de reins qui me coupent la respiration.


Dans le silence de la chambre, j’entends les claquements réguliers de son ventre contre ma croupe et les frottements de sa queue dans mon préservatif.
Quand je la sens sur le point d’exploser, je glisse ma main entre ses cuisses en tirant sur ses bourses pour qu’elle décharge bien au fond de moi.
C’est donc littéralement soudée à mes fesses qu’elle se vide dans ma chatte.
Elle gémit quand je fais tournoyer ma croupe sur son pivot de chair en pompant ses dernières forces.
Puis, elle se rhabille sans dire un mot et sort de ma chambre en me laissant dans un état d’excitation intense.

Heureusement, deux jolies brunettes lui succèdent dans l’encadrement de la porte.
Natacha et Sabrina portent la même adorable guêpière gris perle ornée de dentelle rose.
Je les regarde s’approcher de moi toujours tenaillée par le désir.
Elles sont craquantes avec leurs jambes interminables et leurs cuisses fuselées.
Ne parvenant pas à détacher leurs regards de mon sexe en érection, elles me demandent de réaliser leur fantasme.
Les sens mis en ébullition par Claudia, j’accepte leur proposition en commençant à les masturber toutes les deux en même temps.
Natacha est la première à me montrer ses attentes.
- Viens sur le lit ma belle, je vais commencer par toi, lui dis-je en souriant.
Je m’accroupis sur elle en lui tournant le dos pour m’empaler sur son sexe.
Puis, j’interpelle Sabrina.
- C’est le moment de vivre ton fantasme ma chérie.
Fascinée par la queue de Natacha qui va et vient en moi, elle reste un moment immobile avant de venir entre mes cuisses.
Puis, elle me pénètre à son tour en me suçant la queue.
Avec une synchronisation parfaite, elle plonge son sexe dans mon ventre quand celui de Natacha en sort.
Doublement sodomisée et pompée, je sens la sève monter dans mes reins avant de jouir en jets puissants dans sa bouche.


Enfin calmée, je me concentre sur Natacha.
- A mon tour de te vider les bourses, lui dis-je en lui lançant un regard torride.
Ondulant de la croupe, j’entreprends un irrésistible massage fessier dont j’ai le secret.
Attentive à la montée de son orgasme, je me trémousse de plus belle sur sa queue.
Le moment venu, je l’achève par de lentes et puissantes bascules du bassin.
Tremblante de la tête au pied, elle râle de plaisir en se vidant en moi.


Le souffle court devant ce spectacle, Sabrina continue à s’activer dans mon ventre en voyant le sperme de son amie sortir de mes fesses en épaisses coulées blanchâtres.
Je lève bien haut mes jambes gaînées de nylon en écartant les cuisses pour qu’elle puisse s’enfoncer au plus profond de mes reins.
Calant ses épaules dans le creux de mes genoux, elle m’embroche jusqu’à la racine de son sexe.
- J’adore te prendre de cette manière, s’exclame-t-elle!


Je reprends l’initiative en la basculant sur moi et en éperonnant sa croupe avec mes talons aiguilles.
Telle une mante religieuse qui immobilise sa proie, je referme mes cuisses sur sa taille.

Puis, je contracte mes fesses pour mieux sentir les va et vient de sa queue qui m’empale.


Lorsque Sabrina gémit de plaisir, je sors sournoisement mon gode de dessous l’oreiller en l’enfonçant dans ses fesses pour l’achever.
Surprise, elle se cabre pour tenter d’échapper à ce dard qui la fouille avec insistance.
- Non pas maintenant, a-t-elle le temps de me dire avant d’exploser en moi dans une série de spasmes.

Restée seule, je m’empresse de remettre de l’ordre dans ma lingerie.
J’ajuste ma perruque en me donnant un coup de peigne avant de retoucher le contour de mes lèvres.
Enfin, je sors une culotte propre de mon sac à main car mes jeunes amies ont bien amidonné celle que je porte et j’enfile rapidement ma jupe pour essayer de rattraper mon retard.
J’ai en effet rendez-vous avec Mirella qui est une amie de longue date.

En redescendant dans le hall d’entrée, je croise une jolie blonde assise dans un fauteuil qui semble attendre quelqu’un.
Mon regard est attiré par la bosse qui déforme le devant de sa jupe.
Je m’arrête devant elle en l’interpellant:
- J’aimerai bien voir ce que tu caches entre tes cuisses.
Nullement gênée par ma demande, elle soulève sa jupe.
Je découvre enfoui dans une débauche de lingerie un gode massif solidement attaché à sa taille.
Elle l’agite ostensiblement sous mes yeux en me fixant d’un regard provocant.
Il est relativement court mais sa hampe qui va en s’élargissant jusqu’à sa base atteint les neuf centimètres de diamètre à sa racine.
Voyant ma surprise devant un tel calibre, elle me dit en souriant:
- Je porte ostensiblement mon gode ceinture pour attirer les hommes qui aiment se faire sodomiser par une femme.
Je contemple ce sexe épais niché entre ses cuisses gainées de nylon.
- Son diamètre peu commun donne des sensations fortes à mes clients.
- Viens me voir dans mon donjon, tu ne le regretteras pas, rajoute-t-elle en glissant sournoisement sa main entre mes cuisses.
- C’est bien dommage que la place soit déjà prise! s’exclame-t-elle en sentant la présence de mon rosebud.
Je quitte à regret cette dominatrice expérimentée qui m’aurait donné beaucoup de plaisir.

Chemin faisant, je me félicite de porter une culotte ouverte sous ma jupe qui laisse vivre mon bijou anal dans ma chatte.
C’est un Niki XXL de chez Julian Snelling mesurant six centimètres de diamètre.
En le lubrifiant avec un gel silicone, je peux le garder toute la journée sans problème.
C’est très différent d’un plug qui laisse l’anus ouvert en provoquant pour cette raison des envies fréquentes d’aller aux toilettes.

En marchant, son poids me déclenche d’excitantes tensions dans le bas ventre pendant que sa tige en laiton vient presser mon périnée à la racine de ma queue.
A la recherche de davantage de plaisir, je m’arrête devant une vitrine en écartant les jambes.
Entraîné par son poids de 600gr, je sens mon bijou anal glisser lentement de ma grotte.

La peur de le voir tomber sur le trottoir à la vue des piétons majore mon excitation.
Au dernier moment, je contracte fortement mes fesses pour éviter qu’il ne m’échappe.
Je frissonne de plaisir lorsqu’il remonte d’un coup en se plaquant contre mon point G.
Je recommence plusieurs fois cet agréable massage sous le regard indifférent des passants.
Ce petit jeu a l’avantage de fortifier mes sphincters en me permettant de serrer plus fortement la queue de mon ami.

Cela me fait repenser à ma dernière soirée passée avec mon ami.
A peine arrivé chez moi, il glisse sa main sous ma jupe pour s’assurer que mon bijou anal garde bien l’entrée de ma grotte.
Il exige que je le porte longtemps à l’avance pour que ma chatte soit ouverte et humide de désir lorsqu’il me rend visite.
Puis, il m’allonge sur le lit pour le retirer avant de choisir l’un des nombreux sex toys que je laisse traîner sur ma commode pour pimenter nos jeux.
On y trouve pèle mêle: vibros, godes, godes ceinture, plugs gonflable et vibrant, plug urétral, spéculum, anuros, vacuum, fleshlight, boules anales et quelques accessoires sado maso.


Après avoir été prise longuement dans toutes les positions, je fais semblant de m’endormir en gardant ma lingerie pour raviver les pulsions fétichistes de mon compagnon.

Je lui tourne le dos en pressant sa queue dans la raie de mes fesses.
Au cours de la nuit, comme je l’avais prévu, je sens sa main caresser la lisière de mes bas et me fouiller l’intérieur des cuisses..
Heureuse de le voir tomber dans mon piège, je reste immobile pour lui faire croire que je suis en plein sommeil.
Un instant plus tard, il allume la lampe de chevet en me retournant sur le ventre.
Très excité de me voir abandonnée et sans défense, il me trousse sans scrupule en jouant avec moi comme avec une poupée.
Puis, il plonge sa tête sous ma nuisette en explorant mon œillet d’un doigt inquisiteur.
Ses attouchements deviennent de plus en plus précis et je me mords les lèvres pour retenir mes gémissements.
Peu après, je sens coulisser sa queue dans le sillon de mes fesses avant que son gland ne frappe à l’entrée de ma grotte.
Faisant toujours semblant d’être plongée dans les bras de morphée, je l’aide en écartant les cuisses et en creusant les reins pour qu’il me pénètre plus facilement.
Il s’enfonce alors de tout son poids dans mon fourreau anal avant de me basculer sur le côté pour pouvoir aller et venir en moi sans fatigue.


Très excité de me violer pendant mon sommeil, il me prend et me reprend plusieurs fois dans la nuit en m’inondant de sa sève.

Lorsque je me lève en passant devant la glace, je ne peux m’empêcher de sourire en voyant ma nuisette satinée toute imprégnée du sperme qui s’est échappé de mes fesses.

Perdue dans mes sulfureuses pensées, j’arrive enfin chez Mirella.
C’est une cubaine qui habite Paris depuis cinq ans.
Elle m’ouvre la porte habillée d’un superbe déshabillé ivoire qui met sa peau bronzée en valeur.
Ses traits fins et son corps de liane ne laisse aucun doute sur sa féminité.
Seule, sa lingerie transparente trahit la présence de sa queue d’ébène.
Elle est massive et épaisse comme je les aime.
- Tu es en retard, me dit-t-elle avec un certain agacement.
Je l’embrasse longuement en caressant ses seins splendides pour me faire pardonner.
Elle esquisse un sourire et me fait asseoir dans son divan en m’offrant une tasse de thé.
Au cours de notre conversation, je croise et décroise lentement mes jambes pour lui laisser entrevoir mes jarretelles.
Quelques instants plus tard, je prends sa main en la glissant sous ma jupe pour qu’elle explore ma culotte en satin qui moule ma queue dans ses moindres détails.

Lorsque Mirella écarte la fente de ma lingerie avec ses doigts, je serre son bras entre mes cuisses pour stopper sa progression et faire monter son désir.
Excitée par mon attitude, elle me caresse avec sa main restée libre.
Je ne résiste pas longtemps à son savoir faire…
Poursuivant son exploration, elle aperçoit le bijou anal qui garde l’entrée de ma grotte.
Ses yeux sont attirés par le saphir en cristal incrusté dans son socle qui brille de tous ses feux.
- Il est splendide, me dit-t-elle admirative.
- Il est aussi très efficace, rajoute-t-elle en passant son doigt sur mon gland humide.
Soudain, son attention est attiré par des tâches blanchâtres qui maculent le haut de mes bas.
- Mais, c’est du sperme, me dit-t-elle d’un air outré.
- Viens que je t’examine, rajoute-t-elle d’une voix autoritaire en m’enlevant mon corsage et ma jupe.
Ses mains s’attardent avec sensualité sur mes seins avant d’explorer l’intérieur de mes cuisses.

Elle contemple un instant mon triangle de vénus, ma chatte et ma queue parfaitement épilés.
- Tu es craquante ma chérie, me dit-t-elle avec un rire de gorge qui me laisse présager quelques surprises.
Elle m’allonge sur sa table d’examen en bloquant mes pieds dans les étriers.
Puis, se plaçant entre mes jambes, elle joue avec mon rosebud en le tiraillant avec ses dents.
Peu après, elle le retire ainsi que mon préservatif féminin.
- Combien de queues as tu prises dans les fesses aujourd’hui? me dit-t-elle en agitant d’un air outré le fémidom devant mes yeux.
- Il contient au moins 10 cl de sperme, rajoute-t-elle scandalisée.
Je souris intérieurement en pensant que certaines fois, je rentre chez moi avec ma protection totalement pleine.
- Puisque tu es si bien disposée, je vais en profiter, me dit-t-elle en me lançant un regard ambigu.
Elle me plonge son spéculum XO dans la chatte qu’elle laisse en place quelques minutes pour me dilater l’anus.

Peu après, ayant enfilé des gants en latex, elle glisse ses doigts un à un dans mes fesses.
Elle les fait coulisser lentement tout en me masturbant.
Puis, forçant mon passage, elle plonge brutalement sa main dans mon ventre en m’arrachant un cri de douleur.
- Te voilà prête pour la suite ma chérie, me dit-t-elle en m’entraînant dans la pièce voisine.

Je découvre alors un étrange objet équipé d’une selle qui me fait penser à un cheval d’arçon.
- Monte dessus, me dit-t-elle avec autorité.
A l’aide de vérins, elle règle minutieusement la hauteur de la selle pour que mes jambes restent bien tendues tout en bloquant mes pieds au sol dans des attaches spéciales.
Puis, elle me bâillonne avec l’un de ses bas en me liant les mains dans le dos.
Je suis totalement en son pouvoir quand elle appuie sur la touche de sa télé commande qui ouvre une trappe sous moi.
- Il y a un cône en métal long de trente centimètres pointé sous tes fesses, me dit-t-elle en écartant la fente de ma culotte pour l’ajuster contre mon œillet.
- Il ne va pas tarder à t’empaler ma belle.
Quand elle appuie sur son clavier, je sens le pieu s’enfoncer imperceptiblement mais inexorablement dans ma grotte.
Mon anneau se contracte au contact froid de l’inox.
- Détends toi ma chérie, me dit Mirella en me masturbant d’une main experte.
Ses caresses lèvent mes dernières craintes.
Au début, j’éprouve plutôt des sensations agréables.
Le fait d’être complètement soumise à cette machine sans pouvoir l’arrêter majore mon excitation.
Les pieds cloués au sol, je ne peux échapper à la poussée du pieu qui devient de plus en plus forte.
Un quart d’heure plus tard, je ressens un plaisir mêlé de douleur.
Vient le moment où j’ai vraiment l’impression d’être ouverte en deux.
Puis, j’ai la respiration coupée quand cette énorme masse s’enfonce en me dilatant implacablement les chairs.
J’éprouve alors des sensations à la limite du supportable.
Voulant abréger cette pénétration devenue éprouvante, je pousse pour m’empaler plus rapidement.
Malgré mon regard suppliant, Mirella laisse le cylindre poursuivre sa lente progression dans mes entrailles.
Quelques minutes plus tard, je suis empalée jusqu’à la garde en voyant avec étonnement ma queue dressée prête à exploser.
- J’ai orienté le pal pour qu’il stimule ton point G, m’explique-t-elle.
- C’est pour cela que tu bandes si fort, rajoute-t-elle en riant.
- Ton anneau est maintenant bien dilaté, me dit-t-elle d’une voix suave.
Puis, tout en me masturbant, elle fait vibrer le cône en inox dans mes reins.
Je craque lorsqu’elle fait glisser son ongle sur toute la longueur de mon frein.
- Tu jouis du cul, remarque-t-elle en voyant quelques gouttes incolores perler à la surface de mon gland.
Elle le prend en bouche pour recueillir la coulée de sperme qui sort lentement et en continue de ma verge.
Complètement sonnée par cet orgasme anal, je regarde le mince filet de sève qui coule sans fin de ma queue et qu’elle recueille sur sa langue.
Peu après, elle me détache en m’enfilant par dessus ma guêpière une ravissante nuisette en satin rouge.
- Va m’attendre dans ma chambre pendant que je me prépare.

Elle me rejoint revêtue d’un corset qui moule ses formes à la perfection.
Sur sa taille est plaqué un énorme gode ceinture creux dans lequel elle a glissé son sexe.
- Comme tu as l’habitude des gros calibres, j’ai mis cette prothèse pour ne pas risquer de te décevoir.
Elle m’embrasse à pleine bouche en pressant ses seins splendides contre moi.
Puis, elle m’allonge sur le dos en s’agenouillant entre mes jambes.
- Remonte ta nuisette ma chérie
Elle contemple ma chatte restée largement ouverte par les pénétrations précédentes.
Sans attendre, elle enfonce d’emblée trois doigts dans ma grotte en les recourbant vers le haut pour stimuler ma glande d’amour.
Peu après, Mirella sourit en sentant mes sphincters se contracter sur son poignet.
Contrôlant mal mon émotion, ma queue jaillit d’un coup par la fente de ma culotte ouverte.
- Tu aimes ça, n’est ce pas ma chérie, s’exclame-t-elle en retirant sa main pour caresser mon pénis d’une main experte.
- Viens, je suis impatiente de te baiser, rajoute-t-elle en m’écartant les cuisses et en appuyant son gode contre mon œillet.
- Comme il est très gros, je l’ai recouvert d’un préservatif anesthésiant que j’ai mis à l’envers pour que tu ne sentes pas la douleur.
Pointant le mandrin à l’entrée de ma grotte, elle l’engage par petites pressions successives.
Sans me quitter du regard, elle se cramponne à mes hanches pour l’enfoncer jusqu’à la garde.
Puis, elle glisse sur ma queue l’un de ses luxueux bas cervin aux mailles brillantes.
Tout en s’activant dans mes reins, elle me masturbe avec son fabuleux manchon qui m’électrise la verge.
Les frottements des mailles satinées sur mon gland sont irrésistibles.
- J’aime sentir ta queue se raidir dans ma main quand je te baise, me dit Mirella en souriant.
Je ne suis plus qu’une machine à jouir dont elle use et abuse.
Quelques instants plus tard, je vois ma sève se répandre en coulées blanchâtres sur ma nuisette.
Mirella m’achève en pilonnant mon point G pour prolonger mon orgasme.

Peu après, elle se retire de mes reins en m’interpellant:
- A ton tour de me donner du plaisir!
Décidée à la surprendre, je l’allonge sur le dos en enfilant un mini bas en latex sur mon pied.
Puis, je le plonge dans son œillet brûlant de désir.
Grâce à mes lentes rotations, je le fais rentrer peu à peu jusqu’au talon.
Mirella saisit mon pied entre ses mains pour le faire coulisser en elle.
Lorsque je la vois trembler de désir, je le retire de ses fesses pour m’asseoir à califourchon sur sa queue dressée.
Sa respiration s’accélère quand je m’empale dessus de tout mon poids.
Sans la quitter des yeux, je décuple son plaisir en enfonçant une à une des boules anales dans ses fesses.
Quand elle explose en moi, je tire sur le fil en sortant d’un coup les boules de sa grotte.
Elle pousse alors un grand cri suivi de nombreux spasmes avant de s’immobiliser.
Lorsque sa queue ruisselante de sperme sort de mes reins, je ne peux m’empêcher d’envier les femmes qui pompent par tous leurs orifices des dizaines de litres de sève à leurs amants durant leurs vies.
Épuisées et comblées nous ne tardons pas à nous endormir dans les bras l’une de l’autre.

Merci de me laisser vos commentaires à [email protected]

Outils ‹ le monde Sandra.

oct 292015

Comment mes désirs sexuels ont changés au cours des années.

Avec le temps, comme beaucoup d’hommes, je recherche des sensations fortes et un érotisme plus cérébral.

Des désirs nouveaux se sont imposés à moi au fil des ans.

Je dois me rendre à l’évidence: baiser ne me suffit plus et la femme perverse qui sommeillait en moi a fini par passer à l’acte.

J’ai découvert le plaisir de l’épilation, des petites culottes et de la lingerie qui m’ont procuré de nouvelles jouissances.

Quand je sens la ficelle de mon string me rentrer dans les fesses, je prends conscience que je suis devenue une vraie salope dans l’intimité.

Je le porte haut sur mes hanches pour mettre en valeur mes cuisses fuselées. (voir mes photos sur mes blogs)

A la moindre excitation cérébrale, du liquide séminal coule de ma verge en imprégnant ma lingerie d’auréoles blanchâtres.

Comme beaucoup d’hommes après la quarantaine, j’adore m’exhiber en femme sur le web.

Je les admire tellement que j’essaye de leur ressembler en portant tous les symboles de la féminité.

J’éprouve aussi un désir irrésistible à me servir de mon cul comme d’un vagin et à utiliser ma queue comme un clito.

J’ai appris à contracter mes cuisses et mes muscles intimes comme le font les femmes pour jouir.

Il est dommage que certaines soient choquées par ces changements sans chercher à découvrir tout le potentiel sexuel qui s’offre à elles dans ces nouveaux jeux de rôles. ( jeux lesbien, soumission et domination, inversion des rôles, viol…)

J’ai fort heureusement croisé le chemin d’une domina qui vient de temps en temps chez moi me transformer en femelle passive.

J’aime me voir dans ma glace, le sexe encagé enfoui dans des dessous féminins dans l’attente d’être dominé, féminisé et violé.

Cette relation de soumis s’est imposée peu à peu dans mon inconscient avec le temps.

Mon amie me fait vivre ma féminité en me pénétrant avec ses nombreux jouets qu’elle manie habilement.

Souvent, elle utilise un plug urétral pour stimuler ma prostate par voie interne en l’associant à son gode qui la presse par voie anale.

Puis, elle m’affole complétement les sens en me violant avec son énorme gode ceinture avant de me fister sans retenue.

Après quelques va et vient, ma chatte s’est lubrifié naturellement en se transformant en un désir béant.

Elle pousse alors son bras dans mon fourreau anal tout en me massant la prostate jusqu’à ce qu’un épais flot de sperme s’écoule de ma verge.

Elle m’arrache des gémissements de plaisir en me faisant jouir simultanément de la queue et du cul.

A d’autres moments, elle utilise son gode gonflable pour m’assouplir l’anneau en augmentant progressivement le diamètre à 4, 5, 6 et 7 cm.

Me sachant addict à la sodomie, elle sait qu’elle doit utiliser de gros calibres pour me faire jouir.

Souvent, la veille d’un fist, je me prépare en portant une culotte garnie d’un gode interne de 5 cm de diamètre pour qu’il me dilate l’anneau pendant la nuit.

Le matin, la chatte humide de désir, je brûle d’envie d’être prise.

Souhaitant vivre ce moment en femme, je me suis épilée, maquillée et coiffée d’une perruque bouclée blonde.

J’adore sentir le poids de mes seins siliconés qui remplissent les bonnets 105/D de ma guêpière.

Mes bas sont accrochés à quatre paires de jarretelles et je porte une culotte fendue qui découvre entièrement mon oeillet aux yeux de ma domina.

Elle commence par m’ouvrir la chatte avec son spéculum cylindrique XO.
Lorsque mon anneau devient plus souple, elle tourne rapidement la molette pour atteindre d’emblée les 5 cm de diamètre.

Je ressens un plaisir intense lorsqu’elle continue à m’écarter les chairs millimètre par millimètre.

- Actuellement, tu es dilatée à 7 cm.

- C’est le diamètre d’une bouteille de bordeaux, me dit-t-elle en me masturbant efficacement.

Quelques instants plus tard, lorsqu’elle voit mon visage marqué par la douleur, elle s’arrête en s’exclamant:

- Maintenant, c’est l’équivalent d’une bouteille de champagne que tu as dans les fesses, me dit-t-elle en plaçant un miroir entre mes cuisses pour que je puisse contempler ma chatte dilatée à l’extrême par son spéculum.

Elle le laisse en place pendant qu’elle se prépare pour la suite.

Elle enfile sur ses bras ses gants en latex en les lubrifiant soigneusement avec du crisco.

C’est une graisse végétale efficace et bon marché à l’inverse du j jube qui est plus cher et que l’on trouve difficilement dans le commerce.

Avec une lueur perverse dans le regard, elle s’approche de moi en levant les mains en l’air comme un chirurgien qui s’apprête à officier.

Elle m’allonge sur le dos et place deux coussins sous mes fesses en m’écartant les cuisses pour pouvoir me prendre sous tous les angles.

Elle m’a aussi bandé les yeux pour que je me concentre mieux sur sa main gantée de latex qui me fouille les chairs.

J’ai l’étrange impression d’être ouverte en deux quand elle m’empale sur son bras en me fouillant le ventre.

Je prends conscience que mon plaisir anal est devenu au fil du temps tant sur un plan physique que psychologique de plus en plus fort au point que je ne peux plus m’en passer.

Quand je pense qu’il y a encore quelques années, je me demandais comment on pouvait avoir du plaisir et jouir de cette manière…

J’ai la respiration coupée lorsque la main de ma perverse dominatrice franchit la courbure de mon intestin en m’enfonçant son bras jusqu’au coude.

Je sens mes chairs s’écarter lors de son passage.

Quelques minutes plus tard, en voyant mon anus se contracter, elle sait que je vais bientôt jouir.

Elle s’arrête aussitôt de me masturber pour me prendre dans sa bouche en tournant lentement son poing fermé dans mes entrailles jusqu’à ce que je me vide dans des râles de plaisir.

Comme cela se produit dans l’orgasme anal ma sève s’écoule lentement et en continu dans sa gorge.

Ma verge reste immobile et flasque mais mon plaisir est cependant plus intense et prolongé que lors d’une éjaculation classique qui fuse en jets rapides et saccadés.

Ses yeux rivés dans les miens, mon amie garde un long moment son bras enfoncé en moi car elle sait que j’éprouve un sentiment de plénitude à rester embrochée de la sorte.

Peu après, j’enlève mon bandeau pour regarder son bras plongé dans la fourche de mes cuisses.

Excité par ce spectacle, je le saisis à deux mains en l’enfonçant jusqu’aux tréfonds de mes entrailles.

- Tu es vraiment insatiable, me dit-t-elle en souriant.

Dites moi si au cours des années vos désirs sexuels ont changés.

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