oct 302015

Rencontres libertines,

Par une belle journée d’été, mon téléphone sonne.
C’est Steve, le patron d’une boîte de travestis qui m’appelle.
- Allô Sandra, j’ai quatre nouvelles amies qui t’attendent au club.
- Merci d’avoir pensé à moi, j’arrive le plus vite possible, lui dis-je en raccrochant.
Je suis heureuse de son appel car je fais toujours de belles rencontres chez lui.
Dans ces étreintes sans lendemain, je peux vivre mes fantasmes les plus intimes avec l’unique but de prendre et de donner du plaisir.
C’est donc avec une certaine fébrilité que je m’assois devant ma coiffeuse pour me maquiller et mettre mes faux cils.

Puis, j’ajuste sur ma tête une perruque châtain clair coupée au carré.

Cette coiffure associé à mon savant maquillage me donne une allure très féminine.

J’enfile ensuite ma lingerie devant la glace en éprouvant toujours la même excitation.
Quel plaisir! ce moment consacré au seul bonheur de se faire belle en devenant femme.

Je ne peux plus me passer de ces instants de volupté que je me réserve plusieurs fois par semaine chez moi ou à l’hôtel lors de mes déplacements.

J’agrafe ma guêpière en plaçant mes prothèses en silicone dans mes balconnets.
Je glisse sur mes hanches une adorable culotte ouverte qui me laisse prête à faire l’amour en toute circonstance.
Je ne me lasse pas de contempler cet ensemble de satin et de dentelle si glamour qui met en valeur mon corps entièrement épilé par des séances au laser.

Puis, je déroule mes bas cervin sur mes jambes en ressentant un bonheur indéfinissable à enfiler ces mailles en nylon qui m’enflamment les sens.
C’est avec une certaine excitation que je m’observe devant le miroir en train de tendre mes jarretelles sur ma culotte fendue pour les attacher à mes bas.

Comme je prends mon parapluie, je porte toujours un porte jarretelles lorsque je vais me faire arroser…


Je suis consternée par ces femmes qui mettent leur culotte par dessus pour pouvoir la retirer plus facilement aux toilettes…
Elles perdent ainsi toute l’élégance et le raffinement de leur lingerie.
Je fais quelques pas dans ma chambre en frottant mes cuisses l’une contre l’autre pour entendre le crissement de mes bas.


Sortant d’un tiroir un préservatif féminin, je m’allonge sur le lit pour l’enfoncer dans ma grotte.
Je retire le petit anneau qui se trouve à l’intérieur pour l’utiliser en anal et j’enfonce mon fémidom le plus loin possible en plaquant l’anneau le plus large contre mon périnée.
Cette protection est magique car je peux la garder toute la journée.

Lorsqu’un désir irrésistible nous emporte mon ami et moi, je n’ai qu’à soulever ma jupe pour être prise au plus fort de nos pulsions sexuelles sans devoir retirer ma culotte fendue ni à lui mettre un préservatif avec le risque de le voir débander.

Cela m’a souvent permis de faire l’amour dans des lieux publics: jardins, cabines d’essayages des grands magasins, escaliers d’immeubles…


Poursuivant mes préparatifs, je rentre ma queue entre mes cuisses en la fixant avec un adhésif.

Dans le miroir de ma chambre, je suis satisfaite de ne plus voir qu’un fin triangle de gazon soigneusement épilé avec juste en dessous un pli vertical qui évoque la naissance de ma chatte.

Puis, j’accroche à ma taille une jupe à volants très courte qui m’arrive au ras des fesses.
Elle est ouverte sur le devant jusqu’à la ceinture en dévoilant ma culotte et mon porte jarretelles à chacun de mes pas.
J’ajuste mon corsage comme le font les femmes en passant mes mains sous ma jupe pour le tendre et faire ressortir mes seins.
Je consacre quelques minutes devant la glace à prendre les poses et attitudes féminines pour devenir une fille crédible et attirante.
Pressentant une journée mouvementée, j’avale un comprimé de viagra dans un verre d’eau avant de partir.

Enfin prête, je quitte mon appartement.
En descendant l’escalier, je sens l’excitante tension de mes bas sur mes cuisses.
Dans la rue, je soutiens avec aplomb le regard des hommes qui me dévisagent.
Arrivée à leur hauteur, je prends un malin plaisir à les exciter en faisant virevolter ma jupe pour dévoiler mes jarretelles à chacun de mes pas.
Le vent chaud qui s’engouffre dessous me donne des sensations que les femmes connaissent bien…


En marchant, j’amplifie mon déhanchement engendré par mes escarpins en faisant ressortir ma croupe.

Provocante, je roule des hanches comme une sybarite en attirant les regards sur mes fesses.
Par cette belle journée ensoleillée, mon corsage échancré s’ouvre sur mes seins lourds et fermes qui se balancent au rythme cadencé de mes talons sur l’asphalte.


J’ai soudain l’envie d’attiser le désir des mâles qui m’entourent.
M’arrêtant devant une vitrine, je relève ma jupe en faisant semblant d’ajuster mes bas.
Lorsque je retends mes jarretelles, j’ai des picotements dans le creux de mes reins quand je vois se refléter dans les vitres le visage de mes admirateurs.
Les quelques femmes présentes sont plus clairvoyantes et me considèrent d’emblée comme une dangereuse rivale.
Étant bisexuelle, je leur adresse mon plus beau sourire pour leur montrer que je ne suis pas indifférente à leur charme.
Déstabilisées et troublées, elles ne savent plus quelle attitude adoptée.

J’arrive enfin chez Steve qui m’attend à la porte de son club.
- Tu me fais bander dans cette tenue, s’exclame-t-il en glissant sournoisement sa main sous ma jupe.
- Sois sage, je m’occuperai de toi plus tard, lui dis-je d’un regard prometteur.
Mais mon corps trahit mes paroles en s’offrant à ses irrésistibles caresses.
- Viens, tu en as autant envie que moi, me dit-t-il en m’entraînant de force dans son salon.
A peine a-t-il refermé la porte qu’il fait jaillir son sexe de son pantalon.
- J’ai une folle envie de te sauter, me dit-il rouge d’excitation.
- D’accord, si tu me laisses faire, lui dis-je en m’approchant de lui les seins dressés et le bassin en avant.
Avant qu’il puisse réagir, je le pousse sur le divan en me mettant à califourchon sur son ventre et je retrousse ma jupe en dévoilant ma guêpière et mes bas ornés de jarretières.


Excité par la vue de mes dessous, il plonge sa main dans ma culotte fendue.

Puis, sans me laisser le temps de réagir, il m’enlève mon fémidom.

- Je ne veux pas que tu mettes de préservatif avec moi.
Très impatiente de rencontrer mes nouvelles amies, je lui accorde ce plaisir en prenant l’initiative pour en finir rapidement avec lui.


Je le masturbe avec tout mon savoir faire en massant et en pressant du doigt la zone sensible de son périnée tout en lui malaxant les bourses.
Mes yeux rivés aux siens, j’écarte la fente de ma culotte en m’empalant sur sa verge.

Le fort pouvoir de succion de mon fourreau anal associé aux puissantes contractions de mes sphincters compriment sa queue en faisant monter son désir.
Il gémit de plaisir lorsque j’exerce de fortes pressions sur son frein.
Pour le faire bander davantage, j’entoure la racine de son sexe avec l’un de mes bas en l’utilisant comme un anneau pénien.
Dominant mon sujet, je poursuis mon travail de sape par de lentes et amples bascules du bassin en lui caressant les bourses.

Son souffle s’accélère quand je le chevauche sur un rythme soutenu.

Lorsque je sens sa verge tressauter en moi, je décide de l’achever en tournant lentement mes fesses sur son bâton de chair qui me sert de pivot.
Steve jouit longuement dans une succession de spasmes qui me désarçonne à moitié.

A mon tour, je gémis de plaisir en sentant ses jets de sperme s’écraser contre ma paroi anale.
Peu après, je me lève en épongeant sa sève qui coule le long de mes cuisses.

- Tu m’as mis la dose, lui dis-je en souriant.


La queue dressée et toujours tenaillée par le désir, j’ai une envie folle de le violer à mon tour en le voyant affalé dans son divan.


Prise par le temps, je me raisonne en me disant que d’ici peu, j’aurai tout le temps de m’en occuper.

Mes bas ayant filés lors de nos jeux, je sors une nouvelle paire de mon sac à main que j’accroche à mes jarretelles sous le regard brûlant de Steve.
Je le quitte en lui demandant de m’envoyer sa première protégée dans la chambre «chevalier d’éon»

Je monte l’escalier quatre à quatre et j’ai à peine le temps de m’allonger sur le lit que Christelle apparaît dans l’embrasure de la porte.
C’est une charmante blonde aux traits fins qui reste figée sur place.
Elle porte une nuisette transparente et son collant moule sa queue dans ses moindres détails.

Les frottements du nylon sur son gland décalotté la fait se dresser devant mes yeux.


Son maquillage excessif et son rouge à lèvres outrancier témoignent à l’évidence de son manque d’expérience en la rendant provocante malgré elle…
Je prends conscience qu’il va me falloir jouer le rôle d’initiatrice dans cette rencontre.
- Approche toi, lui dis-je en me déshabillant rapidement.
Pendant qu’elle s’avance d’un pas hésitant, j’enlève mon corsage en dévoilant mes seins comprimés dans ma guêpière.
J’ai tout juste le temps de dégrafer ma jupe avant qu’elle n’atteigne mon lit.
Je garde ma culotte fendue qui dissimule ma queue pour me sentir plus femme.


Christelle est maintenant immobile devant moi.
C’est une jeune transsexuelle hormonée dont les seins commencent à pointer dans son soutien gorge.
Abaissant son collant, je la masturbe en voyant sa queue se raidir entre mes mains.
Lorsque quelques gouttes translucides perlent à la surface de son gland, je m’allonge sur le dos en écartant les cuisses pour lui offrir mon œillet humide de désir.
Christelle tente de résister à ses pulsions.
- Viens vite ma chérie, lui dis-je d’une voix pressante en écartant la fente de ma culotte.
Aiguillonnée par mes paroles, elle se jette sur moi comme un chien fou et j’ai à peine le temps de saisir son sexe pour le guider dans ma grotte.


Pendant qu’elle me baise avec fougue, une pensée surréaliste me vient à l’esprit.
Je repense aux milliers de va et vient qui m’ont labouré le ventre ces dernières décennies.
Mis bout à bout cela doit représenter des kilomètres de queues.


Les gémissements de plus en plus rapprochés de Christelle balayent cette image.
Je cambre les reins en croisant mes jambes dans son dos pour m’empaler bien à fond sur sa queue.
Puis, je l’immobilise en serrant sa taille dans l’étau de mes cuisses.
Voulant l’achever, j’enfonce mon majeur dans son anus en contractant mes sphincters sur sa verge.
- Oh non pas si vite, a-t-elle le temps de me dire en m’inondant le ventre de toute la sève de ses vingt ans.
Terrassée par l’orgasme, elle s’effondre sur moi en m’écrasant les seins.
Nous restons un long moment enlacées et soudées l’une à l’autre.

Puis à ma grande surprise, Christelle prend l’initiative.

Elle m’enlève ma culotte et saisit ma queue en tirant sur mes bourses pour provoquer une tension sur mon frein et me faire bander.

Elle aime caresser mon sexe épilé en faisant glisser longuement sa main sur la peau satinée et douce de mes bourses.
Ses lèvres remontent le long de ma hampe et se referment sur mon gland.
Ses joues se creusent lorsqu’elle me pompe avec un savoir faire étonnant pour son âge.
Comme toutes les transsexuelles, elle s’acquitte de sa tâche avec un talent bien supérieur aux femmes en général.

En même temps, sa main remonte vers mes jarretelles en me caressant l’intérieur des cuisses.
- J’ai envie de toi, me dit-t-elle en voyant ma queue se dresser devant ses yeux.
Tout en me fixant de son regard angélique, elle s’allonge sur le dos en écartant sans pudeur ses fesses à deux mains.
Je la prends en m’enfonçant doucement dans son fourreau étroit pour qu’elle s’habitue au diamètre de ma verge.
Puis, je la masturbe sur des rythmes lents et rapides jusqu’à ce qu’elle jouisse.
Lors de son orgasme, je sens les puissantes contractions de son anus me serrer la verge pendant que sa sève fuse entre mes doigts.
Ses yeux rivés dans les miens, elle se trémousse avec une rare perversité sur ma queue jusqu’à ce que je décharge au plus profond de ses reins.
Un moment plus tard, je sors à regret de ses fesses en m’exclamant:
- Tu as un tempérament de feu Christelle!
- J’aimerai te revoir, lui dis-je d’une voix persuasive.
Elle vient se blottir dans mes bras en acceptant ma proposition avec joie.
Je la câline un moment avant de lui demander de partir.

A peine rhabillée, une superbe rousse fait irruption dans ma chambre.
Elle porte un corset rouge et noir et des cuissardes assorties affichant clairement ses penchants de dominatrice.
Claudia s’approche de mon lit d’un pas assuré.
Je rentre dans son jeu en rabattant craintivement ma jupe sur mes cuisses.
- N’aie pas peur, me dit-t-elle d’une voix moqueuse.
Prenant l’initiative, elle soulève ma jupe et me trousse sans scrupule en ne cherchant qu’à satisfaire son plaisir.
Surprise par la taille de mon clito, elle le sort de son écrin de lingerie.
- On dirait que je te fais de l’effet, s’exclame-t-elle ravie.
Profitant de son emprise sur moi, elle m’entraîne sur le lit en me disant d’une voix autoritaire:
- Maintenant, allonge toi sur le ventre.
Sortant sa queue massive de son slip brésilien, elle vient se placer entre mes cuisses.
Puis, ses doigts inquisiteurs explorent l’entrée de ma grotte en s’immobilisant sur l’anneau en latex de mon fémidom.
- Retire cela immédiatement, me dit-t-elle d’un ton sans réplique.
- Mais, c’est pour toi que j’ai mis ce préservatif féminin, lui dis-je en l’implorant du regard.
- Ses reliefs internes vont amplifier ton plaisir.
La voyant hésiter, je la masturbe pour la faire fléchir.
- Tu peux le garder, me dit-t-elle finalement.
Sans perdre de temps, elle s’allonge entre mes cuisses en appuyant son gland turgescent contre mon anneau.
- Pousse dès que je commence à t’enfiler, me dit-t-elle avec une pointe d’excitation dans la voix.
Mes sphincters finissent par céder et sa queue s’enfonce d’un coup jusqu’à la garde.
Après un brève douleur, mon désir monte crescendo lorsqu’elle pilonne mon point G avec une précision diabolique.

Elle s’active longuement dans ma grotte à grands coups de reins qui me coupent la respiration.


Dans le silence de la chambre, j’entends les claquements réguliers de son ventre contre ma croupe et les frottements de sa queue dans mon préservatif.
Quand je la sens sur le point d’exploser, je glisse ma main entre ses cuisses en tirant sur ses bourses pour qu’elle décharge bien au fond de moi.
C’est donc littéralement soudée à mes fesses qu’elle se vide dans ma chatte.
Elle gémit quand je fais tournoyer ma croupe sur son pivot de chair en pompant ses dernières forces.
Puis, elle se rhabille sans dire un mot et sort de ma chambre en me laissant dans un état d’excitation intense.

Heureusement, deux jolies brunettes lui succèdent dans l’encadrement de la porte.
Natacha et Sabrina portent la même adorable guêpière gris perle ornée de dentelle rose.
Je les regarde s’approcher de moi toujours tenaillée par le désir.
Elles sont craquantes avec leurs jambes interminables et leurs cuisses fuselées.
Ne parvenant pas à détacher leurs regards de mon sexe en érection, elles me demandent de réaliser leur fantasme.
Les sens mis en ébullition par Claudia, j’accepte leur proposition en commençant à les masturber toutes les deux en même temps.
Natacha est la première à me montrer ses attentes.
- Viens sur le lit ma belle, je vais commencer par toi, lui dis-je en souriant.
Je m’accroupis sur elle en lui tournant le dos pour m’empaler sur son sexe.
Puis, j’interpelle Sabrina.
- C’est le moment de vivre ton fantasme ma chérie.
Fascinée par la queue de Natacha qui va et vient en moi, elle reste un moment immobile avant de venir entre mes cuisses.
Puis, elle me pénètre à son tour en me suçant la queue.
Avec une synchronisation parfaite, elle plonge son sexe dans mon ventre quand celui de Natacha en sort.
Doublement sodomisée et pompée, je sens la sève monter dans mes reins avant de jouir en jets puissants dans sa bouche.


Enfin calmée, je me concentre sur Natacha.
- A mon tour de te vider les bourses, lui dis-je en lui lançant un regard torride.
Ondulant de la croupe, j’entreprends un irrésistible massage fessier dont j’ai le secret.
Attentive à la montée de son orgasme, je me trémousse de plus belle sur sa queue.
Le moment venu, je l’achève par de lentes et puissantes bascules du bassin.
Tremblante de la tête au pied, elle râle de plaisir en se vidant en moi.


Le souffle court devant ce spectacle, Sabrina continue à s’activer dans mon ventre en voyant le sperme de son amie sortir de mes fesses en épaisses coulées blanchâtres.
Je lève bien haut mes jambes gaînées de nylon en écartant les cuisses pour qu’elle puisse s’enfoncer au plus profond de mes reins.
Calant ses épaules dans le creux de mes genoux, elle m’embroche jusqu’à la racine de son sexe.
- J’adore te prendre de cette manière, s’exclame-t-elle!


Je reprends l’initiative en la basculant sur moi et en éperonnant sa croupe avec mes talons aiguilles.
Telle une mante religieuse qui immobilise sa proie, je referme mes cuisses sur sa taille.

Puis, je contracte mes fesses pour mieux sentir les va et vient de sa queue qui m’empale.


Lorsque Sabrina gémit de plaisir, je sors sournoisement mon gode de dessous l’oreiller en l’enfonçant dans ses fesses pour l’achever.
Surprise, elle se cabre pour tenter d’échapper à ce dard qui la fouille avec insistance.
- Non pas maintenant, a-t-elle le temps de me dire avant d’exploser en moi dans une série de spasmes.

Restée seule, je m’empresse de remettre de l’ordre dans ma lingerie.
J’ajuste ma perruque en me donnant un coup de peigne avant de retoucher le contour de mes lèvres.
Enfin, je sors une culotte propre de mon sac à main car mes jeunes amies ont bien amidonné celle que je porte et j’enfile rapidement ma jupe pour essayer de rattraper mon retard.
J’ai en effet rendez-vous avec Mirella qui est une amie de longue date.

En redescendant dans le hall d’entrée, je croise une jolie blonde assise dans un fauteuil qui semble attendre quelqu’un.
Mon regard est attiré par la bosse qui déforme le devant de sa jupe.
Je m’arrête devant elle en l’interpellant:
- J’aimerai bien voir ce que tu caches entre tes cuisses.
Nullement gênée par ma demande, elle soulève sa jupe.
Je découvre enfoui dans une débauche de lingerie un gode massif solidement attaché à sa taille.
Elle l’agite ostensiblement sous mes yeux en me fixant d’un regard provocant.
Il est relativement court mais sa hampe qui va en s’élargissant jusqu’à sa base atteint les neuf centimètres de diamètre à sa racine.
Voyant ma surprise devant un tel calibre, elle me dit en souriant:
- Je porte ostensiblement mon gode ceinture pour attirer les hommes qui aiment se faire sodomiser par une femme.
Je contemple ce sexe épais niché entre ses cuisses gainées de nylon.
- Son diamètre peu commun donne des sensations fortes à mes clients.
- Viens me voir dans mon donjon, tu ne le regretteras pas, rajoute-t-elle en glissant sournoisement sa main entre mes cuisses.
- C’est bien dommage que la place soit déjà prise! s’exclame-t-elle en sentant la présence de mon rosebud.
Je quitte à regret cette dominatrice expérimentée qui m’aurait donné beaucoup de plaisir.

Chemin faisant, je me félicite de porter une culotte ouverte sous ma jupe qui laisse vivre mon bijou anal dans ma chatte.
C’est un Niki XXL de chez Julian Snelling mesurant six centimètres de diamètre.
En le lubrifiant avec un gel silicone, je peux le garder toute la journée sans problème.
C’est très différent d’un plug qui laisse l’anus ouvert en provoquant pour cette raison des envies fréquentes d’aller aux toilettes.

En marchant, son poids me déclenche d’excitantes tensions dans le bas ventre pendant que sa tige en laiton vient presser mon périnée à la racine de ma queue.
A la recherche de davantage de plaisir, je m’arrête devant une vitrine en écartant les jambes.
Entraîné par son poids de 600gr, je sens mon bijou anal glisser lentement de ma grotte.

La peur de le voir tomber sur le trottoir à la vue des piétons majore mon excitation.
Au dernier moment, je contracte fortement mes fesses pour éviter qu’il ne m’échappe.
Je frissonne de plaisir lorsqu’il remonte d’un coup en se plaquant contre mon point G.
Je recommence plusieurs fois cet agréable massage sous le regard indifférent des passants.
Ce petit jeu a l’avantage de fortifier mes sphincters en me permettant de serrer plus fortement la queue de mon ami.

Cela me fait repenser à ma dernière soirée passée avec mon ami.
A peine arrivé chez moi, il glisse sa main sous ma jupe pour s’assurer que mon bijou anal garde bien l’entrée de ma grotte.
Il exige que je le porte longtemps à l’avance pour que ma chatte soit ouverte et humide de désir lorsqu’il me rend visite.
Puis, il m’allonge sur le lit pour le retirer avant de choisir l’un des nombreux sex toys que je laisse traîner sur ma commode pour pimenter nos jeux.
On y trouve pèle mêle: vibros, godes, godes ceinture, plugs gonflable et vibrant, plug urétral, spéculum, anuros, vacuum, fleshlight, boules anales et quelques accessoires sado maso.


Après avoir été prise longuement dans toutes les positions, je fais semblant de m’endormir en gardant ma lingerie pour raviver les pulsions fétichistes de mon compagnon.

Je lui tourne le dos en pressant sa queue dans la raie de mes fesses.
Au cours de la nuit, comme je l’avais prévu, je sens sa main caresser la lisière de mes bas et me fouiller l’intérieur des cuisses..
Heureuse de le voir tomber dans mon piège, je reste immobile pour lui faire croire que je suis en plein sommeil.
Un instant plus tard, il allume la lampe de chevet en me retournant sur le ventre.
Très excité de me voir abandonnée et sans défense, il me trousse sans scrupule en jouant avec moi comme avec une poupée.
Puis, il plonge sa tête sous ma nuisette en explorant mon œillet d’un doigt inquisiteur.
Ses attouchements deviennent de plus en plus précis et je me mords les lèvres pour retenir mes gémissements.
Peu après, je sens coulisser sa queue dans le sillon de mes fesses avant que son gland ne frappe à l’entrée de ma grotte.
Faisant toujours semblant d’être plongée dans les bras de morphée, je l’aide en écartant les cuisses et en creusant les reins pour qu’il me pénètre plus facilement.
Il s’enfonce alors de tout son poids dans mon fourreau anal avant de me basculer sur le côté pour pouvoir aller et venir en moi sans fatigue.


Très excité de me violer pendant mon sommeil, il me prend et me reprend plusieurs fois dans la nuit en m’inondant de sa sève.

Lorsque je me lève en passant devant la glace, je ne peux m’empêcher de sourire en voyant ma nuisette satinée toute imprégnée du sperme qui s’est échappé de mes fesses.

Perdue dans mes sulfureuses pensées, j’arrive enfin chez Mirella.
C’est une cubaine qui habite Paris depuis cinq ans.
Elle m’ouvre la porte habillée d’un superbe déshabillé ivoire qui met sa peau bronzée en valeur.
Ses traits fins et son corps de liane ne laisse aucun doute sur sa féminité.
Seule, sa lingerie transparente trahit la présence de sa queue d’ébène.
Elle est massive et épaisse comme je les aime.
- Tu es en retard, me dit-t-elle avec un certain agacement.
Je l’embrasse longuement en caressant ses seins splendides pour me faire pardonner.
Elle esquisse un sourire et me fait asseoir dans son divan en m’offrant une tasse de thé.
Au cours de notre conversation, je croise et décroise lentement mes jambes pour lui laisser entrevoir mes jarretelles.
Quelques instants plus tard, je prends sa main en la glissant sous ma jupe pour qu’elle explore ma culotte en satin qui moule ma queue dans ses moindres détails.

Lorsque Mirella écarte la fente de ma lingerie avec ses doigts, je serre son bras entre mes cuisses pour stopper sa progression et faire monter son désir.
Excitée par mon attitude, elle me caresse avec sa main restée libre.
Je ne résiste pas longtemps à son savoir faire…
Poursuivant son exploration, elle aperçoit le bijou anal qui garde l’entrée de ma grotte.
Ses yeux sont attirés par le saphir en cristal incrusté dans son socle qui brille de tous ses feux.
- Il est splendide, me dit-t-elle admirative.
- Il est aussi très efficace, rajoute-t-elle en passant son doigt sur mon gland humide.
Soudain, son attention est attiré par des tâches blanchâtres qui maculent le haut de mes bas.
- Mais, c’est du sperme, me dit-t-elle d’un air outré.
- Viens que je t’examine, rajoute-t-elle d’une voix autoritaire en m’enlevant mon corsage et ma jupe.
Ses mains s’attardent avec sensualité sur mes seins avant d’explorer l’intérieur de mes cuisses.

Elle contemple un instant mon triangle de vénus, ma chatte et ma queue parfaitement épilés.
- Tu es craquante ma chérie, me dit-t-elle avec un rire de gorge qui me laisse présager quelques surprises.
Elle m’allonge sur sa table d’examen en bloquant mes pieds dans les étriers.
Puis, se plaçant entre mes jambes, elle joue avec mon rosebud en le tiraillant avec ses dents.
Peu après, elle le retire ainsi que mon préservatif féminin.
- Combien de queues as tu prises dans les fesses aujourd’hui? me dit-t-elle en agitant d’un air outré le fémidom devant mes yeux.
- Il contient au moins 10 cl de sperme, rajoute-t-elle scandalisée.
Je souris intérieurement en pensant que certaines fois, je rentre chez moi avec ma protection totalement pleine.
- Puisque tu es si bien disposée, je vais en profiter, me dit-t-elle en me lançant un regard ambigu.
Elle me plonge son spéculum XO dans la chatte qu’elle laisse en place quelques minutes pour me dilater l’anus.

Peu après, ayant enfilé des gants en latex, elle glisse ses doigts un à un dans mes fesses.
Elle les fait coulisser lentement tout en me masturbant.
Puis, forçant mon passage, elle plonge brutalement sa main dans mon ventre en m’arrachant un cri de douleur.
- Te voilà prête pour la suite ma chérie, me dit-t-elle en m’entraînant dans la pièce voisine.

Je découvre alors un étrange objet équipé d’une selle qui me fait penser à un cheval d’arçon.
- Monte dessus, me dit-t-elle avec autorité.
A l’aide de vérins, elle règle minutieusement la hauteur de la selle pour que mes jambes restent bien tendues tout en bloquant mes pieds au sol dans des attaches spéciales.
Puis, elle me bâillonne avec l’un de ses bas en me liant les mains dans le dos.
Je suis totalement en son pouvoir quand elle appuie sur la touche de sa télé commande qui ouvre une trappe sous moi.
- Il y a un cône en métal long de trente centimètres pointé sous tes fesses, me dit-t-elle en écartant la fente de ma culotte pour l’ajuster contre mon œillet.
- Il ne va pas tarder à t’empaler ma belle.
Quand elle appuie sur son clavier, je sens le pieu s’enfoncer imperceptiblement mais inexorablement dans ma grotte.
Mon anneau se contracte au contact froid de l’inox.
- Détends toi ma chérie, me dit Mirella en me masturbant d’une main experte.
Ses caresses lèvent mes dernières craintes.
Au début, j’éprouve plutôt des sensations agréables.
Le fait d’être complètement soumise à cette machine sans pouvoir l’arrêter majore mon excitation.
Les pieds cloués au sol, je ne peux échapper à la poussée du pieu qui devient de plus en plus forte.
Un quart d’heure plus tard, je ressens un plaisir mêlé de douleur.
Vient le moment où j’ai vraiment l’impression d’être ouverte en deux.
Puis, j’ai la respiration coupée quand cette énorme masse s’enfonce en me dilatant implacablement les chairs.
J’éprouve alors des sensations à la limite du supportable.
Voulant abréger cette pénétration devenue éprouvante, je pousse pour m’empaler plus rapidement.
Malgré mon regard suppliant, Mirella laisse le cylindre poursuivre sa lente progression dans mes entrailles.
Quelques minutes plus tard, je suis empalée jusqu’à la garde en voyant avec étonnement ma queue dressée prête à exploser.
- J’ai orienté le pal pour qu’il stimule ton point G, m’explique-t-elle.
- C’est pour cela que tu bandes si fort, rajoute-t-elle en riant.
- Ton anneau est maintenant bien dilaté, me dit-t-elle d’une voix suave.
Puis, tout en me masturbant, elle fait vibrer le cône en inox dans mes reins.
Je craque lorsqu’elle fait glisser son ongle sur toute la longueur de mon frein.
- Tu jouis du cul, remarque-t-elle en voyant quelques gouttes incolores perler à la surface de mon gland.
Elle le prend en bouche pour recueillir la coulée de sperme qui sort lentement et en continue de ma verge.
Complètement sonnée par cet orgasme anal, je regarde le mince filet de sève qui coule sans fin de ma queue et qu’elle recueille sur sa langue.
Peu après, elle me détache en m’enfilant par dessus ma guêpière une ravissante nuisette en satin rouge.
- Va m’attendre dans ma chambre pendant que je me prépare.

Elle me rejoint revêtue d’un corset qui moule ses formes à la perfection.
Sur sa taille est plaqué un énorme gode ceinture creux dans lequel elle a glissé son sexe.
- Comme tu as l’habitude des gros calibres, j’ai mis cette prothèse pour ne pas risquer de te décevoir.
Elle m’embrasse à pleine bouche en pressant ses seins splendides contre moi.
Puis, elle m’allonge sur le dos en s’agenouillant entre mes jambes.
- Remonte ta nuisette ma chérie
Elle contemple ma chatte restée largement ouverte par les pénétrations précédentes.
Sans attendre, elle enfonce d’emblée trois doigts dans ma grotte en les recourbant vers le haut pour stimuler ma glande d’amour.
Peu après, Mirella sourit en sentant mes sphincters se contracter sur son poignet.
Contrôlant mal mon émotion, ma queue jaillit d’un coup par la fente de ma culotte ouverte.
- Tu aimes ça, n’est ce pas ma chérie, s’exclame-t-elle en retirant sa main pour caresser mon pénis d’une main experte.
- Viens, je suis impatiente de te baiser, rajoute-t-elle en m’écartant les cuisses et en appuyant son gode contre mon œillet.
- Comme il est très gros, je l’ai recouvert d’un préservatif anesthésiant que j’ai mis à l’envers pour que tu ne sentes pas la douleur.
Pointant le mandrin à l’entrée de ma grotte, elle l’engage par petites pressions successives.
Sans me quitter du regard, elle se cramponne à mes hanches pour l’enfoncer jusqu’à la garde.
Puis, elle glisse sur ma queue l’un de ses luxueux bas cervin aux mailles brillantes.
Tout en s’activant dans mes reins, elle me masturbe avec son fabuleux manchon qui m’électrise la verge.
Les frottements des mailles satinées sur mon gland sont irrésistibles.
- J’aime sentir ta queue se raidir dans ma main quand je te baise, me dit Mirella en souriant.
Je ne suis plus qu’une machine à jouir dont elle use et abuse.
Quelques instants plus tard, je vois ma sève se répandre en coulées blanchâtres sur ma nuisette.
Mirella m’achève en pilonnant mon point G pour prolonger mon orgasme.

Peu après, elle se retire de mes reins en m’interpellant:
- A ton tour de me donner du plaisir!
Décidée à la surprendre, je l’allonge sur le dos en enfilant un mini bas en latex sur mon pied.
Puis, je le plonge dans son œillet brûlant de désir.
Grâce à mes lentes rotations, je le fais rentrer peu à peu jusqu’au talon.
Mirella saisit mon pied entre ses mains pour le faire coulisser en elle.
Lorsque je la vois trembler de désir, je le retire de ses fesses pour m’asseoir à califourchon sur sa queue dressée.
Sa respiration s’accélère quand je m’empale dessus de tout mon poids.
Sans la quitter des yeux, je décuple son plaisir en enfonçant une à une des boules anales dans ses fesses.
Quand elle explose en moi, je tire sur le fil en sortant d’un coup les boules de sa grotte.
Elle pousse alors un grand cri suivi de nombreux spasmes avant de s’immobiliser.
Lorsque sa queue ruisselante de sperme sort de mes reins, je ne peux m’empêcher d’envier les femmes qui pompent par tous leurs orifices des dizaines de litres de sève à leurs amants durant leurs vies.
Épuisées et comblées nous ne tardons pas à nous endormir dans les bras l’une de l’autre.

Merci de me laisser vos commentaires à [email protected]

Outils ‹ le monde Sandra.

oct 292015

Comment mes désirs sexuels ont changés au cours des années.

Avec le temps, comme beaucoup d’hommes, je recherche des sensations fortes et un érotisme plus cérébral.

Des désirs nouveaux se sont imposés à moi au fil des ans.

Je dois me rendre à l’évidence: baiser ne me suffit plus et la femme perverse qui sommeillait en moi a fini par passer à l’acte.

J’ai découvert le plaisir de l’épilation, des petites culottes et de la lingerie qui m’ont procuré de nouvelles jouissances.

Quand je sens la ficelle de mon string me rentrer dans les fesses, je prends conscience que je suis devenue une vraie salope dans l’intimité.

Je le porte haut sur mes hanches pour mettre en valeur mes cuisses fuselées. (voir mes photos sur mes blogs)

A la moindre excitation cérébrale, du liquide séminal coule de ma verge en imprégnant ma lingerie d’auréoles blanchâtres.

Comme beaucoup d’hommes après la quarantaine, j’adore m’exhiber en femme sur le web.

Je les admire tellement que j’essaye de leur ressembler en portant tous les symboles de la féminité.

J’éprouve aussi un désir irrésistible à me servir de mon cul comme d’un vagin et à utiliser ma queue comme un clito.

J’ai appris à contracter mes cuisses et mes muscles intimes comme le font les femmes pour jouir.

Il est dommage que certaines soient choquées par ces changements sans chercher à découvrir tout le potentiel sexuel qui s’offre à elles dans ces nouveaux jeux de rôles. ( jeux lesbien, soumission et domination, inversion des rôles, viol…)

J’ai fort heureusement croisé le chemin d’une domina qui vient de temps en temps chez moi me transformer en femelle passive.

J’aime me voir dans ma glace, le sexe encagé enfoui dans des dessous féminins dans l’attente d’être dominé, féminisé et violé.

Cette relation de soumis s’est imposée peu à peu dans mon inconscient avec le temps.

Mon amie me fait vivre ma féminité en me pénétrant avec ses nombreux jouets qu’elle manie habilement.

Souvent, elle utilise un plug urétral pour stimuler ma prostate par voie interne en l’associant à son gode qui la presse par voie anale.

Puis, elle m’affole complétement les sens en me violant avec son énorme gode ceinture avant de me fister sans retenue.

Après quelques va et vient, ma chatte s’est lubrifié naturellement en se transformant en un désir béant.

Elle pousse alors son bras dans mon fourreau anal tout en me massant la prostate jusqu’à ce qu’un épais flot de sperme s’écoule de ma verge.

Elle m’arrache des gémissements de plaisir en me faisant jouir simultanément de la queue et du cul.

A d’autres moments, elle utilise son gode gonflable pour m’assouplir l’anneau en augmentant progressivement le diamètre à 4, 5, 6 et 7 cm.

Me sachant addict à la sodomie, elle sait qu’elle doit utiliser de gros calibres pour me faire jouir.

Souvent, la veille d’un fist, je me prépare en portant une culotte garnie d’un gode interne de 5 cm de diamètre pour qu’il me dilate l’anneau pendant la nuit.

Le matin, la chatte humide de désir, je brûle d’envie d’être prise.

Souhaitant vivre ce moment en femme, je me suis épilée, maquillée et coiffée d’une perruque bouclée blonde.

J’adore sentir le poids de mes seins siliconés qui remplissent les bonnets 105/D de ma guêpière.

Mes bas sont accrochés à quatre paires de jarretelles et je porte une culotte fendue qui découvre entièrement mon oeillet aux yeux de ma domina.

Elle commence par m’ouvrir la chatte avec son spéculum cylindrique XO.
Lorsque mon anneau devient plus souple, elle tourne rapidement la molette pour atteindre d’emblée les 5 cm de diamètre.

Je ressens un plaisir intense lorsqu’elle continue à m’écarter les chairs millimètre par millimètre.

- Actuellement, tu es dilatée à 7 cm.

- C’est le diamètre d’une bouteille de bordeaux, me dit-t-elle en me masturbant efficacement.

Quelques instants plus tard, lorsqu’elle voit mon visage marqué par la douleur, elle s’arrête en s’exclamant:

- Maintenant, c’est l’équivalent d’une bouteille de champagne que tu as dans les fesses, me dit-t-elle en plaçant un miroir entre mes cuisses pour que je puisse contempler ma chatte dilatée à l’extrême par son spéculum.

Elle le laisse en place pendant qu’elle se prépare pour la suite.

Elle enfile sur ses bras ses gants en latex en les lubrifiant soigneusement avec du crisco.

C’est une graisse végétale efficace et bon marché à l’inverse du j jube qui est plus cher et que l’on trouve difficilement dans le commerce.

Avec une lueur perverse dans le regard, elle s’approche de moi en levant les mains en l’air comme un chirurgien qui s’apprête à officier.

Elle m’allonge sur le dos et place deux coussins sous mes fesses en m’écartant les cuisses pour pouvoir me prendre sous tous les angles.

Elle m’a aussi bandé les yeux pour que je me concentre mieux sur sa main gantée de latex qui me fouille les chairs.

J’ai l’étrange impression d’être ouverte en deux quand elle m’empale sur son bras en me fouillant le ventre.

Je prends conscience que mon plaisir anal est devenu au fil du temps tant sur un plan physique que psychologique de plus en plus fort au point que je ne peux plus m’en passer.

Quand je pense qu’il y a encore quelques années, je me demandais comment on pouvait avoir du plaisir et jouir de cette manière…

J’ai la respiration coupée lorsque la main de ma perverse dominatrice franchit la courbure de mon intestin en m’enfonçant son bras jusqu’au coude.

Je sens mes chairs s’écarter lors de son passage.

Quelques minutes plus tard, en voyant mon anus se contracter, elle sait que je vais bientôt jouir.

Elle s’arrête aussitôt de me masturber pour me prendre dans sa bouche en tournant lentement son poing fermé dans mes entrailles jusqu’à ce que je me vide dans des râles de plaisir.

Comme cela se produit dans l’orgasme anal ma sève s’écoule lentement et en continu dans sa gorge.

Ma verge reste immobile et flasque mais mon plaisir est cependant plus intense et prolongé que lors d’une éjaculation classique qui fuse en jets rapides et saccadés.

Ses yeux rivés dans les miens, mon amie garde un long moment son bras enfoncé en moi car elle sait que j’éprouve un sentiment de plénitude à rester embrochée de la sorte.

Peu après, j’enlève mon bandeau pour regarder son bras plongé dans la fourche de mes cuisses.

Excité par ce spectacle, je le saisis à deux mains en l’enfonçant jusqu’aux tréfonds de mes entrailles.

- Tu es vraiment insatiable, me dit-t-elle en souriant.

Dites moi si au cours des années vos désirs sexuels ont changés.

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